Bernadette TAPI, 41 ans, est mère de 11 enfants, dont 8 à charge et seul son époux assure la subsistance de la maisonnée.
Bernadette apprend l’existence de l’ADIE, se renseigne, officialise sa démarche et, en à peine 2 mois, va pouvoir mettre en pratique l’apprentissage « de mère en fille » qui lui avait été dispensé des années plus tôt : la couture en général, mais le tifaifai en particulier.
Elle emprunte raisonnablement pour acheter une machine à coudre de qualité et suffisamment de tissu pour lancer la fabrication de quelques magnifiques tifaifai ; son savoir et sa détermination se chargeront de faire le reste.
Travaillant depuis son domicile à Puurai, Faa’a, ses prix sont corrects et son œuvre est soignée. Le délai de fabrication d’un tifaifai est de 2 semaines. Il ne lui reste plus qu’à trouver un fournisseur de tissu et accessoires attitré car, pour l’heure, elle s’approvisionne ça et là.
Bien que le montant de ses revenus la satisfasse tout juste, elle plébiscite une certaine liberté, la possibilité de décider de ses orientations et réalisations personnelles. Côté famille, en plus de pouvoir y apporter sa pierre financière, son entourage vit bien le fait qu'elle soit son propre patron. D’ailleurs, Bernadette se dit prête à recommencer si c’était à refaire !
Madame le ministre a salué l’effort accompli de Bernadette, se disant admirative du parcours mené. Le contexte économique actuel appelle celles et ceux sans emploi, qui souhaitent une meilleure qualité de vie, à créer leur entreprise.
Dans le même temps, elle a remercié l’ADIE pour son engagement dans toutes les phases allant de l’accueil à l’accompagnement post-création et l’encourage dans ses actions.
Bernadette apprend l’existence de l’ADIE, se renseigne, officialise sa démarche et, en à peine 2 mois, va pouvoir mettre en pratique l’apprentissage « de mère en fille » qui lui avait été dispensé des années plus tôt : la couture en général, mais le tifaifai en particulier.
Elle emprunte raisonnablement pour acheter une machine à coudre de qualité et suffisamment de tissu pour lancer la fabrication de quelques magnifiques tifaifai ; son savoir et sa détermination se chargeront de faire le reste.
Travaillant depuis son domicile à Puurai, Faa’a, ses prix sont corrects et son œuvre est soignée. Le délai de fabrication d’un tifaifai est de 2 semaines. Il ne lui reste plus qu’à trouver un fournisseur de tissu et accessoires attitré car, pour l’heure, elle s’approvisionne ça et là.
Bien que le montant de ses revenus la satisfasse tout juste, elle plébiscite une certaine liberté, la possibilité de décider de ses orientations et réalisations personnelles. Côté famille, en plus de pouvoir y apporter sa pierre financière, son entourage vit bien le fait qu'elle soit son propre patron. D’ailleurs, Bernadette se dit prête à recommencer si c’était à refaire !
Madame le ministre a salué l’effort accompli de Bernadette, se disant admirative du parcours mené. Le contexte économique actuel appelle celles et ceux sans emploi, qui souhaitent une meilleure qualité de vie, à créer leur entreprise.
Dans le même temps, elle a remercié l’ADIE pour son engagement dans toutes les phases allant de l’accueil à l’accompagnement post-création et l’encourage dans ses actions.
Un premier rapport d’activité semestriel très positif
Cette visite a fait suite à l’entretien, en début de matinée, entre Teura IRITI et le directeur de l’ADIE, Emmanuel LEGRAS, qui lui a présenté son tout premier rapport d’activité semestriel, dont l’objectif a été atteint, voire dépassé.
« L'accompagnement à la création d'entreprise est au cœur des préoccupations » explique le directeur. L’association, qui est présente pour l’heure à Tahiti, Moorea, Raiatea et Tahaa, envisage d’étendre son implantation dans les archipels des Marquises, des Australes et des Tuamotu car de plus en plus de personnes sont intéressées par les dispositifs de l’ADIE.
Enfin, pour terminer sur une note très positive, les 109 bénéficiaires du financement de l’ADIE sont tous à jour de leurs échéances !
« L'accompagnement à la création d'entreprise est au cœur des préoccupations » explique le directeur. L’association, qui est présente pour l’heure à Tahiti, Moorea, Raiatea et Tahaa, envisage d’étendre son implantation dans les archipels des Marquises, des Australes et des Tuamotu car de plus en plus de personnes sont intéressées par les dispositifs de l’ADIE.
Enfin, pour terminer sur une note très positive, les 109 bénéficiaires du financement de l’ADIE sont tous à jour de leurs échéances !
