TARAVAO, jeudi 18 avril 2013. Hier en soirée, vers 20h30 la gendarmerie reçoit l’appel d’un homme qui signale un vol d'argent commis à son domicile. Une patrouille de la brigade de Taravao intervient sur les lieux et se trouve en présence d'un couple en phase de rupture.
L'homme accuse sa conjointe de lui avoir volé une forte somme d'argent. Une accusation que nie la femme, laquelle en proie à une crise d'hystérie s'est armée d'un couteau de cuisine à la lame bien effilée, et menace de se trancher la gorge.
Les gendarmes tentent d’amorcer un dialogue, mais l’unique réponse de la femme est d’ôter ses vêtements, et lorsqu’elle est complètement nue d’exiger des militaires qu’ils lui fassent une fouille au corps. Dans sa crise elle avoue aux gendarmes qu’elle "s’est humiliée en se mettant nue pour prouver qu’elle n’est pas une voleuse". Il faut encore parlementer pendant une demi-heure pour que les militaires parviennent à désarmer la femme qui est ensuite évacuée d’abord vers l’hôpital de Taravao, puis dans un service spécialisée au Taaone. Le jeune fils mineur du couple est pris en charge. Après l’évacuation de la femme vers l’hôpital, les gendarmes entreprennent une fouille minutieuse de la maison : l’argent reste introuvable. Le concubin est convoqué à la brigade de gendarmerie pour donner plus d’explications.
L'homme accuse sa conjointe de lui avoir volé une forte somme d'argent. Une accusation que nie la femme, laquelle en proie à une crise d'hystérie s'est armée d'un couteau de cuisine à la lame bien effilée, et menace de se trancher la gorge.
Les gendarmes tentent d’amorcer un dialogue, mais l’unique réponse de la femme est d’ôter ses vêtements, et lorsqu’elle est complètement nue d’exiger des militaires qu’ils lui fassent une fouille au corps. Dans sa crise elle avoue aux gendarmes qu’elle "s’est humiliée en se mettant nue pour prouver qu’elle n’est pas une voleuse". Il faut encore parlementer pendant une demi-heure pour que les militaires parviennent à désarmer la femme qui est ensuite évacuée d’abord vers l’hôpital de Taravao, puis dans un service spécialisée au Taaone. Le jeune fils mineur du couple est pris en charge. Après l’évacuation de la femme vers l’hôpital, les gendarmes entreprennent une fouille minutieuse de la maison : l’argent reste introuvable. Le concubin est convoqué à la brigade de gendarmerie pour donner plus d’explications.
