PAPEARI, le 6 août 2018 - Un incendie s'est déclaré ce lundi matin à Vaipahi, sur le site de randonnée, au PK 50. L'alerte a été donnée aux sapeurs-pompiers de Teva i Uta, vers 9h18. Soutenus par les casernes de Taravao et de Vairao, les hommes de feu font de leur mieux pour en venir à bout.
"Nous avons reçu l'appel à 9h18", explique Gaston Tunoa, chef de corps des sapeurs-pompiers de Teva i Uta.
Un incendie s'est donc déclaré sur les hauteurs de Vaipahi, "où se trouve le site de randonnée, au PK 50".
Vu l'ampleur des flammes, les hommes de feu de Teva i Uta ont été aidés par leurs homologues de Taravao et de Vairao. L'hélicoptère de la Marine, le Dauphin est également intervenu, "depuis 11 heures, et il a fait 36 largages", souligne le colonel Pierre Masson, directeur de la Protection civile.
Pour l'heure, le feu n'est pas complètement éteint. La zone est difficilement accessible, ce qui retarde l'intervention des secours. "Nos gars font de leur mieux. Si les dernières flammes ne sont pas éteintes, à la tombée de la nuit, les équipes retourneront demain matin (mardi NDLR)", prévient le colonel Pierre Masson.
D'après les estimations des secours, ce sont 5 hectares qui sont partis déjà en fumée. Les causes de cet incendie ne sont pas encore connues. Les gendarmes mèneront leur enquête.
"Le site devrait être fermé jusqu'à jeudi, si tout va bien", prévient Gaston Tunoa.
D'ailleurs, un incendie du même type s'est déclenché aussi, dimanche, à Vairao, en rasant au passage 5 000 m² au fond d'une vallée. "Les secours ont arrêté leurs interventions vers 19 heures, pour les reprendre lundi matin", indique le directeur de la Protection civile. Une intervention supplémentaire qui leur a permis de venir à bout des flammes.
"Nous avons reçu l'appel à 9h18", explique Gaston Tunoa, chef de corps des sapeurs-pompiers de Teva i Uta.
Un incendie s'est donc déclaré sur les hauteurs de Vaipahi, "où se trouve le site de randonnée, au PK 50".
Vu l'ampleur des flammes, les hommes de feu de Teva i Uta ont été aidés par leurs homologues de Taravao et de Vairao. L'hélicoptère de la Marine, le Dauphin est également intervenu, "depuis 11 heures, et il a fait 36 largages", souligne le colonel Pierre Masson, directeur de la Protection civile.
Pour l'heure, le feu n'est pas complètement éteint. La zone est difficilement accessible, ce qui retarde l'intervention des secours. "Nos gars font de leur mieux. Si les dernières flammes ne sont pas éteintes, à la tombée de la nuit, les équipes retourneront demain matin (mardi NDLR)", prévient le colonel Pierre Masson.
D'après les estimations des secours, ce sont 5 hectares qui sont partis déjà en fumée. Les causes de cet incendie ne sont pas encore connues. Les gendarmes mèneront leur enquête.
"Le site devrait être fermé jusqu'à jeudi, si tout va bien", prévient Gaston Tunoa.
D'ailleurs, un incendie du même type s'est déclenché aussi, dimanche, à Vairao, en rasant au passage 5 000 m² au fond d'une vallée. "Les secours ont arrêté leurs interventions vers 19 heures, pour les reprendre lundi matin", indique le directeur de la Protection civile. Une intervention supplémentaire qui leur a permis de venir à bout des flammes.
Les préconisations du Haut-commissariat
En période de sécheresse et de vent pendant laquelle peuvent se multiplier les départs de feux, le haut-commissariat rappelle que le brûlage des végétaux, s’il n’est pas déjà réglementé par un arrêté municipal, doit respecter les précautions suivantes :
- veiller à informer le maire et les sapeurs-pompiers locaux du projet de brûlage ;
- le brûlage doit être plutôt réalisé en milieu de matinée ;
- seule une quantité limitée de déchets de végétaux inférieure à un demi mètre cube peut être brûlée, en une seule fois. Le brûlage d’autres déchets est strictement interdit, quelle qu’en soit la nature ou la quantité ;
- le brûlage ne peut avoir lieu que chez la personne qui en prend l’initiative, et à une distance qui ne pourra être inférieure à dix mètres des bâtiments alentours et de la limite des propriétés voisines ;
- avant tout allumage de feu, des mesures d’extinction adaptées doivent être mises en place ;
- tout feu est proscrit par grand vent (supérieur à 20 km/h) ou lorsque la fumée risque de gêner la circulation publique ou de provoquer tout autre trouble manifeste ;
- le feu doit, pendant toute sa durée, être surveillé, sans interruption, par au moins un adulte et être totalement éteint avant de quitter les lieux.
- veiller à informer le maire et les sapeurs-pompiers locaux du projet de brûlage ;
- le brûlage doit être plutôt réalisé en milieu de matinée ;
- seule une quantité limitée de déchets de végétaux inférieure à un demi mètre cube peut être brûlée, en une seule fois. Le brûlage d’autres déchets est strictement interdit, quelle qu’en soit la nature ou la quantité ;
- le brûlage ne peut avoir lieu que chez la personne qui en prend l’initiative, et à une distance qui ne pourra être inférieure à dix mètres des bâtiments alentours et de la limite des propriétés voisines ;
- avant tout allumage de feu, des mesures d’extinction adaptées doivent être mises en place ;
- tout feu est proscrit par grand vent (supérieur à 20 km/h) ou lorsque la fumée risque de gêner la circulation publique ou de provoquer tout autre trouble manifeste ;
- le feu doit, pendant toute sa durée, être surveillé, sans interruption, par au moins un adulte et être totalement éteint avant de quitter les lieux.
Durant cette période, quelques consignes d’usage sont à respecter :
- éviter de jeter des mégots notamment par les vitres de voitures ;
- ne pas laisser traîner des bouteilles en verre ;
- être vigilant lorsqu'on fait un barbecue et notamment disposer d'une arrivée d'eau à proximité ;
- ne pas utiliser de feux d’artifice ;
- débroussailler une bande de 50 mètres autour des zones exposées aux risques de feux de brousse.
- éviter de jeter des mégots notamment par les vitres de voitures ;
- ne pas laisser traîner des bouteilles en verre ;
- être vigilant lorsqu'on fait un barbecue et notamment disposer d'une arrivée d'eau à proximité ;
- ne pas utiliser de feux d’artifice ;
- débroussailler une bande de 50 mètres autour des zones exposées aux risques de feux de brousse.