A la suite de sa mise en examen hier, M. Edouard Fritch tient à apporter les précisions suivantes.
Il est reproché à M. Edouard Fritch le fait, qu’en 2007, le conseil municipal de Pirae ait adopté une délibération approuvant le versement d’une subvention exceptionnelle de 15 millions à l’association Radio Maohi. Cette délibération a été approuvée par l’administrateur d’Etat en charge du contrôle de la légalité des actes municipaux.
L’utilisation de la subvention était encadrée par une convention passée entre la commune et l’association, obligeant la radio à consacrer une large part de son antenne (tous les matins de 7h30 à 11 h 30) à la promotion des activités communales ainsi que des associations de la commune. Cette convention a également reçu l’aval de l’administrateur d’Etat avant d’être rendue exécutoire.
C’est donc en toute transparence que cette subvention a été versée, sans qu’il n’y ait été fait obstacle par le contrôle de légalité ou par le Trésor Public.
M. Edouard Fritch conteste donc les termes de sa mise en examen.
M. Edouard Fritch s’étonne d’une part que ce dossier arrive sur la place publique à la veille d’élections, alors qu’une information est ouverte depuis 2011, et d’autre part que le maire de Faa’a ne soit pas, semble-t-il, pour l’heure inquiété.
En effet, ans son rapport du 30 novembre 2009 sur l’association Radio Tefana, la chambre territoriale des comptes a repris les mêmes termes que pour Radio Maohi pour évoquer la subvention annuelle de 80 millions accordée par la commune de Faa’a à Radio Tefana.
Il est reproché à M. Edouard Fritch le fait, qu’en 2007, le conseil municipal de Pirae ait adopté une délibération approuvant le versement d’une subvention exceptionnelle de 15 millions à l’association Radio Maohi. Cette délibération a été approuvée par l’administrateur d’Etat en charge du contrôle de la légalité des actes municipaux.
L’utilisation de la subvention était encadrée par une convention passée entre la commune et l’association, obligeant la radio à consacrer une large part de son antenne (tous les matins de 7h30 à 11 h 30) à la promotion des activités communales ainsi que des associations de la commune. Cette convention a également reçu l’aval de l’administrateur d’Etat avant d’être rendue exécutoire.
C’est donc en toute transparence que cette subvention a été versée, sans qu’il n’y ait été fait obstacle par le contrôle de légalité ou par le Trésor Public.
M. Edouard Fritch conteste donc les termes de sa mise en examen.
M. Edouard Fritch s’étonne d’une part que ce dossier arrive sur la place publique à la veille d’élections, alors qu’une information est ouverte depuis 2011, et d’autre part que le maire de Faa’a ne soit pas, semble-t-il, pour l’heure inquiété.
En effet, ans son rapport du 30 novembre 2009 sur l’association Radio Tefana, la chambre territoriale des comptes a repris les mêmes termes que pour Radio Maohi pour évoquer la subvention annuelle de 80 millions accordée par la commune de Faa’a à Radio Tefana.