Tahiti Infos aussi cherche des stagiaires !
PAPEETE, le 20 novembre 2015 - Qui veut un stage ? Qui cherche un stagiaire ? Souvent le plus dur pour les étudiants et les entreprises, c'est de se trouver. D'où l'intérêt de la première bourse aux stages organisée par l'École de Commerce de Tahiti et la licence de la CCISM.
L'École de Commerce de Tahiti passait jusqu'à présent par le réseau de la CCISM pour mettre en contact jeunes et entreprises. Mais rien ne remplace le contact en direct, donc vendredi l'ECT et les licences en troisième année ont pu profiter de leur propre Bourse aux stages, où 10 entreprises se sont présentées puis ont reçu les étudiants intéressés pour des entretiens individuels.
Les professionnels présents étaient ravis de découvrir ces jeunes très motivés, bien qu'encore un peu timides. Pour certaines d'entre elles, habituées aux étudiants de l'UPF ou des divers BTS, c'était aussi une bonne façon de découvrir cette jeune école de commerce et les jeunes qui y étudient.
Les entreprises qui ont raté l'événement mais cherchent tout de même des stagiaires peuvent contacter Marko Gabou, au 40 54 88 88.
L'École de Commerce de Tahiti passait jusqu'à présent par le réseau de la CCISM pour mettre en contact jeunes et entreprises. Mais rien ne remplace le contact en direct, donc vendredi l'ECT et les licences en troisième année ont pu profiter de leur propre Bourse aux stages, où 10 entreprises se sont présentées puis ont reçu les étudiants intéressés pour des entretiens individuels.
Les professionnels présents étaient ravis de découvrir ces jeunes très motivés, bien qu'encore un peu timides. Pour certaines d'entre elles, habituées aux étudiants de l'UPF ou des divers BTS, c'était aussi une bonne façon de découvrir cette jeune école de commerce et les jeunes qui y étudient.
Les entreprises qui ont raté l'événement mais cherchent tout de même des stagiaires peuvent contacter Marko Gabou, au 40 54 88 88.
Marko Gabou, responsable des études de l'ECT
"C'est la première Bourse aux stage que nous organisons. Le concept est tout simplement de montrer que nous sommes en très forte relation avec les entreprises et de donner l'occasion aux étudiants qui recherchent un stage de rencontrer directement les entreprises à l'école et de passer les entretiens avec elles directement.
Aujourd'hui nous avons 10 entreprises présentes, pour 35 stagiaires potentiels. Ce sont les deuxième et troisième années de l'ECT, et nous avons aussi associé les étudiants en licence qui doivent faire un stage de quatre mois un peu plus tard. A priori, tous les étudiants ne vont pas trouver un stage aujourd'hui, mais ils sont déjà dans une démarche personnelle de recherche de stage. Aujourd'hui ils vont avoir plus de choix, et ceux qui n'ont pas encore de piste sérieuse vont pouvoir trouver. Ils partent en stage dans un délai d'un mois et demi à deux mois, donc il est temps qu'ils s'en préoccupent. Ils cherchent des stages de trois à six mois."
"C'est la première Bourse aux stage que nous organisons. Le concept est tout simplement de montrer que nous sommes en très forte relation avec les entreprises et de donner l'occasion aux étudiants qui recherchent un stage de rencontrer directement les entreprises à l'école et de passer les entretiens avec elles directement.
Aujourd'hui nous avons 10 entreprises présentes, pour 35 stagiaires potentiels. Ce sont les deuxième et troisième années de l'ECT, et nous avons aussi associé les étudiants en licence qui doivent faire un stage de quatre mois un peu plus tard. A priori, tous les étudiants ne vont pas trouver un stage aujourd'hui, mais ils sont déjà dans une démarche personnelle de recherche de stage. Aujourd'hui ils vont avoir plus de choix, et ceux qui n'ont pas encore de piste sérieuse vont pouvoir trouver. Ils partent en stage dans un délai d'un mois et demi à deux mois, donc il est temps qu'ils s'en préoccupent. Ils cherchent des stages de trois à six mois."
Pro Interim vient découvrir l'ECT
Silvie Bouchiquet, directrice de Pro Interim, cherche un stagiaire pour développer de nouvelles activités :
"Je viens pour la première fois à la rencontre des étudiants de l'École de Commerce de Tahiti, parce que je ne les connais pas bien et que je pense que c'est important de découvrir un peu leur profil et voir un peu ce qu'ils ont dans le ventre. L'école est récente, on n'a pas encore eu beaucoup de candidatures. Mais là je suis assez surprise par leur détermination, leur motivation. Ils m'ont l'air assez intéressé par les opportunités qu'on leur présente, assez réactifs.
Pour le stage, je leur ai décrit quelques pistes, mais après ça reste modulable en fonction du profil et de ce que recherche la personne. On est une petite structure donc on peut se permettre de le faire. Je pense que c'est important, j'accueille un stagiaire à la fois et j'essaie de prendre le temps de l'accompagner pour qu'il en tire quelque chose. Pour être passé par là, je sais que c'est important, quand ils vont présenter leurs CV pour leurs premiers jobs ça va être leurs uniques expériences professionnelles donc il faut que ces stages soient valorisants pour leur parcours. Et pour Pro Interim, j'espère que par leur méthode de travail, leur jeunesse et leur dynamisme ils vont amener un nouveau souffle et un regard extérieur. Dans les sujets stage que je propose, je propose notamment une étude de marché sur les secteurs où l'intérim n'existe pas encore, donc si jamais on arrive à la conclusion qu'il il y a un gros marché à pourvoir, ça peut aussi déboucher sur une offre d'emploi…"
Silvie Bouchiquet, directrice de Pro Interim, cherche un stagiaire pour développer de nouvelles activités :
"Je viens pour la première fois à la rencontre des étudiants de l'École de Commerce de Tahiti, parce que je ne les connais pas bien et que je pense que c'est important de découvrir un peu leur profil et voir un peu ce qu'ils ont dans le ventre. L'école est récente, on n'a pas encore eu beaucoup de candidatures. Mais là je suis assez surprise par leur détermination, leur motivation. Ils m'ont l'air assez intéressé par les opportunités qu'on leur présente, assez réactifs.
Pour le stage, je leur ai décrit quelques pistes, mais après ça reste modulable en fonction du profil et de ce que recherche la personne. On est une petite structure donc on peut se permettre de le faire. Je pense que c'est important, j'accueille un stagiaire à la fois et j'essaie de prendre le temps de l'accompagner pour qu'il en tire quelque chose. Pour être passé par là, je sais que c'est important, quand ils vont présenter leurs CV pour leurs premiers jobs ça va être leurs uniques expériences professionnelles donc il faut que ces stages soient valorisants pour leur parcours. Et pour Pro Interim, j'espère que par leur méthode de travail, leur jeunesse et leur dynamisme ils vont amener un nouveau souffle et un regard extérieur. Dans les sujets stage que je propose, je propose notamment une étude de marché sur les secteurs où l'intérim n'existe pas encore, donc si jamais on arrive à la conclusion qu'il il y a un gros marché à pourvoir, ça peut aussi déboucher sur une offre d'emploi…"
La Socredo veut aider les jeunes à s'insérer sur le marché de l'emploi
Miranda Chung Kai, animatrice commerciale à la Socredo, et sa précédente stagiaire, Tokahi (qui enchaine sur un stage à l'Assemblée), cherchent le talent qui prendra sa suite :
"On a l'habitude de recevoir des stagiaires, donc on a répondu à la demande de M. Marko qui s'occupe de l'ECT. Ca fait également partie de notre poltiique, d'aider les jeunes à trouver du travail. Et dans notre domaine, les stagiaires nous apportent beaucoup. Ils apportent de l'énergie, un nouveau regard, ça nous permet d'être plus tendance. Et on repère les nouveaux talents, et on a recruté beaucoup de nos stagiaires. Enfin, on a tout de même un certain âge et c'est un peu comme si on accompagnait nos enfants, pour nous c'est très riche."
Miranda Chung Kai, animatrice commerciale à la Socredo, et sa précédente stagiaire, Tokahi (qui enchaine sur un stage à l'Assemblée), cherchent le talent qui prendra sa suite :
"On a l'habitude de recevoir des stagiaires, donc on a répondu à la demande de M. Marko qui s'occupe de l'ECT. Ca fait également partie de notre poltiique, d'aider les jeunes à trouver du travail. Et dans notre domaine, les stagiaires nous apportent beaucoup. Ils apportent de l'énergie, un nouveau regard, ça nous permet d'être plus tendance. Et on repère les nouveaux talents, et on a recruté beaucoup de nos stagiaires. Enfin, on a tout de même un certain âge et c'est un peu comme si on accompagnait nos enfants, pour nous c'est très riche."
Mehiti Maréchal, étudiante en troisième année à l'ECT, en recherche active de stage
"Ce forum était bien, on a pu avoir les entreprises "à domicile", parler à chacune d'entre elle, leur exposer nos projets et avoir des informations sur ce qu'elles proposent. On peut voir immédiatement si ça correspond à nos orientations. J'ai trouvé une entreprise qui m'intéresserait, mais même les autres ont des propositions différentes et intéressantes pour ce qu'on doit faire dans le cadre de notre dernier stage. Il est sur cinq mois, donc l'objectif serait vraiment de pouvoir suivre un projet de A à Z. Et pour moi ce serait qu'il soit en marketing ou en communication, c'est vers ça que je me dirige."
"Ce forum était bien, on a pu avoir les entreprises "à domicile", parler à chacune d'entre elle, leur exposer nos projets et avoir des informations sur ce qu'elles proposent. On peut voir immédiatement si ça correspond à nos orientations. J'ai trouvé une entreprise qui m'intéresserait, mais même les autres ont des propositions différentes et intéressantes pour ce qu'on doit faire dans le cadre de notre dernier stage. Il est sur cinq mois, donc l'objectif serait vraiment de pouvoir suivre un projet de A à Z. Et pour moi ce serait qu'il soit en marketing ou en communication, c'est vers ça que je me dirige."
