"Les articles de ce jour parus dans deux quotidiens de la place ne peuvent rester sans réponse.
Hier, l’équipe de Sandra LEVY-AGAMI a effectivement donné une conférence de presse pour révéler des documents découverts récemment et qui démontrent que la commune de Mahina a été condamnée le 25 mars 2013, par ordonnance, à payer pas moins de 133 millions de Fcfp à EDT, au titre de factures impayées faisant suite à l’élection de Patrice JAMET en février 2011.
Cette dette, accumulée entre avril 2011 et août 2012, correspond à la consommation électrique qui était nécessaire pour les forages et la distribution de l’eau de la commune.
Le silence entretenu par la Mairie autour de cette condamnation a inquiété Madame Sandra Levy-Agami quant à la sincérité des comptes et des promesses budgétaires faites par l'équipe JAMET.
Dans un souci de transparence, c'est légitimement que la candidate a interpellé la municipalité à ce sujet, demandant des explications.
Questionné par la presse, Le Directeur général des services Monsieur LORPHELIN déclarait au nom du Maire que . « L’ordonnance se serait soldée, au final, par un effacement des ardoises de chacune des parties », et par conséquent la commune ne devait plus rien à EDT.
Déclarations que certains journalistes se sont empressés de prendre comme argent comptant sans procéder à la moindre vérification auprès du principal concerné, à savoir EDT.
Sandra LEVY-AGAMI aurait donc encore menti… On peut ainsi lire dans les journaux locaux que Sandra LEVY-AGAMI avait "tiré une balle à blanc" ou encore que c’était un "coup d’épée dans l’eau".
Heureusement, Tahiti infos qui a réalisé un véritable travail d'investigation éclaire la situation d'un jour nouveau: « Ce scénario de fin "idéale" (pour Jamet) n'est pas tout à fait vrai non plus. Des informations en provenance d'EDT, indiquent que le différentiel est encore de 80 millions de Fcfp en faveur de la société de production électrique, qui ne coupe pas l'alimentation électrique du forage pour ne pas pénaliser les habitants de la commune ».
On comprend donc que:
- la dette est bien issue des décisions de la gestion de Patrice JAMET,
- et que la commune doit encore 80 millions de francs à EDT !
Questions : Ou est la transparence promise ? Pourquoi ne pas dire la vérité aux habitants de MAHINA ? Y a-t-il encore d’autres dettes cachées ? Quelles « surprises » attendent le futur Maire ? Et surtout combien ces « surprises » vont-elles coûter au final au contribuable de Mahina ?"
Sandra Mareva Manutahi Levy-Agami
Hier, l’équipe de Sandra LEVY-AGAMI a effectivement donné une conférence de presse pour révéler des documents découverts récemment et qui démontrent que la commune de Mahina a été condamnée le 25 mars 2013, par ordonnance, à payer pas moins de 133 millions de Fcfp à EDT, au titre de factures impayées faisant suite à l’élection de Patrice JAMET en février 2011.
Cette dette, accumulée entre avril 2011 et août 2012, correspond à la consommation électrique qui était nécessaire pour les forages et la distribution de l’eau de la commune.
Le silence entretenu par la Mairie autour de cette condamnation a inquiété Madame Sandra Levy-Agami quant à la sincérité des comptes et des promesses budgétaires faites par l'équipe JAMET.
Dans un souci de transparence, c'est légitimement que la candidate a interpellé la municipalité à ce sujet, demandant des explications.
Questionné par la presse, Le Directeur général des services Monsieur LORPHELIN déclarait au nom du Maire que . « L’ordonnance se serait soldée, au final, par un effacement des ardoises de chacune des parties », et par conséquent la commune ne devait plus rien à EDT.
Déclarations que certains journalistes se sont empressés de prendre comme argent comptant sans procéder à la moindre vérification auprès du principal concerné, à savoir EDT.
Sandra LEVY-AGAMI aurait donc encore menti… On peut ainsi lire dans les journaux locaux que Sandra LEVY-AGAMI avait "tiré une balle à blanc" ou encore que c’était un "coup d’épée dans l’eau".
Heureusement, Tahiti infos qui a réalisé un véritable travail d'investigation éclaire la situation d'un jour nouveau: « Ce scénario de fin "idéale" (pour Jamet) n'est pas tout à fait vrai non plus. Des informations en provenance d'EDT, indiquent que le différentiel est encore de 80 millions de Fcfp en faveur de la société de production électrique, qui ne coupe pas l'alimentation électrique du forage pour ne pas pénaliser les habitants de la commune ».
On comprend donc que:
- la dette est bien issue des décisions de la gestion de Patrice JAMET,
- et que la commune doit encore 80 millions de francs à EDT !
Questions : Ou est la transparence promise ? Pourquoi ne pas dire la vérité aux habitants de MAHINA ? Y a-t-il encore d’autres dettes cachées ? Quelles « surprises » attendent le futur Maire ? Et surtout combien ces « surprises » vont-elles coûter au final au contribuable de Mahina ?"
Sandra Mareva Manutahi Levy-Agami
