Invité sur les ondes de Taui fm ce mardi 30 avril, Anthony Géros tête de liste UPLD de la deuxième section, a longuement évoqué le plan d’action que compte mettre en place Oscar Temaru, dans l’hypothèse d’une victoire qui, malgré tout, semble difficile.
Pendant son intervention en langue tahitienne, l’actuel vice-président du gouvernement Temaru, n’a pas caché sa désapprobation quant à la nouvelle réforme électorale. Le découpage, selon lui, a été fait de sorte que l’UPLD ne puisse évoluer comme elle l’entendait. Hors micro déjà, il nous livrait ses impressions : « ce nouveau découpage ne tient pas la route. Il nous a obligé à parcourir les sections à une allure telle que notre programme n’a pas été compris, voire même entendu. » avant de compléter en direct : « En face de nous, il y avait tout de même 8 listes autonomistes. Nous, nous étions seuls ! Il a fallu être partout sur un territoire aussi vaste que le nôtre ! ».
Le sujet de l’inscription de la Polynésie française sur la liste des pays non autonomes était inévitable. Anthony Géros est revenu sur les dernières visites du Président Oscar Temaru, à New York « Le président veut absolument que ce pays puisse se gérer lui-même. » Dans son intervention en langue française, il n’a hésité à employer un terme sévère à l’encontre de l’Etat : néo-colonialisme. Il s’est exprimé comme son leader : « Tant que nous n’aurons pas tous les outils nécessaires au développement de notre pays, la situation n’évoluera pas. Le fait d’être ré-inscrit nous permettra de maîtriser pleinement notre destin, sans devoir à chaque fois, quémander de l’argent ou des moyens, à la France. C’est avant tout cela qui anime notre volonté de faire aboutir ce projet ! ».
Concernant l’ambigüité qui règne dans l’esprit des électeurs sur les réelles intentions d’Oscar Temaru, la réponse ne s’est pas fait attendre : « On a entendu, ici et là, des propos complètement à l’inverse du but de cette démarche. Il faut être clair une bonne fois pour toute : être inscrit sur cette liste ne veut pas dire que nous serons indépendants de facto. Pas du tout ! Cela nous permettra cependant de pouvoir négocier avec l’Etat pour un accompagnement vers notre pleine autonomie. Cela prendra forcément du temps.»
En dehors du contexte propagandiste, Anthony Géros a surtout évoqué les grandes lignes d’un plan d’action visant à relancer rapidement les grands travaux, et donc l’emploi. « Avec le président Oscar Temaru, nous avons prévu une enveloppe de 37 milliards qui seront, dès le lendemain de notre victoire, employés à la remise en route de grands chantiers, de grands travaux. (…) car la population souffre. Elle attend de nous un geste fort. Cette somme redonnera de l’oxygène à nos entreprises, mais surtout de l’emploi pour nos jeunes. Ce que veulent les gens, c’est travailler et pouvoir vivre décemment. » Si cela se réalise, il espère un effet rapide et assez démonstratif : « Avec cette argent, il sera possible de redonner du travail pour 10 000 personnes, au moins ».
Sans transition, le numéro 2 du gouvernement a aussitôt enchainé avec l’allocation Parent au Foyer, Cette fameuse aide présentée en novembre dernier à l’Assemblée de la Polynésie, varie selon le nombre d’enfants, entre 30 000 et 45 000 F CFP par mois, et vient en complément des allocations familiales. « Pour l’instant, seuls un peu plus de 300 dossiers ont été traités, mais l’objectif, si nous revenons au pouvoir, serait d’atteindre entre 3 000 et 4 000 foyers qui bénéficieront de cette aide. » s’il s’est défendu d’avancer ici un argument « clientéliste », il a toutefois reconnu l’intérêt de cette mesure : « …notre gouvernement entend aider ces mères au foyer et qui n’ont pas de revenus et qui s’occupent de leurs enfants. » et d’ajouter quand même « nous promettons de mener cette mesure à terme ».
Au jour d’aujourd’hui, le parti de coalition mise sur le réveil des consciences et ce, malgré une défaite au goût amer lors du premier tour. « Nous croyons en ce pays et en ce peuple qui souffre et qui ne demande qu’à s’en sortir. » Anthony Géros a exclu les expressions telles que : « Vote sanction » et « vote utile ». Pour lui, l’opposition a su utiliser les « bons arguments » qui ont toujours fait recette par le passé, à savoir les promesses. « Vous savez, si nous avions fait pareil durant notre campagne, nous aurions certainement égalisé nos scores avec le Tāhō’ēra’a Huira’atira. »
Quoiqu’il en soit, le 5 mai prochain, si la situation se répète comme au premier tour, l’UPLD se retrouvera dans une opposition minoritaire, face au clan orange qui raflera ainsi la majorité des sièges à l’Assemblée de la Polynésie.
TP
Pendant son intervention en langue tahitienne, l’actuel vice-président du gouvernement Temaru, n’a pas caché sa désapprobation quant à la nouvelle réforme électorale. Le découpage, selon lui, a été fait de sorte que l’UPLD ne puisse évoluer comme elle l’entendait. Hors micro déjà, il nous livrait ses impressions : « ce nouveau découpage ne tient pas la route. Il nous a obligé à parcourir les sections à une allure telle que notre programme n’a pas été compris, voire même entendu. » avant de compléter en direct : « En face de nous, il y avait tout de même 8 listes autonomistes. Nous, nous étions seuls ! Il a fallu être partout sur un territoire aussi vaste que le nôtre ! ».
Le sujet de l’inscription de la Polynésie française sur la liste des pays non autonomes était inévitable. Anthony Géros est revenu sur les dernières visites du Président Oscar Temaru, à New York « Le président veut absolument que ce pays puisse se gérer lui-même. » Dans son intervention en langue française, il n’a hésité à employer un terme sévère à l’encontre de l’Etat : néo-colonialisme. Il s’est exprimé comme son leader : « Tant que nous n’aurons pas tous les outils nécessaires au développement de notre pays, la situation n’évoluera pas. Le fait d’être ré-inscrit nous permettra de maîtriser pleinement notre destin, sans devoir à chaque fois, quémander de l’argent ou des moyens, à la France. C’est avant tout cela qui anime notre volonté de faire aboutir ce projet ! ».
Concernant l’ambigüité qui règne dans l’esprit des électeurs sur les réelles intentions d’Oscar Temaru, la réponse ne s’est pas fait attendre : « On a entendu, ici et là, des propos complètement à l’inverse du but de cette démarche. Il faut être clair une bonne fois pour toute : être inscrit sur cette liste ne veut pas dire que nous serons indépendants de facto. Pas du tout ! Cela nous permettra cependant de pouvoir négocier avec l’Etat pour un accompagnement vers notre pleine autonomie. Cela prendra forcément du temps.»
En dehors du contexte propagandiste, Anthony Géros a surtout évoqué les grandes lignes d’un plan d’action visant à relancer rapidement les grands travaux, et donc l’emploi. « Avec le président Oscar Temaru, nous avons prévu une enveloppe de 37 milliards qui seront, dès le lendemain de notre victoire, employés à la remise en route de grands chantiers, de grands travaux. (…) car la population souffre. Elle attend de nous un geste fort. Cette somme redonnera de l’oxygène à nos entreprises, mais surtout de l’emploi pour nos jeunes. Ce que veulent les gens, c’est travailler et pouvoir vivre décemment. » Si cela se réalise, il espère un effet rapide et assez démonstratif : « Avec cette argent, il sera possible de redonner du travail pour 10 000 personnes, au moins ».
Sans transition, le numéro 2 du gouvernement a aussitôt enchainé avec l’allocation Parent au Foyer, Cette fameuse aide présentée en novembre dernier à l’Assemblée de la Polynésie, varie selon le nombre d’enfants, entre 30 000 et 45 000 F CFP par mois, et vient en complément des allocations familiales. « Pour l’instant, seuls un peu plus de 300 dossiers ont été traités, mais l’objectif, si nous revenons au pouvoir, serait d’atteindre entre 3 000 et 4 000 foyers qui bénéficieront de cette aide. » s’il s’est défendu d’avancer ici un argument « clientéliste », il a toutefois reconnu l’intérêt de cette mesure : « …notre gouvernement entend aider ces mères au foyer et qui n’ont pas de revenus et qui s’occupent de leurs enfants. » et d’ajouter quand même « nous promettons de mener cette mesure à terme ».
Au jour d’aujourd’hui, le parti de coalition mise sur le réveil des consciences et ce, malgré une défaite au goût amer lors du premier tour. « Nous croyons en ce pays et en ce peuple qui souffre et qui ne demande qu’à s’en sortir. » Anthony Géros a exclu les expressions telles que : « Vote sanction » et « vote utile ». Pour lui, l’opposition a su utiliser les « bons arguments » qui ont toujours fait recette par le passé, à savoir les promesses. « Vous savez, si nous avions fait pareil durant notre campagne, nous aurions certainement égalisé nos scores avec le Tāhō’ēra’a Huira’atira. »
Quoiqu’il en soit, le 5 mai prochain, si la situation se répète comme au premier tour, l’UPLD se retrouvera dans une opposition minoritaire, face au clan orange qui raflera ainsi la majorité des sièges à l’Assemblée de la Polynésie.
TP
Te piti o te hātuara’a nō te mā’itirira’a : « E 37 mīria nō te hōro’a i te ‘ohipa ! »
I roto i te tahi uiuira’a i ni’a i te ‘āfata parauparau a Taui fm, ‘ua fa’ahiti o Tony Geros tāne i te parau nō te ‘ōpuara’a rarahi o tā Oscar Temaru e fēruri ra i te ha’amau, mai te peu ra e manuia noa atu.
I roto i tā na ‘āparaura’a nā roto ihoa ra i te reo nō Ta’aroa, ‘aita o Anthony Geros tāne i huna noa a’e i tō na mana’o tapitapi nō te huru fa’anahora’a ‘āpī o teie mā’itira’a. Te tāpūpūra’a, ai au o tā na i parau, ‘ua fa’anaho hia mai i teie i te huru ‘eiaha te Tāpura ‘āmui ia nehenehe e ‘aro mai o te i mātaro hia ana. Teie tō na mana’o : « ‘aita roatu teie tāpūpū e ha’a ‘aifaīto nei i te mau pūpū ato’a. ‘Ua tāpapa mātou i te mau vāhi ato’a nā roto i te vitivitira’a. I mua iā mātou, te vai ra 8 pūpū ‘ōtōnōmī. I tō mātou ra pae, ‘o mātou ana’e. »
Nō te parau o te tāpa’o fa’ahoura’a iā Pōrīnetia farāni nei i ni’a i te tāpura o te mau fenua ti’amā, ‘aita roa atu ‘oia i ‘ape noa a’e i te reira. Hou roa atu, ‘ua ho’i mai ‘ōna i ni’a i te mau terera’a i ma’iri iho nei o te Peretiteni Oscar Temaru tāne, i te oire pū nō New York : « Te hia’ai nei te Peretiteni i’a nehenehe tō tātou nei fenua e rave i tā na iho mau arata’ira’a . » Nā roto i te reo farāni, ‘ua hiti mai te mana’o hepohepo mau i mua te fa’anahora’a rau e rave hia nei e te hau nui. Hō’ē ā te ta’ira’a reo e tō te Peretiteni : « Mai te peu ‘aita te mau mauiha’a e mau i roto i tō tātou rima nō te fa’ahotura’a i teie fenua tō tātou, ‘aita rāve’a e haere ai i mua. Nā teie ‘ōpuara’a tāpa’ora’a e fa’atupu i te reira, ‘ia ti’a roa atu tātou i te vāhi pāpū ma te ‘ore e haere e tāparu te moni ānei, a ore ra te tahi atu ā ‘ohipa, i te hau farāni. Nā teie huru fērurira’a e fa’aitoito nei iā mātou i roto i tā mātou mau tauto’ora’a ha’amanuiara’a i teie ‘ōpuara’a. »
Nō te parau o te taupūpūra’a mana’o i ‘ite hia iō te nūna’a o te i haere e mā’iti, ‘ua hōro’a mai o Tony Geros i te tahi mau ha’apāpūra’a nō i ni’a i te tumu o Oscar Temaru e reva noa nei : « ‘Ua puta mai te tahi mau parau o te ‘ore e tū’ati ra i ni’a i te tumu mau o teie mau terera’a o te Peretiteni. E ti’a ‘ia fa’atītī’aifaro i te reira mau parau : ‘e ‘ere nō te mea e tāpa’o hia teie fenua i ni’a i teie tāpura, e riro roatu ‘ei fenua ti’amā i taua taime ihoa. Mea hape roa i te reira mana’o ! Nā te reira ra fa’anahora’a e nehenehe e fa’atupu te tau’ara’a parau i roto pū mātou ‘e te hau metua nō te ‘apipiti iā tātou i roto i te fa’ahotura’a o teie fenua. Parau mau, ‘e ‘ere nō teienei. »
Ta’a noa atu teie mau tumu parau, ‘ua fa’ahiti ato’a o Tony Géros i tetahi ā mau ‘ōpuara’a rau o tā rātou i fēruri, ‘ia noa’a fa’ahou tā te feiā ‘āpī ‘ohipa. Te ravera’a mātāmua roa, e tāpura te hau fenua i te tuha’a 37 mīria farāne nō te fa’ahaere fa’ahou i te mau patura’a hururau i teriā, i teriā atu vāhi. « …e rave mātou i teie ‘ohipa, i te ha’amatara’a ihoa nō te mea te auta ra i tā tātou nūna’a. » I roto i tā na tātarara’a, maoti teie fa’anahora’a e riro i te noa’a mai i te hō’ē faīto 10 000 ti’ara’a ‘ohipa. »
Hou roatu, e fa’afāna’o hia e 4 000 mau ‘utuāfare i teie fa’anahora’a parau hia « Moni Tauturu Nō te mau metua e fa’a’ea ra i te fare ». I te mau ‘āva’e ato’a, e fāna’o rātou i te faīto moni 35 000 haere atu 40 000 farāne. Te i te huru noa o te nūmera tamari’i tō terā ‘e terā atu ‘utuāfare. I teie taime, e 300 ti’i hapa noa mau pu’e parau anira’a o te i tuatāpapa hia.
I te pae o te mā’itira’a, te uhe pāpū fa’ahou nei te pūpū ‘āmui i ni’a i te hō’ē tauira’a o te mana’o o te huira’atira. Nō na, ‘ua manuia te pūpū puatau nō tā na mau fafaura’a huru rau o tei i fa’aro’o hia na i te roto i te mau ārea porora’a poritita. Te parau ra ē : « ‘A hani ato’a mātou i ‘ape’e i te huru ravera’a, o te mea pūpū, ‘ua ‘aifaīto atu ra paha te pūpū ‘āmui e te Tāhō’ēra’a Huira’atira. »
I teie ra, mai te peu hō’ē ā te huru mā’itira’a mai o te i ‘ite hia i te 21 ra i ma’iri, e fa’a’ea atu te pūpū e arata’i hia nei e Oscar Temaru, i te pae pāto’i, nā roto i te tahi faito iti. Mai te peu o te reira mau ihoa, e riro te pūpū ‘ei pūpū mātāmua roa i roto i te Fare ‘Apo’ora’a rahi.
TP
I roto i te tahi uiuira’a i ni’a i te ‘āfata parauparau a Taui fm, ‘ua fa’ahiti o Tony Geros tāne i te parau nō te ‘ōpuara’a rarahi o tā Oscar Temaru e fēruri ra i te ha’amau, mai te peu ra e manuia noa atu.
I roto i tā na ‘āparaura’a nā roto ihoa ra i te reo nō Ta’aroa, ‘aita o Anthony Geros tāne i huna noa a’e i tō na mana’o tapitapi nō te huru fa’anahora’a ‘āpī o teie mā’itira’a. Te tāpūpūra’a, ai au o tā na i parau, ‘ua fa’anaho hia mai i teie i te huru ‘eiaha te Tāpura ‘āmui ia nehenehe e ‘aro mai o te i mātaro hia ana. Teie tō na mana’o : « ‘aita roatu teie tāpūpū e ha’a ‘aifaīto nei i te mau pūpū ato’a. ‘Ua tāpapa mātou i te mau vāhi ato’a nā roto i te vitivitira’a. I mua iā mātou, te vai ra 8 pūpū ‘ōtōnōmī. I tō mātou ra pae, ‘o mātou ana’e. »
Nō te parau o te tāpa’o fa’ahoura’a iā Pōrīnetia farāni nei i ni’a i te tāpura o te mau fenua ti’amā, ‘aita roa atu ‘oia i ‘ape noa a’e i te reira. Hou roa atu, ‘ua ho’i mai ‘ōna i ni’a i te mau terera’a i ma’iri iho nei o te Peretiteni Oscar Temaru tāne, i te oire pū nō New York : « Te hia’ai nei te Peretiteni i’a nehenehe tō tātou nei fenua e rave i tā na iho mau arata’ira’a . » Nā roto i te reo farāni, ‘ua hiti mai te mana’o hepohepo mau i mua te fa’anahora’a rau e rave hia nei e te hau nui. Hō’ē ā te ta’ira’a reo e tō te Peretiteni : « Mai te peu ‘aita te mau mauiha’a e mau i roto i tō tātou rima nō te fa’ahotura’a i teie fenua tō tātou, ‘aita rāve’a e haere ai i mua. Nā teie ‘ōpuara’a tāpa’ora’a e fa’atupu i te reira, ‘ia ti’a roa atu tātou i te vāhi pāpū ma te ‘ore e haere e tāparu te moni ānei, a ore ra te tahi atu ā ‘ohipa, i te hau farāni. Nā teie huru fērurira’a e fa’aitoito nei iā mātou i roto i tā mātou mau tauto’ora’a ha’amanuiara’a i teie ‘ōpuara’a. »
Nō te parau o te taupūpūra’a mana’o i ‘ite hia iō te nūna’a o te i haere e mā’iti, ‘ua hōro’a mai o Tony Geros i te tahi mau ha’apāpūra’a nō i ni’a i te tumu o Oscar Temaru e reva noa nei : « ‘Ua puta mai te tahi mau parau o te ‘ore e tū’ati ra i ni’a i te tumu mau o teie mau terera’a o te Peretiteni. E ti’a ‘ia fa’atītī’aifaro i te reira mau parau : ‘e ‘ere nō te mea e tāpa’o hia teie fenua i ni’a i teie tāpura, e riro roatu ‘ei fenua ti’amā i taua taime ihoa. Mea hape roa i te reira mana’o ! Nā te reira ra fa’anahora’a e nehenehe e fa’atupu te tau’ara’a parau i roto pū mātou ‘e te hau metua nō te ‘apipiti iā tātou i roto i te fa’ahotura’a o teie fenua. Parau mau, ‘e ‘ere nō teienei. »
Ta’a noa atu teie mau tumu parau, ‘ua fa’ahiti ato’a o Tony Géros i tetahi ā mau ‘ōpuara’a rau o tā rātou i fēruri, ‘ia noa’a fa’ahou tā te feiā ‘āpī ‘ohipa. Te ravera’a mātāmua roa, e tāpura te hau fenua i te tuha’a 37 mīria farāne nō te fa’ahaere fa’ahou i te mau patura’a hururau i teriā, i teriā atu vāhi. « …e rave mātou i teie ‘ohipa, i te ha’amatara’a ihoa nō te mea te auta ra i tā tātou nūna’a. » I roto i tā na tātarara’a, maoti teie fa’anahora’a e riro i te noa’a mai i te hō’ē faīto 10 000 ti’ara’a ‘ohipa. »
Hou roatu, e fa’afāna’o hia e 4 000 mau ‘utuāfare i teie fa’anahora’a parau hia « Moni Tauturu Nō te mau metua e fa’a’ea ra i te fare ». I te mau ‘āva’e ato’a, e fāna’o rātou i te faīto moni 35 000 haere atu 40 000 farāne. Te i te huru noa o te nūmera tamari’i tō terā ‘e terā atu ‘utuāfare. I teie taime, e 300 ti’i hapa noa mau pu’e parau anira’a o te i tuatāpapa hia.
I te pae o te mā’itira’a, te uhe pāpū fa’ahou nei te pūpū ‘āmui i ni’a i te hō’ē tauira’a o te mana’o o te huira’atira. Nō na, ‘ua manuia te pūpū puatau nō tā na mau fafaura’a huru rau o tei i fa’aro’o hia na i te roto i te mau ārea porora’a poritita. Te parau ra ē : « ‘A hani ato’a mātou i ‘ape’e i te huru ravera’a, o te mea pūpū, ‘ua ‘aifaīto atu ra paha te pūpū ‘āmui e te Tāhō’ēra’a Huira’atira. »
I teie ra, mai te peu hō’ē ā te huru mā’itira’a mai o te i ‘ite hia i te 21 ra i ma’iri, e fa’a’ea atu te pūpū e arata’i hia nei e Oscar Temaru, i te pae pāto’i, nā roto i te tahi faito iti. Mai te peu o te reira mau ihoa, e riro te pūpū ‘ei pūpū mātāmua roa i roto i te Fare ‘Apo’ora’a rahi.
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