L'hémicycle territorial à 9h10' ce matin.
PAPEETE, mercredi 27 mars 2013. La séance plénière prévue ce mercredi matin à l’assemblée de Polynésie française a été reportée à demain jeudi en raison de l’absence d’un trop grand nombre d’élus. Avec 20 représentants présents (sur les 57 élus) dans l’hémicycle, le quorum n’était pas atteint. C’est la 2e fois en deux semaines que cette situation se produit.
Habituellement la sonnette qui bat le rappel des élus pour leur demander de rejoindre l’hémicycle territorial retentit durant de longues minutes et parfois même durant près d’une heure dans tous les bureaux, couloirs et halls de l’assemblée de Polynésie française. Les retards au démarrage des séances plénières de l’assemblée polynésienne sont légendaires : attendre entre 45 minutes et une heure que les élus pénètrent au sein de l’hémicycle, alors qu’ils sont convoqués pour 9 heures, est une habitude, presque une tradition. Bref, les séances plénières qui démarrent à 9 heures tapantes sont tellement rarissimes que les élus ont pris la mauvaise habitude d’arriver systématiquement en retard. En général, la demi-heure est la norme, le temps que les élus arrivent, s’embrassent, discutent, se saluent et personne n’y trouve rien à redire, pas même le président de l’assemblée Jacqui Drollet dont il convient de noter la ponctualité.
Mais ce matin, l’appel des élus a été lancé à 9h10’ et quelques minutes plus tard, au regard d’un hémicycle rempli au tiers (ou vide des deux tiers), Jacqui Drollet a constaté que le quorum (qui doit être de 29 élus) n’était pas atteint. «Nous notons qu’il n’y a que 20 représentants présents : le quorum n’est pas atteint. En application de l’article 151 du règlement intérieur de notre assemblée, la séance est reportée demain matin». Demain matin, quorum ou pas atteint, les élus présents dans l’hémicycle pourront valablement délibérer. Si les représentants n’étaient pas assez nombreux ce mercredi matin, on pouvait remarquer le même absentéisme évident à la tribune du gouvernement : seul Daniel Herlemme, le ministre du développement des archipels était arrivé. Alors que la séance plénière devait aborder des questions budgétaires, financières et fiscales, le vide des fauteuils des ministres des finances Pierre Frébault et du budget Antony Géros était troublant.
Habituellement la sonnette qui bat le rappel des élus pour leur demander de rejoindre l’hémicycle territorial retentit durant de longues minutes et parfois même durant près d’une heure dans tous les bureaux, couloirs et halls de l’assemblée de Polynésie française. Les retards au démarrage des séances plénières de l’assemblée polynésienne sont légendaires : attendre entre 45 minutes et une heure que les élus pénètrent au sein de l’hémicycle, alors qu’ils sont convoqués pour 9 heures, est une habitude, presque une tradition. Bref, les séances plénières qui démarrent à 9 heures tapantes sont tellement rarissimes que les élus ont pris la mauvaise habitude d’arriver systématiquement en retard. En général, la demi-heure est la norme, le temps que les élus arrivent, s’embrassent, discutent, se saluent et personne n’y trouve rien à redire, pas même le président de l’assemblée Jacqui Drollet dont il convient de noter la ponctualité.
Mais ce matin, l’appel des élus a été lancé à 9h10’ et quelques minutes plus tard, au regard d’un hémicycle rempli au tiers (ou vide des deux tiers), Jacqui Drollet a constaté que le quorum (qui doit être de 29 élus) n’était pas atteint. «Nous notons qu’il n’y a que 20 représentants présents : le quorum n’est pas atteint. En application de l’article 151 du règlement intérieur de notre assemblée, la séance est reportée demain matin». Demain matin, quorum ou pas atteint, les élus présents dans l’hémicycle pourront valablement délibérer. Si les représentants n’étaient pas assez nombreux ce mercredi matin, on pouvait remarquer le même absentéisme évident à la tribune du gouvernement : seul Daniel Herlemme, le ministre du développement des archipels était arrivé. Alors que la séance plénière devait aborder des questions budgétaires, financières et fiscales, le vide des fauteuils des ministres des finances Pierre Frébault et du budget Antony Géros était troublant.
Les fauteuils ministériels désertés également à l'assemblée de Polynésie.
