Organisé par la Maison de la culture – Te Fare Tauhiti Nui, le Hura Tapairu entame sa septième édition. Au fil des années, ce concours de danses traditionnelles est devenu l’un des temps fort du calendrier des manifestations culturelles attirant toujours davantage de formations. Pour l’occasion, 26 concurrents en lice rivaliseront dès ce soir de talent et de créativité pour le plus grand plaisir des spectateurs.
En substance, le Hura Tapairu se définit d’après son règlement comme « un concours de danses traditionnelles qui se veut différent du Heiva i Tahiti ». À ce titre « les groupes participants présentent des œuvres originales inspirées du patrimoine culturel du fenua. Ce concours est organisé en particulier à l’adresse des comités d’entreprises des services et entreprises du territoire et des groupes se produisant dans les hôtels, au Heiva i Tahiti ou encore aux écoles de danses ainsi qu’aux groupes de quartier. » Dans les faits, les troupes qui se présentent au Hura Tapairu sont donc issues d’horizons variés. Pour Moanaura Teheiura , président du jury de l’édition 2011, le Hura Tapairu constitue avant tout « un tremplin pour les jeunes » avec notamment la participation de groupes qui se créent parfois spécialement pour l’occasion. Forts de cette première expérience, il arrive que ces mêmes troupes se lancent ensuite dans l’aventure du Heiva i Tahiti. Mais la scène du grand théâtre s’est également vu investie par des groupes chevronnés comme Hei Tahiti ou encore Ahutoru Nui cette année. Comme le précise Vaiana Giraud de la cellule communication de l’établissement organisateur « la souplesse que permet le Hura Tapairu » rend attractif cette manifestation. La participation de ces groupes au palmarès éloquent est perçue comme « un signe de la vitalité du Hura Tapairu ». En effet, on relève peu de contraintes dans l’élaboration des costumes ou le choix des pas notamment. Par ailleurs, la structure du spectacle et le thème sont quasiment libres.
Ce qui fait que les formations partent à armes égales est l’effectif réduit requis qui oscille entre 15 et 20 personnes. Comme le souligne Vaiana Giraud, « c’est moins difficile de recruter car la plupart des groupes de quartiers, d’hôtels, des troupes que l’on retrouve au Heiva ont toujours une base qui rentre dans ce cadre là et ont peu de difficulté à mettre en place le Hura Tapairu ». En définitif, « c’est vraiment la créativité et le talent des jeunes chorégraphes qui sont mis en avant » évoque Moanaura Teheiura. Du fait du cadre que constitue la scène du grand théâtre et de la souplesse du contexte de ce concours se dégagent également « d’autres formes de créativité qui sont totalement différentes, avec une autre expression du mouvement et surtout une grande liberté dans l’expression artistique » précise le président du jury 2011.
Un autre pôle d’intérêt et de motivation est aussi le cahier des prix dont le montant exceptionnel s’élève à 2 300 000 fcp.
En substance, le Hura Tapairu se définit d’après son règlement comme « un concours de danses traditionnelles qui se veut différent du Heiva i Tahiti ». À ce titre « les groupes participants présentent des œuvres originales inspirées du patrimoine culturel du fenua. Ce concours est organisé en particulier à l’adresse des comités d’entreprises des services et entreprises du territoire et des groupes se produisant dans les hôtels, au Heiva i Tahiti ou encore aux écoles de danses ainsi qu’aux groupes de quartier. » Dans les faits, les troupes qui se présentent au Hura Tapairu sont donc issues d’horizons variés. Pour Moanaura Teheiura , président du jury de l’édition 2011, le Hura Tapairu constitue avant tout « un tremplin pour les jeunes » avec notamment la participation de groupes qui se créent parfois spécialement pour l’occasion. Forts de cette première expérience, il arrive que ces mêmes troupes se lancent ensuite dans l’aventure du Heiva i Tahiti. Mais la scène du grand théâtre s’est également vu investie par des groupes chevronnés comme Hei Tahiti ou encore Ahutoru Nui cette année. Comme le précise Vaiana Giraud de la cellule communication de l’établissement organisateur « la souplesse que permet le Hura Tapairu » rend attractif cette manifestation. La participation de ces groupes au palmarès éloquent est perçue comme « un signe de la vitalité du Hura Tapairu ». En effet, on relève peu de contraintes dans l’élaboration des costumes ou le choix des pas notamment. Par ailleurs, la structure du spectacle et le thème sont quasiment libres.
Ce qui fait que les formations partent à armes égales est l’effectif réduit requis qui oscille entre 15 et 20 personnes. Comme le souligne Vaiana Giraud, « c’est moins difficile de recruter car la plupart des groupes de quartiers, d’hôtels, des troupes que l’on retrouve au Heiva ont toujours une base qui rentre dans ce cadre là et ont peu de difficulté à mettre en place le Hura Tapairu ». En définitif, « c’est vraiment la créativité et le talent des jeunes chorégraphes qui sont mis en avant » évoque Moanaura Teheiura. Du fait du cadre que constitue la scène du grand théâtre et de la souplesse du contexte de ce concours se dégagent également « d’autres formes de créativité qui sont totalement différentes, avec une autre expression du mouvement et surtout une grande liberté dans l’expression artistique » précise le président du jury 2011.
Un autre pôle d’intérêt et de motivation est aussi le cahier des prix dont le montant exceptionnel s’élève à 2 300 000 fcp.
Des catégories de concours variées
3è prix 2010 Toa Reva Taurea (photo Fabien Chin)
Les prestations des groupes en lice s’insèrent dans différentes catégories. On relève notamment un concours « over all » comprenant un concours de ‘ote’a et un concours de ‘aparima.
Un autre concours est celui des hula. Moanauara Teheiura rappelle à ce propos « on a pris le mot populaire hula qui vient étymologiquement du hawaiien. Mais ce qu’on appelle hula ici à Tahiti se sont des ‘aparima qui ont un rythme un peu plus lent, principalement en quatre temps et qui sont dansés soit par les filles soit par les garçons ».
Enfin un dernier concours facultatif en solo pour le Ori Tahito Vahine et/ou le Ori Tahito Tane qui illustre la période des années 1930 à 1950. Cette dernière catégorie est « clairement laissée à la libre appréciation de chaque membre du jury » selon son président mais en référence à l’époque définie. Il évoque encore le conseil donné aux groupes de chercher à « recréer surtout une atmosphère ». Les fonds de l’ICA représentent à ce titre une source d’informations précieuse. Ce qui est pris en considération ici c’est donc un ensemble qui se décline aussi bien en termes de chorégraphie, de costumes, de texture musicale et qui relève d’expression artistique particulière.
Un autre concours est celui des hula. Moanauara Teheiura rappelle à ce propos « on a pris le mot populaire hula qui vient étymologiquement du hawaiien. Mais ce qu’on appelle hula ici à Tahiti se sont des ‘aparima qui ont un rythme un peu plus lent, principalement en quatre temps et qui sont dansés soit par les filles soit par les garçons ».
Enfin un dernier concours facultatif en solo pour le Ori Tahito Vahine et/ou le Ori Tahito Tane qui illustre la période des années 1930 à 1950. Cette dernière catégorie est « clairement laissée à la libre appréciation de chaque membre du jury » selon son président mais en référence à l’époque définie. Il évoque encore le conseil donné aux groupes de chercher à « recréer surtout une atmosphère ». Les fonds de l’ICA représentent à ce titre une source d’informations précieuse. Ce qui est pris en considération ici c’est donc un ensemble qui se décline aussi bien en termes de chorégraphie, de costumes, de texture musicale et qui relève d’expression artistique particulière.
Des titres remis en jeux
Manava Tahiti (photo Fabien Chin)
Enfin, l’organisation du concours prévoit deux parties. Une première qui fera l’objet d’une notation minutieuse groupe par groupe et déterminera les finalistes. Une deuxième partie qui se jouera le dernier soir. En effet, le jury et le public auront l’occasion d’apprécier à nouveau les prestations des troupes et annonceront les résultats définitifs à l’issue de la soirée. A noter que pour l’occasion les critères de notation seront réduits et regroupés sur une seule page laissant ainsi aux membres du jury la possibilité de réajuster ses choix suivant le déroulement des prestations.
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