Henri Burns a du faire face au Samoan plus grand que lui
NOUVELLE ZELANDE, le 6 décembre 2014. Henri Burns, en apparence, ressemble à un gentil ‘nounours’ mais il ne faut pas se fier aux apparences, c’est bien connu. Il vient de participer samedi dernier à un combat au sommet en Nouvelle Zélande en K 1.
Le K 1 est une forme de kick boxing japonais existant depuis 1993, le K étant une référence au Karaté, au TaeKwondo, au Kung Fu et au Kickboxing. Tous les coups sont quasiment permis et les combattants ne portent pas de protections, on peut donc considérer qu’il s’agit donc d’un combat pro avec 'prize money' à la clé.
A Tahiti Henri pratique le bodyboard et s’entraîne au club récemment crée par Raihere Dudes ‘Islander MMA’. Il est passionné de Mixed Martial Arts. Le club Islander MMA a fait récemment parler de lui avec un déplacement fructueux en Californie qui avait permis à Raihere Dudes, James Morohi et Tamahau Mc Comb de ramener 2 victoires sur 3.
Henri Burns est en Nouvelle Zélande pour ses études en activité touristiques nautiques. Il a 21 ans et s’entraine désormais au club néozélandais City Kick Boxing. Il vient de gagner ce combat en 3 rounds de 2 minutes en catégorie super lourds qui l’a opposé à un Samoan de 31 ans expérimenté, faisant une tête de plus que lui.
Il a remporté ce combat aux points au terme des 3 rounds lors desquels les deux combattants ont tout donné, notamment des ‘low kicks’ terribles mais également des coup de poings et quelques high kicks également. C’était seulement le 4ème combat d’Henri Burns qui devrait encore faire parler de lui.
Le K 1 est une forme de kick boxing japonais existant depuis 1993, le K étant une référence au Karaté, au TaeKwondo, au Kung Fu et au Kickboxing. Tous les coups sont quasiment permis et les combattants ne portent pas de protections, on peut donc considérer qu’il s’agit donc d’un combat pro avec 'prize money' à la clé.
A Tahiti Henri pratique le bodyboard et s’entraîne au club récemment crée par Raihere Dudes ‘Islander MMA’. Il est passionné de Mixed Martial Arts. Le club Islander MMA a fait récemment parler de lui avec un déplacement fructueux en Californie qui avait permis à Raihere Dudes, James Morohi et Tamahau Mc Comb de ramener 2 victoires sur 3.
Henri Burns est en Nouvelle Zélande pour ses études en activité touristiques nautiques. Il a 21 ans et s’entraine désormais au club néozélandais City Kick Boxing. Il vient de gagner ce combat en 3 rounds de 2 minutes en catégorie super lourds qui l’a opposé à un Samoan de 31 ans expérimenté, faisant une tête de plus que lui.
Il a remporté ce combat aux points au terme des 3 rounds lors desquels les deux combattants ont tout donné, notamment des ‘low kicks’ terribles mais également des coup de poings et quelques high kicks également. C’était seulement le 4ème combat d’Henri Burns qui devrait encore faire parler de lui.
Henri Burns au micro de Tahiti Infos :
Tu fais tes études en Nouvelle Zélande ?
« Je vais intégrer une école de tourisme pour tout ce qui est excursions nautiques. Ce sont mes entraîneurs qui m’on poussé à participer. Ce n’est pas comme à Tahiti, il n’y pas de protections. Pas de casque, ni protège tibias, les gants c’est du 10 donc quand tu reçois les coup cela fait mal ? C’est pratiquement professionnel. »
Qu’est ce qui te motive ?
« Je voudrais percer dans le MMA. Je devais particper à un combat MMA mais il a été annulé alors j’ai tenté ma chance en K 1. Je vais tenter de faire tout ce qui peut me servir à progresser en MMA. Je préfère aller chercher plutôt que d’attendre que ca arrive. J’essaie de mettre toutes les chances de mon côté. »
Ton adversaire était coriace ?
« Mentalement cela a été dur, c’est un des meilleurs en K 1 ici. Un des bons, un monstre. Mais ça va, avec la volonté on peut faire beaucoup, et les entrainements surtout. Je remercie mon coach qui me pousse à aller m’entraîner tous les jours même si parfois c’est fatiguant. Ses ‘low kicks’ étaient violents, j’ai eu mal, jusqu’à présent, là ca va mieux. »
Comment tu analyses le combat ?
« Au début j’étais un peu stressé, j’ai vu mon adversaire dans les vestiaire..Wow…Il faisait une tête de plus que moi et était balèze. Mon coach voyait les failles de l’adversaire que je ne voyais pas, j’ai appliqué les enchainements qu’il me demandait de faire ‘à l’aveuglette’ et cela a marché. Il y a eu une coordination entre le coach et le combattant qui a pu faire la différence. »
Remerciements ?
« Merci à toi et à Tahiti Infos pour cet article. J’en profite pour faire un appel aux sponsors quels qu'ils soient ce serait l’idéal car ce n’est pas facile. Merci à la famille, les amis, le club Islander MMA, la Polynésie et surtout ma copine Maire, tonton Thibault et tati Ahuarii. » SB
Tu fais tes études en Nouvelle Zélande ?
« Je vais intégrer une école de tourisme pour tout ce qui est excursions nautiques. Ce sont mes entraîneurs qui m’on poussé à participer. Ce n’est pas comme à Tahiti, il n’y pas de protections. Pas de casque, ni protège tibias, les gants c’est du 10 donc quand tu reçois les coup cela fait mal ? C’est pratiquement professionnel. »
Qu’est ce qui te motive ?
« Je voudrais percer dans le MMA. Je devais particper à un combat MMA mais il a été annulé alors j’ai tenté ma chance en K 1. Je vais tenter de faire tout ce qui peut me servir à progresser en MMA. Je préfère aller chercher plutôt que d’attendre que ca arrive. J’essaie de mettre toutes les chances de mon côté. »
Ton adversaire était coriace ?
« Mentalement cela a été dur, c’est un des meilleurs en K 1 ici. Un des bons, un monstre. Mais ça va, avec la volonté on peut faire beaucoup, et les entrainements surtout. Je remercie mon coach qui me pousse à aller m’entraîner tous les jours même si parfois c’est fatiguant. Ses ‘low kicks’ étaient violents, j’ai eu mal, jusqu’à présent, là ca va mieux. »
Comment tu analyses le combat ?
« Au début j’étais un peu stressé, j’ai vu mon adversaire dans les vestiaire..Wow…Il faisait une tête de plus que moi et était balèze. Mon coach voyait les failles de l’adversaire que je ne voyais pas, j’ai appliqué les enchainements qu’il me demandait de faire ‘à l’aveuglette’ et cela a marché. Il y a eu une coordination entre le coach et le combattant qui a pu faire la différence. »
Remerciements ?
« Merci à toi et à Tahiti Infos pour cet article. J’en profite pour faire un appel aux sponsors quels qu'ils soient ce serait l’idéal car ce n’est pas facile. Merci à la famille, les amis, le club Islander MMA, la Polynésie et surtout ma copine Maire, tonton Thibault et tati Ahuarii. » SB
