Rangiroa, le 20 décembre 2020 – Jeudi dernier, les associations Manaora, Ihiheiroa et Mokkaran Protection Society ont organisé une campagne de ramassage de taramea dans la zone au niveau de l'angle de la passe de Avatoru. Près de 400 ont été récoltés !
L’Acanthasterplanci, ou taramea pour les Polynésiens, prédateur des coraux, est un fléau qui ne cesse de se propager. Pour ralentir sa progression, plusieurs bénévoles, y compris pêcheurs, plongeurs, voire excursionnistes, ont participé à une importante opération de ramassage avec la commune de Rangiroa.
Le départ a été donné vers 8h30 jeudi dernier, à la marina de Avatoru et plusieurs embarcations ont été mobilisées pour cet événement ainsi qu'une barge fournie par la commune. "Le taramea est une espèce qui pollue dans le sens d’une pollution biologique naturelle qui tue nos coraux" déclare Alexander Mataarere, membre de l’association Mokkaran Protection Society. Pour Mana Mauri, membre de l’association Manaora,"cette journée s’est très bien passée, il y a eu pas mal de monde. Après la passe de Tiputa, aujourd’hui c’est au tour de la passe de Avatoru et nous continuerons cette campagne sur d’autres sites dans les prochains jours".
Au final, près de 400 taramea ont été extraits du site, que les bénévoles sont allés chercher entre 10 et 25 mètres de profondeur. Ces taramea seront utilisés comme engrais naturel.
L’Acanthasterplanci, ou taramea pour les Polynésiens, prédateur des coraux, est un fléau qui ne cesse de se propager. Pour ralentir sa progression, plusieurs bénévoles, y compris pêcheurs, plongeurs, voire excursionnistes, ont participé à une importante opération de ramassage avec la commune de Rangiroa.
Le départ a été donné vers 8h30 jeudi dernier, à la marina de Avatoru et plusieurs embarcations ont été mobilisées pour cet événement ainsi qu'une barge fournie par la commune. "Le taramea est une espèce qui pollue dans le sens d’une pollution biologique naturelle qui tue nos coraux" déclare Alexander Mataarere, membre de l’association Mokkaran Protection Society. Pour Mana Mauri, membre de l’association Manaora,"cette journée s’est très bien passée, il y a eu pas mal de monde. Après la passe de Tiputa, aujourd’hui c’est au tour de la passe de Avatoru et nous continuerons cette campagne sur d’autres sites dans les prochains jours".
Au final, près de 400 taramea ont été extraits du site, que les bénévoles sont allés chercher entre 10 et 25 mètres de profondeur. Ces taramea seront utilisés comme engrais naturel.