SYDNEY, 20 août 2013 (AFP) - Des médecins en Australie ont opéré d'urgence un homme qui avait introduit dans son pénis une fourchette en métal, une intervention médicale si peu habituelle qu'elle a fait l'objet d'un long article dans une revue professionnelle très respectée destinée aux chirurgiens.
Selon l'article "Un corps étranger inhabituel dans l'urètre" publié dans l'International Journal of Surgery, l'homme de 70 ans s'est présenté aux urgences de l'hôpital de Canberra avec un pénis en sang, "après s'être introduit une fourchette dans l'urètre pour stimuler le plaisir sexuel".
L'homme avait introduit la fourchette de 10 cm, en métal, douze heures auparavant, mais ne parvenait plus à la retirer, poursuit l'article, qui ne précise pas la date des faits.
Les docteurs, confrontés pour la première fois à un cas pareil, "ont discuté de plusieurs opérations possibles", avant de retirer l'objet avec un forceps et beaucoup de lubrifiant, alors que le patient était sous anesthésie générale.
"Ce cas méritait discussion étant donné le défi présenté par une affaire aussi inhabituelle, d'une fourchette coincée dans l'urètre d'un pénis", note cette très sérieuse revue professionnelle. Elle détaille ensuite quelques --rares-- cas d'objets étrangers retrouvés dans l'urètre du pénis au cours des neuf dernières années.
"La stimulation auto-érotique à l'aide d'objets insérés dans l'urètre existe depuis les temps immémoriaux et sont des cas peu fréquents, mais connus, pour les urologues", souligne-t-elle. Elle rappelle que si le patient tarde à consulter, car trop embarrassé, il risque de mourir à la suite d'une infection.
Selon l'article "Un corps étranger inhabituel dans l'urètre" publié dans l'International Journal of Surgery, l'homme de 70 ans s'est présenté aux urgences de l'hôpital de Canberra avec un pénis en sang, "après s'être introduit une fourchette dans l'urètre pour stimuler le plaisir sexuel".
L'homme avait introduit la fourchette de 10 cm, en métal, douze heures auparavant, mais ne parvenait plus à la retirer, poursuit l'article, qui ne précise pas la date des faits.
Les docteurs, confrontés pour la première fois à un cas pareil, "ont discuté de plusieurs opérations possibles", avant de retirer l'objet avec un forceps et beaucoup de lubrifiant, alors que le patient était sous anesthésie générale.
"Ce cas méritait discussion étant donné le défi présenté par une affaire aussi inhabituelle, d'une fourchette coincée dans l'urètre d'un pénis", note cette très sérieuse revue professionnelle. Elle détaille ensuite quelques --rares-- cas d'objets étrangers retrouvés dans l'urètre du pénis au cours des neuf dernières années.
"La stimulation auto-érotique à l'aide d'objets insérés dans l'urètre existe depuis les temps immémoriaux et sont des cas peu fréquents, mais connus, pour les urologues", souligne-t-elle. Elle rappelle que si le patient tarde à consulter, car trop embarrassé, il risque de mourir à la suite d'une infection.