Meeting de Te Nati Bleu Marine sur les hauteurs de Miri
Ce lundi 28 mai en fin d’après-midi, Eric Minardi, candidat Te Nati Bleu Marine dans la 3ème circonscription, et sa suppléante Holly Raa, accueillaient sur les hauteurs de Miri ses militants et sympathisants.
La présence de nombreux électeurs venus de quartiers déshérités visités par le candidat ces dernières semaines a été l’occasion d’échanges très forts sur les attentes et les espoirs de ces « oubliés » de la Polynésie.
Après la prière inspirée d’une grand-mère qui lutte chaque jour pour nourrir 22 personnes, les témoignages de ces familles, la description de leurs difficultés à retrouver leur emploi perdu, leur aspiration à un travail leur permettant de vivre décemment et surtout dans la dignité ont profondément ému les militants.
« Nous nous battons depuis des semaines pour aller à leur rencontre, c’est pour eux que nous menons cette campagne. Aujourd’hui, ils sont là pour nous souhaiter un grand Faito Ito, c’est une sacrée récompense ».
A quelques jours du 1er tour, la confiance du candidat et des militants ne faiblit pas : « Maintenant, la prochaine étape, c’est dans les urnes ! ».
La présence de nombreux électeurs venus de quartiers déshérités visités par le candidat ces dernières semaines a été l’occasion d’échanges très forts sur les attentes et les espoirs de ces « oubliés » de la Polynésie.
Après la prière inspirée d’une grand-mère qui lutte chaque jour pour nourrir 22 personnes, les témoignages de ces familles, la description de leurs difficultés à retrouver leur emploi perdu, leur aspiration à un travail leur permettant de vivre décemment et surtout dans la dignité ont profondément ému les militants.
« Nous nous battons depuis des semaines pour aller à leur rencontre, c’est pour eux que nous menons cette campagne. Aujourd’hui, ils sont là pour nous souhaiter un grand Faito Ito, c’est une sacrée récompense ».
A quelques jours du 1er tour, la confiance du candidat et des militants ne faiblit pas : « Maintenant, la prochaine étape, c’est dans les urnes ! ».
Communiqué de Eric Minardi, candidat Te Nati Bleu Marine dans la 3ème circoncription
Lorsque Te Nati Bleu Marine a parlé du RSA pour la première fois en Polynésie par téléconférence le 22 février 2012, nous étions loin de penser que cette idée serait récupérée par autant de formations politiques mais surtout avec autant de légèreté et de démagogie.
Légèreté et démagogie quand on fait miroiter le bénéfice d’un tel dispositif à quasiment 25% de la population, instituant de manière irresponsable un mécanisme d’assistanat généralisé sans contrôle.
Pour Te Nati Bleu Marine, il s’agit très précisément de donner annuellement un coup de pouce à environ 5.000 familles polynésiennes prioritaires, confrontées aux pires conditions d’existence, pour ne pas dire de survie.
Te Nati Bleu Marine est arrivé à ce chiffrage car il correspond précisément à ce que nous sommes en mesure de financer.
Mais la priorité pour Eric Minardi est avant tout de recréer les conditions du retour à l’emploi pour toutes les familles qui souffrent : en effet, seul le travail leur redonnera l’espoir et la dignité. L’assistanat n’est absolument pas la solution !
Ce n’est pas par hasard que Te Nati Bleu Marine a axé son programme sur le terrain économique et non pas politique. L’emploi et le logement sont la base d’une société en bonne santé : il faut permettre aux familles qui cohabitent dans des conditions de promiscuité et d’hygiène scandaleuses de retrouver des situations décentes et de reprendre espoir pour leurs enfants.
A cet égard, Eric Minardi invite tous les candidats et commentateurs à quitter un instant leurs meetings festifs ou leurs bureaux climatisés et à arpenter, comme nous le faisons depuis des semaines avec nos militants, les quartiers abandonnés de tous (Vallée des cochons à Faa’a, Outomaoro, et bien d’autres).
On a reproché au candidat Eric Minardi de ne pas arborer un large sourire, encore moins de collier de fleurs, sur son affiche de candidature : mais quand on voit la situation du petit peuple polynésien, il n’y a vraiment pas matière à rire !
Des quartiers entiers n’ont ni eau potable, ni électricité.
Des centaines de familles qui s’entassent à quelques dizaines de mètres de lotissements disposant de toutes ces commodités.
Comment expliquer que rien ne soit fait pour étendre les réseaux d’eau et d’électricité à des tarifs sociaux pour ces familles dans le besoin ?
Si les politiques et les acteurs de l’économie ne prennent pas la mesure de l’ampleur du désarroi, du désespoir même, qui découle du chômage et frappe autant de nos compatriotes polynésiens, notre Pays ira tout droit à la catastrophe.
Cela, Te Nati Bleu Marine le refuse !
Eric Minardi, candidat de Te Nati Bleu Marine, n’est pas un professionnel de la politique. C’est un chef d’entreprise qui a commencé comme ouvrier sur les chantiers. Par la suite, il a créé en Polynésie plus de 2.000 emplois en 30 ans, construit des centaines des fare et des milliers de logements collectifs.
Il aime profondément ce Pays et ses habitants et Te Nati Bleu Marine s’engage pour eux à peser de toute la force de ses convictions et de son expérience des dossiers complexes pour qu’aboutissent les projets dont ce Pays a besoin, pour retrouver un dynamisme économique au service d’une véritable équité sociale.
Légèreté et démagogie quand on fait miroiter le bénéfice d’un tel dispositif à quasiment 25% de la population, instituant de manière irresponsable un mécanisme d’assistanat généralisé sans contrôle.
Pour Te Nati Bleu Marine, il s’agit très précisément de donner annuellement un coup de pouce à environ 5.000 familles polynésiennes prioritaires, confrontées aux pires conditions d’existence, pour ne pas dire de survie.
Te Nati Bleu Marine est arrivé à ce chiffrage car il correspond précisément à ce que nous sommes en mesure de financer.
Mais la priorité pour Eric Minardi est avant tout de recréer les conditions du retour à l’emploi pour toutes les familles qui souffrent : en effet, seul le travail leur redonnera l’espoir et la dignité. L’assistanat n’est absolument pas la solution !
Ce n’est pas par hasard que Te Nati Bleu Marine a axé son programme sur le terrain économique et non pas politique. L’emploi et le logement sont la base d’une société en bonne santé : il faut permettre aux familles qui cohabitent dans des conditions de promiscuité et d’hygiène scandaleuses de retrouver des situations décentes et de reprendre espoir pour leurs enfants.
A cet égard, Eric Minardi invite tous les candidats et commentateurs à quitter un instant leurs meetings festifs ou leurs bureaux climatisés et à arpenter, comme nous le faisons depuis des semaines avec nos militants, les quartiers abandonnés de tous (Vallée des cochons à Faa’a, Outomaoro, et bien d’autres).
On a reproché au candidat Eric Minardi de ne pas arborer un large sourire, encore moins de collier de fleurs, sur son affiche de candidature : mais quand on voit la situation du petit peuple polynésien, il n’y a vraiment pas matière à rire !
Des quartiers entiers n’ont ni eau potable, ni électricité.
Des centaines de familles qui s’entassent à quelques dizaines de mètres de lotissements disposant de toutes ces commodités.
Comment expliquer que rien ne soit fait pour étendre les réseaux d’eau et d’électricité à des tarifs sociaux pour ces familles dans le besoin ?
Si les politiques et les acteurs de l’économie ne prennent pas la mesure de l’ampleur du désarroi, du désespoir même, qui découle du chômage et frappe autant de nos compatriotes polynésiens, notre Pays ira tout droit à la catastrophe.
Cela, Te Nati Bleu Marine le refuse !
Eric Minardi, candidat de Te Nati Bleu Marine, n’est pas un professionnel de la politique. C’est un chef d’entreprise qui a commencé comme ouvrier sur les chantiers. Par la suite, il a créé en Polynésie plus de 2.000 emplois en 30 ans, construit des centaines des fare et des milliers de logements collectifs.
Il aime profondément ce Pays et ses habitants et Te Nati Bleu Marine s’engage pour eux à peser de toute la force de ses convictions et de son expérience des dossiers complexes pour qu’aboutissent les projets dont ce Pays a besoin, pour retrouver un dynamisme économique au service d’une véritable équité sociale.