Ces propos relèvent du pur fantasme politicien, notre groupe étant, plus que jamais, aux côtés du président TONG SANG, du vice-président FRITCH et des ministres qui les soutiennent loyalement, pour mener à bien la politique du gouvernement.
Notre groupe a voté, en commission et en séance, le collectif non pas pour soutenir la démarche isolée du Sénateur et de ses nouveaux amis de circonstance, mais pour permettre : aux polynésiens sans-emplois ou dans la précarité de bénéficier du paiement de leurs allocations, aux enfants de nos îles de poursuivre leur scolarité, aux jeunes ménages de bénéficier d’aides pour acheter un logement, à notre pays, tout simplement, de se maintenir, le plus possible, hors des tourments de la crise. Prétendre le contraire ne serait que mensonge !
Et ce ne sont pas les mesures d’affichages du sénateur qui ont permis à ce collectif d’aller dans ce sens ! Non ! Ce sont les dispositions initiales du gouvernement, soutenues par nos élus et par tous les élus disposant de bon sens qui ont compris que l’heure n’était ni à la polémique ni aux disputes de cours d’école. Dispositions préservées tant bien que mal tant les tentatives de dévoiement ont été nombreuses !
Il serait temps que le Sénateur revienne à la réalité du moment et cesse de promener la population, au gré de ses interviews, dans des contre-vérités qui ne risquent qu’une chose : accroître encore plus le fossé entre la population et la classe politique.
Nous devons cependant reconnaître, en toute humilité, que lorsqu’il était président : Air Flosse One, la Présidence, la mairie de Pirae, les dizaines de voitures de fonction haut-de-gamme (la liste est longue) qu’il a gracieusement financé ont sans aucun doute permis de résorber la misère de la population ! De même que les aménagements de Fakarava étaient sans doute dédiés à accueillir les enfants de la SAGA !
Pour ce qui nous concerne, nous n’aurons de cesse d’appeler ces élus, tentés par l’instabilité ou le retour à une époque révolue, au réalisme et à la responsabilité.
Malheureusement, la « prestation » d’hier du Sénateur nous donne l’amère impression de prêcher dans le désert…
Notre groupe a voté, en commission et en séance, le collectif non pas pour soutenir la démarche isolée du Sénateur et de ses nouveaux amis de circonstance, mais pour permettre : aux polynésiens sans-emplois ou dans la précarité de bénéficier du paiement de leurs allocations, aux enfants de nos îles de poursuivre leur scolarité, aux jeunes ménages de bénéficier d’aides pour acheter un logement, à notre pays, tout simplement, de se maintenir, le plus possible, hors des tourments de la crise. Prétendre le contraire ne serait que mensonge !
Et ce ne sont pas les mesures d’affichages du sénateur qui ont permis à ce collectif d’aller dans ce sens ! Non ! Ce sont les dispositions initiales du gouvernement, soutenues par nos élus et par tous les élus disposant de bon sens qui ont compris que l’heure n’était ni à la polémique ni aux disputes de cours d’école. Dispositions préservées tant bien que mal tant les tentatives de dévoiement ont été nombreuses !
Il serait temps que le Sénateur revienne à la réalité du moment et cesse de promener la population, au gré de ses interviews, dans des contre-vérités qui ne risquent qu’une chose : accroître encore plus le fossé entre la population et la classe politique.
Nous devons cependant reconnaître, en toute humilité, que lorsqu’il était président : Air Flosse One, la Présidence, la mairie de Pirae, les dizaines de voitures de fonction haut-de-gamme (la liste est longue) qu’il a gracieusement financé ont sans aucun doute permis de résorber la misère de la population ! De même que les aménagements de Fakarava étaient sans doute dédiés à accueillir les enfants de la SAGA !
Pour ce qui nous concerne, nous n’aurons de cesse d’appeler ces élus, tentés par l’instabilité ou le retour à une époque révolue, au réalisme et à la responsabilité.
Malheureusement, la « prestation » d’hier du Sénateur nous donne l’amère impression de prêcher dans le désert…
