Paris, France | AFP | lundi 21/05/2017 - Le Premier secrétaire du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis a estimé lundi qu'il n'était "pas impossible" que le parti change de nom, affirmant qu'il fallait "prendre en compte" la "demande de renouvellement".
Interrogé sur France Inter sur un possible changement du nom du PS, M. Cambadélis a répondu: "Ce n'est pas impossible, on le décidera".
Quant à son maintien à la tête du parti en cas de défaite aux législatives, "on verra ça le 18 juin, on prendra les décisions tous ensemble", a-t-il dit.
"Je pense que le Parti socialiste va se refonder, se reformuler, se restructurer, qu'il y aura beaucoup de travail et que je serai au milieu de ce travail", a-t-il indiqué, précisant qu'un congrès du parti "aura lieu, le problème c'est quand".
"Je pense qu'il faut réfléchir un peu plus longuement", a-t-il dit.
Le patron du PS, qui occupe ses fonctions depuis avril 2014, n'a pas semblé non plus opposé à un déménagement du siège de la rue de Solférino où le parti s'est installé au début des années 1980.
"Oui, à partir du moment où vous changez, on change tout", a-t-il expliqué, estimant qu'"il faudra marquer une nouvelle époque" et "prendre en compte" la "demande du renouvellement".
"Aujourd'hui, on voit bien qu'il faut tout à la fois une continuité et qu'il faut incarner. Le PS ne peut plus vivre comme la SFIO, c'est à dire avec une verticalité, nous laissons ça à Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron ou à Marine Le Pen", a-t-il fait valoir.
"Il faut faire vivre plus fortement les mouvements associatifs, être en interaction avec la société civile et les mouvements citoyens, il faut trouver une nouvelle formule d'agrégat politique", a aussi déclaré M. Cambadélis.
Interrogé sur France Inter sur un possible changement du nom du PS, M. Cambadélis a répondu: "Ce n'est pas impossible, on le décidera".
Quant à son maintien à la tête du parti en cas de défaite aux législatives, "on verra ça le 18 juin, on prendra les décisions tous ensemble", a-t-il dit.
"Je pense que le Parti socialiste va se refonder, se reformuler, se restructurer, qu'il y aura beaucoup de travail et que je serai au milieu de ce travail", a-t-il indiqué, précisant qu'un congrès du parti "aura lieu, le problème c'est quand".
"Je pense qu'il faut réfléchir un peu plus longuement", a-t-il dit.
Le patron du PS, qui occupe ses fonctions depuis avril 2014, n'a pas semblé non plus opposé à un déménagement du siège de la rue de Solférino où le parti s'est installé au début des années 1980.
"Oui, à partir du moment où vous changez, on change tout", a-t-il expliqué, estimant qu'"il faudra marquer une nouvelle époque" et "prendre en compte" la "demande du renouvellement".
"Aujourd'hui, on voit bien qu'il faut tout à la fois une continuité et qu'il faut incarner. Le PS ne peut plus vivre comme la SFIO, c'est à dire avec une verticalité, nous laissons ça à Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron ou à Marine Le Pen", a-t-il fait valoir.
"Il faut faire vivre plus fortement les mouvements associatifs, être en interaction avec la société civile et les mouvements citoyens, il faut trouver une nouvelle formule d'agrégat politique", a aussi déclaré M. Cambadélis.