Le Maire de la Commune de Teva I Uta avait dénoncé les entraves entreprises le vendredi 13 août 2010 par les grévistes à la libre circulation des biens et des personnes et au ramassage quotidien des ordures ménagères à Mataiea et Papeari, lesquels n’avaient pas hésité à déverser du tout-venant en utilisant des camions de la commune et à dresser un piquet de grève pour bloquer toute circulation sur la route communale desservant tous les services municipaux de Teva I Uta, mais aussi le Centre Médical de Teva I Uta et le Service des Affaires Sociales de la Circonscription Papara-Teva I Uta-Taiarapu, les écoles primaire et maternelle de Nuutafaratea et la Cuisine centrale de la commune de Teva I Uta.
Les demandes verbales de Mme le Maire de la Commune de Teva I Uta faites aux confédérations syndicales, lors des négociations du mercredi 18 août 2010, de mettre un terme à ces entraves qui pénalisent au premier chef les populations de Mataiea et Papeari, sont restées sans réponse, d’où sa décision de saisir le juge des référés pour mettre un terme à ces actes délictueux.
Si le juge des référés a décidé le vendredi 20 août 2010 de rejeter les demandes de la Commune de Teva I Uta pour des questions de preuve, la Commune a immédiatement saisi le juge des référés d’une nouvelle requête, laquelle sera examinée le mardi 24 août 2010 à 09 :00 heures.
Aussi, la Commune de Teva I Uta ne peut que dénoncer les déclarations du porte-parole des syndicats CSTP-FO, CSIP et O Oe To Oe Rima faisant part de leur surprise quant à cette procédure de référé et déclarant que la balle est dans le camp de la Commune de Teva I Uta. L’opinion publique ne saurait être dupe de la politique de désinformation et d’intoxication des leaders syndicaux pour couvrir leurs irresponsabilités dans les conflits sociaux qu’ils engagent çà et là et dont les principales victimes sont ceux qu’ils sont censés défendre.
Par ailleurs, la Commune de Teva I Uta ne peut que s’insurger contre ces leaders syndicaux qui couvrent les agissements délictueux de certains grévistes de la Commune de Teva I Uta, lesquels se sont faits établir des certificats médicaux de complaisance pour échapper au non paiement des jours de grève, percevoir en remplacement des indemnités journalières de la C.P.S., et être présents au piquet de grève. La Commune de Teva I Uta a décidé de saisir la C.P.S. de ce fait.
Face à ce déficit de 300 millions représentant 38 % du budget communal alors que le déficit de 300 millions de la Commune de Mahina représente 16 % de son budget communal, ce pour dénoncer les allégations mensongères du porte-parole des confédérations syndicales en grève, le Maire, l’ensemble des adjoints et des membres du conseil municipal de la Commune de Teva I Uta ont décidé de suivre les recommandations de la C.T.C. en réduisant leurs indemnités de 50 %. Le personnel non gréviste a décidé de participer à cet effort de solidarité, au moment où de nombreuses entreprises procèdent à des licenciements massifs pour motif économique.
Il est regrettable que des leaders syndicalistes parfaitement au fait de la situation économique catastrophique de notre Pays, poussent des agents communaux à la grève dans une commune qui doit relever le défi de résorber son déficit de 300 millions et remplir l’ensemble de ses obligations à l’égard des populations, que lui imposent le Code Général des Collectivités Territoriales.
Le Maire de TEVA I UTA,
Valentina Hina CROSS
Les demandes verbales de Mme le Maire de la Commune de Teva I Uta faites aux confédérations syndicales, lors des négociations du mercredi 18 août 2010, de mettre un terme à ces entraves qui pénalisent au premier chef les populations de Mataiea et Papeari, sont restées sans réponse, d’où sa décision de saisir le juge des référés pour mettre un terme à ces actes délictueux.
Si le juge des référés a décidé le vendredi 20 août 2010 de rejeter les demandes de la Commune de Teva I Uta pour des questions de preuve, la Commune a immédiatement saisi le juge des référés d’une nouvelle requête, laquelle sera examinée le mardi 24 août 2010 à 09 :00 heures.
Aussi, la Commune de Teva I Uta ne peut que dénoncer les déclarations du porte-parole des syndicats CSTP-FO, CSIP et O Oe To Oe Rima faisant part de leur surprise quant à cette procédure de référé et déclarant que la balle est dans le camp de la Commune de Teva I Uta. L’opinion publique ne saurait être dupe de la politique de désinformation et d’intoxication des leaders syndicaux pour couvrir leurs irresponsabilités dans les conflits sociaux qu’ils engagent çà et là et dont les principales victimes sont ceux qu’ils sont censés défendre.
Par ailleurs, la Commune de Teva I Uta ne peut que s’insurger contre ces leaders syndicaux qui couvrent les agissements délictueux de certains grévistes de la Commune de Teva I Uta, lesquels se sont faits établir des certificats médicaux de complaisance pour échapper au non paiement des jours de grève, percevoir en remplacement des indemnités journalières de la C.P.S., et être présents au piquet de grève. La Commune de Teva I Uta a décidé de saisir la C.P.S. de ce fait.
Face à ce déficit de 300 millions représentant 38 % du budget communal alors que le déficit de 300 millions de la Commune de Mahina représente 16 % de son budget communal, ce pour dénoncer les allégations mensongères du porte-parole des confédérations syndicales en grève, le Maire, l’ensemble des adjoints et des membres du conseil municipal de la Commune de Teva I Uta ont décidé de suivre les recommandations de la C.T.C. en réduisant leurs indemnités de 50 %. Le personnel non gréviste a décidé de participer à cet effort de solidarité, au moment où de nombreuses entreprises procèdent à des licenciements massifs pour motif économique.
Il est regrettable que des leaders syndicalistes parfaitement au fait de la situation économique catastrophique de notre Pays, poussent des agents communaux à la grève dans une commune qui doit relever le défi de résorber son déficit de 300 millions et remplir l’ensemble de ses obligations à l’égard des populations, que lui imposent le Code Général des Collectivités Territoriales.
Le Maire de TEVA I UTA,
Valentina Hina CROSS
