Paris, France | AFP | samedi 10/12/2016 - "C'est arrivé à la maison", "à l'école", "sur internet"... Face à la diversité des situations, aux hésitations et à une législation parfois méconnue, l'Institut national d'aide aux victimes et de médiation (Inavem) a présenté samedi une application pour guider dans les démarches.
Sur l'application "France Victimes Aidez-moi", l'usager détaille les circonstances dans lesquelles l'infraction dont il a été victime s'est produite ("au sein de la famille/du couple", "sur la route", "au travail"...) et sa situation actuelle ("j'ai peur", "j'ai honte", "je veux porter plainte", "on ne veut pas prendre ma plainte"...). Il y trouve ensuite des conseils psychologiques, des renseignements sur ses droits et sur les procédures juridiques et des contacts d'interlocuteurs.
Il peut contacter par téléphone ou mail l'une des 130 associations du réseau France Victimes, le nouveau nom "bannière" de l'Inavem adoptée pour plus de "lisibilité" dans le grand public. Via la géolocalisation, une personne pourra également trouver instantanément les emplacements des structures pouvant lui être utiles à proximité (hôpitaux, commissariats...).
"Cette application n'est pas faite que pour les victimes, mais aussi pour le grand public qui peut être touché directement ou indirectement par ces questions", a indiqué la responsable de la communication de la fédération, Olivia Mons.
L'Inavem prend en charge gratuitement environ 300.000 personnes par an, victimes de diverses infractions ou accidents (agressions, violences intrafamiliales, accidents de la route, catastrophes et accidents collectifs, attentats, atteinte aux biens...).
Face aux présidents des 130 associations du réseau réunis samedi à Paris, la secrétaire d'Etat en charge de l'aide aux victimes, Juliette Méadel, dont le poste a été créé après la récente vague d'attentats jihadistes, a rappelé la volonté du gouvernement de créer en janvier un Secrétariat général à l'aide aux victimes, "avec un budget dédié".
Il s'agit que "toutes les réformes mises en oeuvre continuent à être suivies dans une administration pérenne (...) dans un temps long échappant au calendrier électoral", a-t-elle expliqué à quelques mois de la présidentielle.
sva/tmo/nm
Sur l'application "France Victimes Aidez-moi", l'usager détaille les circonstances dans lesquelles l'infraction dont il a été victime s'est produite ("au sein de la famille/du couple", "sur la route", "au travail"...) et sa situation actuelle ("j'ai peur", "j'ai honte", "je veux porter plainte", "on ne veut pas prendre ma plainte"...). Il y trouve ensuite des conseils psychologiques, des renseignements sur ses droits et sur les procédures juridiques et des contacts d'interlocuteurs.
Il peut contacter par téléphone ou mail l'une des 130 associations du réseau France Victimes, le nouveau nom "bannière" de l'Inavem adoptée pour plus de "lisibilité" dans le grand public. Via la géolocalisation, une personne pourra également trouver instantanément les emplacements des structures pouvant lui être utiles à proximité (hôpitaux, commissariats...).
"Cette application n'est pas faite que pour les victimes, mais aussi pour le grand public qui peut être touché directement ou indirectement par ces questions", a indiqué la responsable de la communication de la fédération, Olivia Mons.
L'Inavem prend en charge gratuitement environ 300.000 personnes par an, victimes de diverses infractions ou accidents (agressions, violences intrafamiliales, accidents de la route, catastrophes et accidents collectifs, attentats, atteinte aux biens...).
Face aux présidents des 130 associations du réseau réunis samedi à Paris, la secrétaire d'Etat en charge de l'aide aux victimes, Juliette Méadel, dont le poste a été créé après la récente vague d'attentats jihadistes, a rappelé la volonté du gouvernement de créer en janvier un Secrétariat général à l'aide aux victimes, "avec un budget dédié".
Il s'agit que "toutes les réformes mises en oeuvre continuent à être suivies dans une administration pérenne (...) dans un temps long échappant au calendrier électoral", a-t-elle expliqué à quelques mois de la présidentielle.
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