Le plaignant, âgé de 25 ans, a déclaré aux forces de l’ordre, en déposant plainte, qu’il avait consenti, devant l’insistance de son ami, à se faire tatouer un discret symbole Yin et Yang, « avec, à la limite, quelques dragons autour », a expliqué mardi au quotidien Queensland Times l’agent détective Paul Malcolm, de la police d’Ipswich.
« Après que son ami ait commencé le tatouage, il y avait un autre gars qui observait et qui ne cessait de commenter à haute voix en disant que ce tatouage était vraiment superbe », a-t-il relaté.
Une fois l’œuvre achevée, le tatoueur a bien soin de recommander à client de ne pas exposer son dos et surtout de ne pas le montrer pendant au moins quelques semaines.
En rentrant chez lui, il a été alerté par son compagnon qui lui a finalement annoncé que « ce n’est apparemment pas le dessin que tu voulais » : celui d’un pénis de quarante centimètres de long, accompagné, selon la police, de commentaires à caractère homophobe.
Selon le détective, le tatoueur et le client se connaissaient personnellement et avaient eu un différend récemment.
L’accusé a été cité à comparaitre devant un tribunal de première instance d’Ipswich le 15 novembre 2010.
La victime pourrait avoir à débourser jusqu’à deux mille dollars australiens (environ 1.400 euros) pour faire effacer le tatouage offensant, estiment les spécialistes.
« Après que son ami ait commencé le tatouage, il y avait un autre gars qui observait et qui ne cessait de commenter à haute voix en disant que ce tatouage était vraiment superbe », a-t-il relaté.
Une fois l’œuvre achevée, le tatoueur a bien soin de recommander à client de ne pas exposer son dos et surtout de ne pas le montrer pendant au moins quelques semaines.
En rentrant chez lui, il a été alerté par son compagnon qui lui a finalement annoncé que « ce n’est apparemment pas le dessin que tu voulais » : celui d’un pénis de quarante centimètres de long, accompagné, selon la police, de commentaires à caractère homophobe.
Selon le détective, le tatoueur et le client se connaissaient personnellement et avaient eu un différend récemment.
L’accusé a été cité à comparaitre devant un tribunal de première instance d’Ipswich le 15 novembre 2010.
La victime pourrait avoir à débourser jusqu’à deux mille dollars australiens (environ 1.400 euros) pour faire effacer le tatouage offensant, estiment les spécialistes.