Sydney, Australie | AFP | jeudi 08/02/2017 - Le responsable de la sécurité des All Blacks, inculpé pour avoir installé un dispositif d'espionnage dans un hôtel des Néo-Zélandais à Sydney en août, a clamé jeudi son innocence, assurant ne rien savoir sur "ce stupide fichu micro".
"Je ne sais rien sur ce stupide fichu micro, a déclaré Adrian Gard au Sydney Daily Telegraph. C'est une nouvelle pour moi."
L'homme de 51 ans, qui a travaillé pour les All Blacks pendant plusieurs années, a été inculpé mardi et doit se présenter à un tribunal australien le 21 mars.
Il est accusé d'avoir installé un dispositif d'espionnage à l'intérieur d'une chaise de la salle de conférence de l'hôtel de Sydney où résidaient les Blacks en août, cinq jours avant un match contre l'Australie largement remporté par les doubles champions du monde en titre (42-8).
"Je suis très ennuyé à propos de tout ça, pour vous dire la vérité. Je vais juste traverser les prochains mois, et la vérité se révélera à la fin", a-t-il poursuivi.
"Les personnes qui travaillent avec moi peuvent attester de ma réputation", a ajouté Adrian Gard.
Plus tôt dans la semaine, le sélectionneur néo-zélandais Steve Hansen a qualifié les accusations de "bizarres et difficiles à croire."
"L'homme inculpé a travaillé pour les All Blacks et bien d'autres organisations depuis des années et c'est quelqu'un qui est respecté et en qui on fait confiance", a-t-il déclaré.
Pour le président de la fédération australienne Bill Pulver, le scandale a laissé "un goût amer" surtout qu'il a éclaté le matin du match, alors que le micro aurait été découvert cinq jours plus tôt.
Le coach des Wallabies Michael Cheika a nié mercredi que les relations entre les deux côtes de la mer de Tasman étaient au plus bas.
mp/ddc/th/ah/jcp
© Agence France-Presse
"Je ne sais rien sur ce stupide fichu micro, a déclaré Adrian Gard au Sydney Daily Telegraph. C'est une nouvelle pour moi."
L'homme de 51 ans, qui a travaillé pour les All Blacks pendant plusieurs années, a été inculpé mardi et doit se présenter à un tribunal australien le 21 mars.
Il est accusé d'avoir installé un dispositif d'espionnage à l'intérieur d'une chaise de la salle de conférence de l'hôtel de Sydney où résidaient les Blacks en août, cinq jours avant un match contre l'Australie largement remporté par les doubles champions du monde en titre (42-8).
"Je suis très ennuyé à propos de tout ça, pour vous dire la vérité. Je vais juste traverser les prochains mois, et la vérité se révélera à la fin", a-t-il poursuivi.
"Les personnes qui travaillent avec moi peuvent attester de ma réputation", a ajouté Adrian Gard.
Plus tôt dans la semaine, le sélectionneur néo-zélandais Steve Hansen a qualifié les accusations de "bizarres et difficiles à croire."
"L'homme inculpé a travaillé pour les All Blacks et bien d'autres organisations depuis des années et c'est quelqu'un qui est respecté et en qui on fait confiance", a-t-il déclaré.
Pour le président de la fédération australienne Bill Pulver, le scandale a laissé "un goût amer" surtout qu'il a éclaté le matin du match, alors que le micro aurait été découvert cinq jours plus tôt.
Le coach des Wallabies Michael Cheika a nié mercredi que les relations entre les deux côtes de la mer de Tasman étaient au plus bas.
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