TAIPEI, 15 janvier 2012 (AFP) - Les psychiatres de Taïwan ont connu un surcroît d'activité ce week-end en raison des élections présidentielles, qui ont causé crises d'angoisse et sautes d'humeur, un ensemble de symptômes réunis sous le nom de "syndrome des élections", rapporte dimanche la presse.
Les docteurs ont noté une hausse des cas de déprime, d'agitation, d'insomnie, de violentes sautes d'humeur et d'anxiété, indique le quotidien taïwanais United Daily News.
Les soignants ont également noté une augmentation des maux de gorge et de dos et de déchirures musculaires, causés pour beaucoup par les meetings politiques pendant la campagne.
Le président taïwanais Ma Ying-jeou, artisan du rapprochement avec la Chine, l'a emporté samedi pour un mandat de quatre ans face à la chef de l'opposition, Tsai Ing-wen, tenante d'une politique ferme et indépendante vis-à-vis de Pékin.
"Quelque chose de regrettable s'est produit. Dans une élection, il y a des gagnants et des perdants, et nous demandons à ceux qui nous ont soutenus de ne pas réagir de manière trop affective", a déclaré l'ancienne vice-présidente Annette Lu, qui a fait campagne pour Tsai Ing-wen.
Les docteurs ont noté une hausse des cas de déprime, d'agitation, d'insomnie, de violentes sautes d'humeur et d'anxiété, indique le quotidien taïwanais United Daily News.
Les soignants ont également noté une augmentation des maux de gorge et de dos et de déchirures musculaires, causés pour beaucoup par les meetings politiques pendant la campagne.
Le président taïwanais Ma Ying-jeou, artisan du rapprochement avec la Chine, l'a emporté samedi pour un mandat de quatre ans face à la chef de l'opposition, Tsai Ing-wen, tenante d'une politique ferme et indépendante vis-à-vis de Pékin.
"Quelque chose de regrettable s'est produit. Dans une élection, il y a des gagnants et des perdants, et nous demandons à ceux qui nous ont soutenus de ne pas réagir de manière trop affective", a déclaré l'ancienne vice-présidente Annette Lu, qui a fait campagne pour Tsai Ing-wen.