Tahiti, le 10 janvier 2020 - En Polynésie, des tonnes de nourriture parfaitement consommables sont jetées chaque années par nos snacks, restaurants et roulottes. Pour limiter cette gabegie, la CCISM et l'ADEME cherchent des volontaires pour participer à une étude sur la réduction du gaspillage alimentaire en restauration.
Dans la restauration, il faut pouvoir servir tous les plats offerts au menu même si personne ne les commande... Quitte à jeter les stocks d'invendus. Il y a aussi des clients qui ne terminent pas leur plat, les erreurs de commande, les ingrédients commandés en trop grosse quantité ou oubliés au réfrigérateur... Au total, des tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année. Dans le monde, un tiers de la nourriture produite est finalement jetée.
Ces pertes ont un coût économique important pour les restaurateurs et leurs clients, mais aussi pour la société. Produire notre nourriture a un impact sur l'environnement, entre sa fabrication, sa transformation, son transport, les emballages et la gestion des déchets. Au niveau mondial, le gaspillage alimentaire émet presque autant de gaz à effet de serre que les Etats-Unis, deuxième plus gros pollueur de la planète après la Chine... Sans parler du problème éthique de gaspiller de la nourriture alors que 800 millions d'être humains souffrent encore de la faim sur notre planète.
La Chambre de Commerce, d'Industrie, des Services et des Métiers (CCISM) et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) ont donc lancé une initiative pour réduire le gaspillage alimentaire dans la restauration polynésienne. Ces organismes cherchent des restaurants, snacks et roulottes volontaires pour participer à une grande action pour lutter contre ce problème. Ils bénéficieront d'un accompagnement personnalisé avec un expert international qui viendra en Polynésie en février. Il s'agira de mener une étude sur l'ampleur et les causes du problème en Polynésie, puis de mettre en place des actions pour le réduire.
L'initiative se déroulera en plusieurs étapes :
Les actions auront lieu entre février et avril 2020. Pour les restaurateurs volontaires, la rencontre avec l’expert prendra 2 à 3 heures en février 2020, et les pesées seront à réaliser sur une dizaine de jours.
Les restaurateurs intéressés par cette opération peuvent contacter la cellule QHSE de la CCISM : [email protected] ou au 40 47 27 47.
Dans la restauration, il faut pouvoir servir tous les plats offerts au menu même si personne ne les commande... Quitte à jeter les stocks d'invendus. Il y a aussi des clients qui ne terminent pas leur plat, les erreurs de commande, les ingrédients commandés en trop grosse quantité ou oubliés au réfrigérateur... Au total, des tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année. Dans le monde, un tiers de la nourriture produite est finalement jetée.
Ces pertes ont un coût économique important pour les restaurateurs et leurs clients, mais aussi pour la société. Produire notre nourriture a un impact sur l'environnement, entre sa fabrication, sa transformation, son transport, les emballages et la gestion des déchets. Au niveau mondial, le gaspillage alimentaire émet presque autant de gaz à effet de serre que les Etats-Unis, deuxième plus gros pollueur de la planète après la Chine... Sans parler du problème éthique de gaspiller de la nourriture alors que 800 millions d'être humains souffrent encore de la faim sur notre planète.
La Chambre de Commerce, d'Industrie, des Services et des Métiers (CCISM) et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) ont donc lancé une initiative pour réduire le gaspillage alimentaire dans la restauration polynésienne. Ces organismes cherchent des restaurants, snacks et roulottes volontaires pour participer à une grande action pour lutter contre ce problème. Ils bénéficieront d'un accompagnement personnalisé avec un expert international qui viendra en Polynésie en février. Il s'agira de mener une étude sur l'ampleur et les causes du problème en Polynésie, puis de mettre en place des actions pour le réduire.
L'initiative se déroulera en plusieurs étapes :
- Des pesées à différentes étapes de la production dans les établissements volontaires
- La production de statistiques résultants de ces comptages
- Des audits dans les établissements volontaires visant à :
- Sensibiliser les restaurateurs et leurs équipes sur la mise en place d’une démarche de réduction du gaspillage alimentaire
- Former un membre de l’équipe au suivi des données quotidiennes
- Recommander des pratiques plus vertueuses et plus économiques
- La proposition et l’expérimentation de solutions opérationnelles à mettre en œuvre pour réduire les pertes et donc le gaspillage alimentaire
- La rédaction d’une note de bonnes pratiques applicables, et ainsi expérimentées sur notre territoire.
Les actions auront lieu entre février et avril 2020. Pour les restaurateurs volontaires, la rencontre avec l’expert prendra 2 à 3 heures en février 2020, et les pesées seront à réaliser sur une dizaine de jours.
Les restaurateurs intéressés par cette opération peuvent contacter la cellule QHSE de la CCISM : [email protected] ou au 40 47 27 47.