ALAIN JOCARD / AFP
TAHITI, le 2 novembre 2021 - Les représentants de plus de 100 pays participent à la Conférence de Glasgow (Écosse) 2021 sur les changements climatiques organisée du 1er au 12 novembre. Ils devront prendre des décisions drastiques pour sauver la planète Terre.
"La COP26 devra obligatoirement être un succès et amener à une rehausse réelle des ambitions et mesures, à la mesure de l’enjeu et de la menace que fait peser le réchauffement climatique", disaient les ministres bruxellois et wallon en 2019 au sortir de la COP25. La COP 26 vient de s’ouvrir, les attentes et les enjeux sont grands.
Elle est la 26e Conférence des parties et a lieu à Glasgow, en Écosse, du 1er au 12 novembre. Elle réunit les pays signataires de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Elle est organisée par le Royaume-Uni en partenariat avec l’Italie. Elle devait avoir lieu en 2020, mais a été reportée en raison de la crise sanitaire.
La première COP a eu lieu en 1995. Depuis, chaque année, une centaine de pays se réunissent pour parler du climat et de la lutte contre le réchauffement climatique.
Depuis ses origines la planète a connu des périodes glaciaires et des périodes plus chaudes. Mais des dysfonctionnements apparaissent. On enregistre les températures moyennes sur terre depuis 1880 et on s’aperçoit que les températures augmentent et que l’augmentation s’accélère. Cette situation est en lien avec les activités humaines.
Des phénomènes climatiques extrêmes
La combustion de charbon, pétrole, gaz qui sont nos principales sources d’énergie encore aujourd’hui rejettent du CO2. Les élevages intensifs (avec les pets et rots des vaches notamment) rejettent du méthane. Or, le CO2 est le premier gaz à effet de serre, le méthane le deuxième.
Conséquences ? Les phénomènes climatiques extrêmes (ouragans, inondations, sécheresses…) ont doublé depuis 1990. Ils font de gros dégâts. Les glaciers fondent, le niveau des océans a grimpé de 20 cm depuis 1900. Des végétaux, des animaux et donc l’homme sont menacés.
Lors des COP, les discussions sont très animées car le sujet est extrêmement complexe. Des enjeux d’importance sont liés aux problématiques environnementales, ce sont des enjeux économiques, sociales, diplomatiques. Aujourd’hui, les décisions devront être à la hauteur. Il faudra des objectifs forts, drastiques, urgents pour sauver la planète Terre. Le monde doit agir maintenant pour "sauver l’humanité" des catastrophiques impacts du réchauffement, disait le secrétaire général de l’ONU lundi.
"La COP26 devra obligatoirement être un succès et amener à une rehausse réelle des ambitions et mesures, à la mesure de l’enjeu et de la menace que fait peser le réchauffement climatique", disaient les ministres bruxellois et wallon en 2019 au sortir de la COP25. La COP 26 vient de s’ouvrir, les attentes et les enjeux sont grands.
Elle est la 26e Conférence des parties et a lieu à Glasgow, en Écosse, du 1er au 12 novembre. Elle réunit les pays signataires de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Elle est organisée par le Royaume-Uni en partenariat avec l’Italie. Elle devait avoir lieu en 2020, mais a été reportée en raison de la crise sanitaire.
La première COP a eu lieu en 1995. Depuis, chaque année, une centaine de pays se réunissent pour parler du climat et de la lutte contre le réchauffement climatique.
Depuis ses origines la planète a connu des périodes glaciaires et des périodes plus chaudes. Mais des dysfonctionnements apparaissent. On enregistre les températures moyennes sur terre depuis 1880 et on s’aperçoit que les températures augmentent et que l’augmentation s’accélère. Cette situation est en lien avec les activités humaines.
Des phénomènes climatiques extrêmes
La combustion de charbon, pétrole, gaz qui sont nos principales sources d’énergie encore aujourd’hui rejettent du CO2. Les élevages intensifs (avec les pets et rots des vaches notamment) rejettent du méthane. Or, le CO2 est le premier gaz à effet de serre, le méthane le deuxième.
Conséquences ? Les phénomènes climatiques extrêmes (ouragans, inondations, sécheresses…) ont doublé depuis 1990. Ils font de gros dégâts. Les glaciers fondent, le niveau des océans a grimpé de 20 cm depuis 1900. Des végétaux, des animaux et donc l’homme sont menacés.
Lors des COP, les discussions sont très animées car le sujet est extrêmement complexe. Des enjeux d’importance sont liés aux problématiques environnementales, ce sont des enjeux économiques, sociales, diplomatiques. Aujourd’hui, les décisions devront être à la hauteur. Il faudra des objectifs forts, drastiques, urgents pour sauver la planète Terre. Le monde doit agir maintenant pour "sauver l’humanité" des catastrophiques impacts du réchauffement, disait le secrétaire général de l’ONU lundi.