L’opération régionale de surveillance des pêches ‘Tautai 2013’, à laquelle ont été associées les îles Cook, la Nouvelle-Zélande et l’Australie s’est achevée vendredi 31 mai.
L’opération ‘Tautai’, organisée chaque année par les services de l’Etat en Polynésie française, vise à promouvoir un meilleur respect des règles adoptées par la Western and Central Pacific Fisheries Commission (WCPFC), organisation régionale de gestion des pêches instituée afin de parvenir à une gestion concertée et durable des stocks de thonidés du Pacifique central et occidental.
L’opération ‘Tautai’ vise également à prévenir les activités de pêche illicite dans les zones économiques exclusives françaises du Pacifique.
Elle a mobilisé cette année, du 27 au 31 mai et sous contrôle du Centre maritime commun de Polynésie française :
- le patrouilleur des îles Cook Te Kukupa
- le patrouilleur Arago et deux Gardian des Forces armées en Polynésie française
- le patrouilleur de la Douane Arafenua
- un patrouilleur et un Gardian des Forces armées en Nouvelle-Calédonie.
La Nouvelle-Zélande, les îles Cook et l’Agence des pêches du Forum des îles du Pacifique (FFA) ont également détaché auprès du Centre maritime commun des représentants, et l’Australie un inspecteur des pêches embarqué à bord de l’Arago.
Les opérations conduites dans les eaux internationales jouxtant la zone économique exclusive de Polynésie française ont permis le contrôle de 13 navires étrangers (9 taïwanais, 3 chinois et 1 fidjien), dont 8 à bord desquels ont été relevées des infractions ou des non-conformités aux réglementations adoptées par la WCPFC. Les infractions les plus significatives ont trait aux obligations de report de leurs mouvements par les navires et aux règles encadrant la pêche des requins. Les actions engagées par les Etats du pavillon en
réponse à ces non-conformités feront l’objet d’un suivi particulièrement attentif, dans la mesure où certaines conditionnent directement la capacité des Etats membres de la WCPFC à assurer la surveillance des flottilles étrangères opérant dans leurs eaux ou à proximité immédiate.
Un palangrier appartenant à la flottille hauturière locale a par ailleurs été contrôlé en zone économique exclusive, sans qu’aucune infraction ne soit relevée à son bord.
Mérite enfin d’être signalée, dans le bilan de cette édition 2013 de l’opération ‘Tautai’, l’étroite coopération obtenue sous l’égide du Centre maritime commun entre moyens de surveillance français et patrouilleur des îles Cook : leur action conjointe a permis le contrôle
de la quasi-totalité des navires présents dans la poche de haute mer située entre les zones économiques exclusives des îles Cook, des îles Kiribati et de Polynésie française, pour la surveillance de laquelle France et îles Cook partagent donc de forts intérêts communs.
L’opération ‘Tautai’, organisée chaque année par les services de l’Etat en Polynésie française, vise à promouvoir un meilleur respect des règles adoptées par la Western and Central Pacific Fisheries Commission (WCPFC), organisation régionale de gestion des pêches instituée afin de parvenir à une gestion concertée et durable des stocks de thonidés du Pacifique central et occidental.
L’opération ‘Tautai’ vise également à prévenir les activités de pêche illicite dans les zones économiques exclusives françaises du Pacifique.
Elle a mobilisé cette année, du 27 au 31 mai et sous contrôle du Centre maritime commun de Polynésie française :
- le patrouilleur des îles Cook Te Kukupa
- le patrouilleur Arago et deux Gardian des Forces armées en Polynésie française
- le patrouilleur de la Douane Arafenua
- un patrouilleur et un Gardian des Forces armées en Nouvelle-Calédonie.
La Nouvelle-Zélande, les îles Cook et l’Agence des pêches du Forum des îles du Pacifique (FFA) ont également détaché auprès du Centre maritime commun des représentants, et l’Australie un inspecteur des pêches embarqué à bord de l’Arago.
Les opérations conduites dans les eaux internationales jouxtant la zone économique exclusive de Polynésie française ont permis le contrôle de 13 navires étrangers (9 taïwanais, 3 chinois et 1 fidjien), dont 8 à bord desquels ont été relevées des infractions ou des non-conformités aux réglementations adoptées par la WCPFC. Les infractions les plus significatives ont trait aux obligations de report de leurs mouvements par les navires et aux règles encadrant la pêche des requins. Les actions engagées par les Etats du pavillon en
réponse à ces non-conformités feront l’objet d’un suivi particulièrement attentif, dans la mesure où certaines conditionnent directement la capacité des Etats membres de la WCPFC à assurer la surveillance des flottilles étrangères opérant dans leurs eaux ou à proximité immédiate.
Un palangrier appartenant à la flottille hauturière locale a par ailleurs été contrôlé en zone économique exclusive, sans qu’aucune infraction ne soit relevée à son bord.
Mérite enfin d’être signalée, dans le bilan de cette édition 2013 de l’opération ‘Tautai’, l’étroite coopération obtenue sous l’égide du Centre maritime commun entre moyens de surveillance français et patrouilleur des îles Cook : leur action conjointe a permis le contrôle
de la quasi-totalité des navires présents dans la poche de haute mer située entre les zones économiques exclusives des îles Cook, des îles Kiribati et de Polynésie française, pour la surveillance de laquelle France et îles Cook partagent donc de forts intérêts communs.
