Lundi en fin de journée, Moetai Brotherson faisait sa communication seul sur les réseaux sociaux sur cette journée si particulière. « Trois séquences importantes aujourd’hui à Washington où je suis invité par President Joe Biden en compagnie des leaders du Pacific Islands Forum », expliquait-il. « Tout d’abord dans la fameuse East Wing de la Maison Blanche une réunion avec le président et son secrétaire d’État, Antony blinken. Après avoir fait le bilan de la réunion de l’an dernier (à laquelle mon prédécesseur Édouard Fritch avait assisté), ils ont dressé la vision des USA sur notre région et exposé leur stratégie et les moyens d’action et de soutien envisagés, ou déjà mis en œuvre. Cela va du doublement des quotas d’étudiants de notre région dans les universités américaines, à la mise en place de fonds spécifiques pour augmenter la résilience de nos économies, en passant par des partenariats approfondis avec la NOAA Headquarters pour anticiper les événements climatiques graves. »
On apprend alors que Moetai Brotherson a parlé au président américain du « triplement de notre capacité de pêche », et de « l’aéroport des Marquises ».
La seconde séquence s’est déroulée « au cœur des services de renseignement américains » où les chefs d’États du Pacifique sud ont pu échanger sur la guerre russo-ukrainienne et ses implications dans notre région, le panorama des enjeux socioéconomiques et les méthodologies normatives et leur impact sur la gouvernance.
Enfin, la troisième séquence s’est déroulée au ministère des affaires étrangères, sous la houlette de John Kerry, ancien secrétaire d’Etat sous Obama et désormais envoyé spécial pour le climat.
« Il a été question de la future COP28, des discussions à l’ONU sur l’affirmation des limites des États même en cas de submersion, et du fonds de solidarité climatique des pays pollueurs envers les pays victimes de la pollution », précise Moetai Brotherson qui a pu s’exprimer « sur les sujets de l’eau, des énergies renouvelables, et de la gestion des déchets. »
On apprend alors que Moetai Brotherson a parlé au président américain du « triplement de notre capacité de pêche », et de « l’aéroport des Marquises ».
La seconde séquence s’est déroulée « au cœur des services de renseignement américains » où les chefs d’États du Pacifique sud ont pu échanger sur la guerre russo-ukrainienne et ses implications dans notre région, le panorama des enjeux socioéconomiques et les méthodologies normatives et leur impact sur la gouvernance.
Enfin, la troisième séquence s’est déroulée au ministère des affaires étrangères, sous la houlette de John Kerry, ancien secrétaire d’Etat sous Obama et désormais envoyé spécial pour le climat.
« Il a été question de la future COP28, des discussions à l’ONU sur l’affirmation des limites des États même en cas de submersion, et du fonds de solidarité climatique des pays pollueurs envers les pays victimes de la pollution », précise Moetai Brotherson qui a pu s’exprimer « sur les sujets de l’eau, des énergies renouvelables, et de la gestion des déchets. »