Dans le cadre de sa tournée en Polynésie française du 25 au 28 février, la délégation du Forum du pacifique a rencontré les membres du parti A Tia Porinetia. Le Forum des îles du Pacifique a été créé en 1971 et regroupe actuellement 16 états indépendants qui sont : l’Australie, les îles Cook, les Etats fédérés de Micronésie, Fiji, Kiribati, Nauru, la Nouvelle Zélande, Niue, Palau, Papouasie Nouvelle-Guinée, les îles Marshall, Samoa, les îles Salomon, Tonga, Tuvalu et Vanuatu.
Cette visite s’inscrit dans le cadre d’un travail de renouvellement du Plan du Pacifique élaboré par cette organisation internationale afin de favoriser les actions de coopération et d’échanges entre les divers pays qui la composent, et ses autres voisins. Le dernier plan élaboré en 2005, remanié en 2009, a besoin d’être réactualisé pour coller aux problématiques actuelles. C’est pourquoi depuis le début de l’année, des représentants missionnés par le Forum du Pacifique font la tournée des différents pays.
Pendant leur consultation avec les différents pays ou territoires, les envoyés spéciaux du Forum du Pacifique doivent s’attacher à rencontrer les différents groupes politiques mais aussi des représentants de la société civile, notamment au CESC. C’est ainsi que l’un de leurs rendez-vous à Tahiti les a conduits à rencontrer des représentants de A Tia Porinetia:
"Lors de cette rencontre, le groupe A Ti’a Porinetia a exprimé sa vision de ce que devraient être les relations de la Polynésie avec les pays de la région Pacifique.
Gaston Tong Sang, Armelle Merceron et Teiki Porlier ont ainsi affirmé leur regret que les relations avec les pays du Forum se limitent à des enjeux purement politiques.
On sait comment Oscar Temaru utilise cette tribune pour tenter de faire avancer son projet de réinscription de la Polynésie française sur la liste des pays à décoloniser.
Les grands enjeux partagés par les pays du Forum ne manquent pas et les représentants d’A Ti’a Porinetia ont dit l’intérêt d’agir ensemble pour développer les liaisons par câbles numériques entre l’Est et l’Ouest du Pacifique, pour multiplier les échanges d’étudiants et la recherche entre notre université et celle du Pacifique à Fidji, pour resserrer nos liens culturels ou pour influencer les grands pays dans la lutte contre le réchauffement climatique et le risque de montée des eaux dont ils sont les responsables et nous les possibles victimes.
Nous avons aussi évoqué la nécessité que les petits pays insulaires adoptent des positions communes face aux puissants investisseurs extérieurs, comme la Chine.
L’actualité le prouve et il ne faut pas faire d’erreur !
Nous avons besoin des investissements extérieurs mais ils doivent se faire dans le cadre d’une coopération équilibrée qui permet un développement maitrisé de notre avenir" a expliqué A Tia Porinetia dans un communiqué.
Cette visite s’inscrit dans le cadre d’un travail de renouvellement du Plan du Pacifique élaboré par cette organisation internationale afin de favoriser les actions de coopération et d’échanges entre les divers pays qui la composent, et ses autres voisins. Le dernier plan élaboré en 2005, remanié en 2009, a besoin d’être réactualisé pour coller aux problématiques actuelles. C’est pourquoi depuis le début de l’année, des représentants missionnés par le Forum du Pacifique font la tournée des différents pays.
Pendant leur consultation avec les différents pays ou territoires, les envoyés spéciaux du Forum du Pacifique doivent s’attacher à rencontrer les différents groupes politiques mais aussi des représentants de la société civile, notamment au CESC. C’est ainsi que l’un de leurs rendez-vous à Tahiti les a conduits à rencontrer des représentants de A Tia Porinetia:
"Lors de cette rencontre, le groupe A Ti’a Porinetia a exprimé sa vision de ce que devraient être les relations de la Polynésie avec les pays de la région Pacifique.
Gaston Tong Sang, Armelle Merceron et Teiki Porlier ont ainsi affirmé leur regret que les relations avec les pays du Forum se limitent à des enjeux purement politiques.
On sait comment Oscar Temaru utilise cette tribune pour tenter de faire avancer son projet de réinscription de la Polynésie française sur la liste des pays à décoloniser.
Les grands enjeux partagés par les pays du Forum ne manquent pas et les représentants d’A Ti’a Porinetia ont dit l’intérêt d’agir ensemble pour développer les liaisons par câbles numériques entre l’Est et l’Ouest du Pacifique, pour multiplier les échanges d’étudiants et la recherche entre notre université et celle du Pacifique à Fidji, pour resserrer nos liens culturels ou pour influencer les grands pays dans la lutte contre le réchauffement climatique et le risque de montée des eaux dont ils sont les responsables et nous les possibles victimes.
Nous avons aussi évoqué la nécessité que les petits pays insulaires adoptent des positions communes face aux puissants investisseurs extérieurs, comme la Chine.
L’actualité le prouve et il ne faut pas faire d’erreur !
Nous avons besoin des investissements extérieurs mais ils doivent se faire dans le cadre d’une coopération équilibrée qui permet un développement maitrisé de notre avenir" a expliqué A Tia Porinetia dans un communiqué.
