Arrivés depuis peu sur le territoire, ces experts sont chargés d’élaborer l’étude de faisabilité de l’agence d’urbanisme de Polynésie française et de coordonner sa création.
Issu des recommandations des États généraux de l’outre-mer en Polynésie française, ce projet rassemblera tous les acteurs publics de la Polynésie française tels que le Pays, l’État, les communes, le CESC, les Chambres Consulaires, l’Université, le Port Autonome, l’Agence Française de Développement, etc.
Créée sous statut d’association, l’agence travaillera pour tous ses membres à produire des projets, supports de développement. C’est un outil pluridisciplinaire dont le rôle majeur résidera en l’étude des projets d’intérêt commun, mais intègrera également une fonction d’observatoire, une plate-forme d’information et de formation des décideurs et des techniciens. Elle sera compétente en matière d’urbanisme, d’aménagement du territoire, de développement économique, de déplacements, de politique de la ville, et de développement durable. Son expertise, associée à l’expérience du réseau des agences d’urbanisme de métropole et d’outre-mer, seront particulièrement utiles dans le cadre de l’élaboration des outils de planification et de zonage tels que les PGA, SAGE, etc.
L’agence d’urbanisme polynésienne intègrera le réseau des agences françaises regroupées au sein de la fédération nationale qui en compte 52 actuellement.
C’est dans le cadre du pôle d’observation que le CESC pourra apporter sa contribution à cette agence.
Ainsi, madame RAOULX a évoqué les problèmes parfois récurrents que connaît notre collectivité, à savoir, le travail (plus de 10.000 emplois perdus depuis 2007, notamment dans le bâtiment, le tourisme…), le transport collectif, la sécurité publique, le Port de Faratea, la protection sociale, le logement social, l’assainissement, l’indivision foncière... L’institution s’était déjà auto-saisie de ces problèmes de société lors de la précédente mandature et a publié un certain nombre de rapports rendus publics : le décrochage scolaire, la protection de la propriété intellectuelle de l’art graphique polynésien, la reconnaissance par l’État des droits des victimes des essais nucléaires français, la délinquance juvénile, la taxe de développement local, la cherté de la vie dans les îles, le développement durable, les encombrements routiers. Deux nouveaux sujets d’autosaisine sont à l’étude : « la protection sociale généralisée », et « la reconversion de l’économie polynésienne et la réforme de la fiscalité ».
Issu des recommandations des États généraux de l’outre-mer en Polynésie française, ce projet rassemblera tous les acteurs publics de la Polynésie française tels que le Pays, l’État, les communes, le CESC, les Chambres Consulaires, l’Université, le Port Autonome, l’Agence Française de Développement, etc.
Créée sous statut d’association, l’agence travaillera pour tous ses membres à produire des projets, supports de développement. C’est un outil pluridisciplinaire dont le rôle majeur résidera en l’étude des projets d’intérêt commun, mais intègrera également une fonction d’observatoire, une plate-forme d’information et de formation des décideurs et des techniciens. Elle sera compétente en matière d’urbanisme, d’aménagement du territoire, de développement économique, de déplacements, de politique de la ville, et de développement durable. Son expertise, associée à l’expérience du réseau des agences d’urbanisme de métropole et d’outre-mer, seront particulièrement utiles dans le cadre de l’élaboration des outils de planification et de zonage tels que les PGA, SAGE, etc.
L’agence d’urbanisme polynésienne intègrera le réseau des agences françaises regroupées au sein de la fédération nationale qui en compte 52 actuellement.
C’est dans le cadre du pôle d’observation que le CESC pourra apporter sa contribution à cette agence.
Ainsi, madame RAOULX a évoqué les problèmes parfois récurrents que connaît notre collectivité, à savoir, le travail (plus de 10.000 emplois perdus depuis 2007, notamment dans le bâtiment, le tourisme…), le transport collectif, la sécurité publique, le Port de Faratea, la protection sociale, le logement social, l’assainissement, l’indivision foncière... L’institution s’était déjà auto-saisie de ces problèmes de société lors de la précédente mandature et a publié un certain nombre de rapports rendus publics : le décrochage scolaire, la protection de la propriété intellectuelle de l’art graphique polynésien, la reconnaissance par l’État des droits des victimes des essais nucléaires français, la délinquance juvénile, la taxe de développement local, la cherté de la vie dans les îles, le développement durable, les encombrements routiers. Deux nouveaux sujets d’autosaisine sont à l’étude : « la protection sociale généralisée », et « la reconversion de l’économie polynésienne et la réforme de la fiscalité ».