Avoir du plaisir sans pénis, c'est possible. C'est ce qu'affirme Andrew Wardle, un Britannique de 40 ans qui n'en possède pas. L'homme s'est confié dans un documentaire diffusé aux Etats-Unis sur la chaîne TLC.
Vivre sans pénis, c'est le quotidien depuis 40 ans d'Andrew Wardle, un Britannique né avec une vessie à l'extérieur de son ventre. Cet handicap, qui touche un homme sur 30 millions, ne l'a pas empêché d'afficher une centaine de conquêtes à son tableau de chasse. En tout cas c'est ce qu'il affirme, cité par le Mirror: "La plupart du temps elles ne semblaient pas dérangées. Elles ont aimé le fait que je puisse leur donner du plaisir par d'autres moyens sans rien attendre en retour."
Dans l'émission de télévision qui retrace un an de sa vie sans pénis, diffusée sur la chaîne américaine TLC, Andrew avoue tout de même que seulement 20% des femmes avec qui il a eu des relations sexuelles étaient au courant de sa différence. Pour les séduire, Andrew utilisait, dit-il, "son charme et son manque de confiance en lui."
"Si l'opération réussit, je pourrais enfin commencer à vivre comme un homme normal"
Ce barman et homme de sécurité a connu une vie de couple pendant quatre avec sa première copine. Cela n'avait posé aucun problème à l'époque car il était âgé de seulement 15 ans. "Ma copine était très compréhensive. Cela aurait été un problème dans le futur si nous étions restés ensemble", avoue Andrew.
L'homme attend désormais la greffe de peau et de tissus nerveux à partir de son bras qui lui permettra d'avoir un pénis tout à fait normal. Même si il a avoué prendre du plaisir, Andrew a tenté de se suicider. A l'annonce de cette greffe, il s'est extasié au Sun : "Je n'ai jamais pensé que ce jour viendrait et je n'arrive toujours pas à croire qu'il me sera vraiment possible d'avoir un pénis tout à fait fonctionnel. Si l'opération réussit, je pourrais enfin commencer à vivre comme un homme normal. Des choses comme faire l'amour et construire une famille, des choses que tellement de gens prennent pour acquis, vont enfin devenir envisageables".
Vivre sans pénis, c'est le quotidien depuis 40 ans d'Andrew Wardle, un Britannique né avec une vessie à l'extérieur de son ventre. Cet handicap, qui touche un homme sur 30 millions, ne l'a pas empêché d'afficher une centaine de conquêtes à son tableau de chasse. En tout cas c'est ce qu'il affirme, cité par le Mirror: "La plupart du temps elles ne semblaient pas dérangées. Elles ont aimé le fait que je puisse leur donner du plaisir par d'autres moyens sans rien attendre en retour."
Dans l'émission de télévision qui retrace un an de sa vie sans pénis, diffusée sur la chaîne américaine TLC, Andrew avoue tout de même que seulement 20% des femmes avec qui il a eu des relations sexuelles étaient au courant de sa différence. Pour les séduire, Andrew utilisait, dit-il, "son charme et son manque de confiance en lui."
"Si l'opération réussit, je pourrais enfin commencer à vivre comme un homme normal"
Ce barman et homme de sécurité a connu une vie de couple pendant quatre avec sa première copine. Cela n'avait posé aucun problème à l'époque car il était âgé de seulement 15 ans. "Ma copine était très compréhensive. Cela aurait été un problème dans le futur si nous étions restés ensemble", avoue Andrew.
L'homme attend désormais la greffe de peau et de tissus nerveux à partir de son bras qui lui permettra d'avoir un pénis tout à fait normal. Même si il a avoué prendre du plaisir, Andrew a tenté de se suicider. A l'annonce de cette greffe, il s'est extasié au Sun : "Je n'ai jamais pensé que ce jour viendrait et je n'arrive toujours pas à croire qu'il me sera vraiment possible d'avoir un pénis tout à fait fonctionnel. Si l'opération réussit, je pourrais enfin commencer à vivre comme un homme normal. Des choses comme faire l'amour et construire une famille, des choses que tellement de gens prennent pour acquis, vont enfin devenir envisageables".