TAHITI, le 27 juillet 2021 - Tehere, Evy et Jesse ont lancé l’initiative Tahiti Rocks il y a deux ans. Elle consiste à cacher des pierres décorées à la main, à livrer quelques indices en ligne puis à suivre le voyage de ces dernières. Certaines sont allés en Australie, à Hawaii, en métropole ! Au fenua, l’aventure continue.
"Tu veux montrer les pierres que vous avez peintes ?", demande Tehere à son fils Jesse. Une poignée de pierres, cailloux et même un coquillage joliment décorés est déposée sur un muret du parc Paofai. Les artistes, une petite famille, s’apprêtent à imiter le Petit Poucet. Ils vont déposer leurs œuvres d’art dans des recoins choisis de l’espace vert, espérant qu’elles seront suivies à la trace.
"En fait", raconte Evy, la sœur de Jesse, "on était en Nouvelle-Zélande en avril 2019 et, en faisant une balade en forêt, j’ai trouvé une pierre avec un message dessus qui disait : Post me on Facebook, Rotorocks".
"Nous étions alors à Rotorua", précise Tehere. Après quelques recherches, elle a découvert la communauté des Rotorocks, le concept des pierres décorées, disséminées, retrouvées, pistées. "On a commencé, en nous baladant, à être plus attentif, à chercher d’autres pierres", se rappelle Tehere. Et ils ont trouvé ! En particulier dans les lieux touristiques. "Je suis même tombée sur un cœur", ajoute Evy, ravie. Tout le monde s’est pris au jeu. "On a éprouvé tant de joie, qu’on s’est dit mais pourquoi ne pas faire ça à Tahiti ?", détaille Tehere. Et c’est ainsi que la communauté Tahiti Rocks est née.
À Hawaii ou en Chine
Toi aussi tu peux jouer ! Regarde sur la page Facebook de la communauté, retiens les indices, va te balader et, si tu trouves des pierres, présente-toi à la communauté, toi, ou plutôt les pierres. Explique ensuite où tu envisages de les cacher à ton tour. "C’est ça qui est intéressant", insiste Tehere, "c’est de pouvoir suivre le parcours des petites œuvres". Certaines, au départ de Tahiti, sont allées à Hawaii, en Australie, aux États-Unis, en France et même sur la Grande Muraille de Chine ! D’autres ont disparu, "malheureusement". Des résidents ont rejoint la communauté, mais aussi des touristes car le concept existe ailleurs.
La famille se lance parfois dans la réalisation de collections, comme la collection Tropicale, Pâques, Rainbow, licornes… Elle saisit l’occasion de ses nombreuses balades dans la nature pour déposer ses collections.
Il y a quelques semaines, une autre initiative du genre a vu le jour. Il s’agit de Love on the rocks. "Je les ai contactés", rapporte Tehere, "et nous avons fusionné". Aux dernières nouvelles, une jolie licorne se languissait au Parc Paofai.
"Tu veux montrer les pierres que vous avez peintes ?", demande Tehere à son fils Jesse. Une poignée de pierres, cailloux et même un coquillage joliment décorés est déposée sur un muret du parc Paofai. Les artistes, une petite famille, s’apprêtent à imiter le Petit Poucet. Ils vont déposer leurs œuvres d’art dans des recoins choisis de l’espace vert, espérant qu’elles seront suivies à la trace.
"En fait", raconte Evy, la sœur de Jesse, "on était en Nouvelle-Zélande en avril 2019 et, en faisant une balade en forêt, j’ai trouvé une pierre avec un message dessus qui disait : Post me on Facebook, Rotorocks".
"Nous étions alors à Rotorua", précise Tehere. Après quelques recherches, elle a découvert la communauté des Rotorocks, le concept des pierres décorées, disséminées, retrouvées, pistées. "On a commencé, en nous baladant, à être plus attentif, à chercher d’autres pierres", se rappelle Tehere. Et ils ont trouvé ! En particulier dans les lieux touristiques. "Je suis même tombée sur un cœur", ajoute Evy, ravie. Tout le monde s’est pris au jeu. "On a éprouvé tant de joie, qu’on s’est dit mais pourquoi ne pas faire ça à Tahiti ?", détaille Tehere. Et c’est ainsi que la communauté Tahiti Rocks est née.
À Hawaii ou en Chine
Toi aussi tu peux jouer ! Regarde sur la page Facebook de la communauté, retiens les indices, va te balader et, si tu trouves des pierres, présente-toi à la communauté, toi, ou plutôt les pierres. Explique ensuite où tu envisages de les cacher à ton tour. "C’est ça qui est intéressant", insiste Tehere, "c’est de pouvoir suivre le parcours des petites œuvres". Certaines, au départ de Tahiti, sont allées à Hawaii, en Australie, aux États-Unis, en France et même sur la Grande Muraille de Chine ! D’autres ont disparu, "malheureusement". Des résidents ont rejoint la communauté, mais aussi des touristes car le concept existe ailleurs.
La famille se lance parfois dans la réalisation de collections, comme la collection Tropicale, Pâques, Rainbow, licornes… Elle saisit l’occasion de ses nombreuses balades dans la nature pour déposer ses collections.
Il y a quelques semaines, une autre initiative du genre a vu le jour. Il s’agit de Love on the rocks. "Je les ai contactés", rapporte Tehere, "et nous avons fusionné". Aux dernières nouvelles, une jolie licorne se languissait au Parc Paofai.