Malo-les-Bains - le 1er janvier 2019- Environ 1.000 personnes se sont jetées mardi dans les eaux de la mer du Nord dans des tenues excentriques pour fêter la nouvelle année lors du "bain des givrés" à Malo-les-Bains, une habitude vieille de 20 ans dans cette station balnéaire du Nord.
La température de l'eau ? "9... 9-10, un petit 9. Mais c'est bon ! Ca fait du bien !" lance Claudy, baigneur de Cappelle-la-Grande, interrogé par l'AFPTV.
"Le ressenti, il n'y en a plus. Donc on ne peut plus donner de température ressentie parce que tout est congelé. Mais du coup ça ne fait plus mal", philosophe Marion, de Dunkerque.
A midi pile, les baigneurs ont sprinté depuis la digue jusque dans les eaux glacées, pour certains jusqu'à mi-jambes, une coupe de champagne à la main, quand d'autres ont plongé entièrement et plusieurs fois.
Pour braver les vagues, la plupart ont enfilé des déguisements excentriques et décalés, ici des capes de super-héros ou des perruques, là des gilets jaunes et une écharpe "CRS: champions des relations sexuelles". Ou rien qu'un slip de bain.
"On est tous des givrés à Dunkerque, c'est énorme. Au début, pour la petite anecdote, on était une trentaine et là on est plus de 1.000, 2.000, 3.000 ! Et chaque année ça continue. Alors vive Dunkerque, vive le Nord-Pas-de-Calais !" lance Fabien alias Elvis, de Dunkerque.
"Comme dans l'année on ne sait pas trop ce qu'on va devenir, autant faire une chose la première fois, givré le premier jour de l'année comme ça on est tranquille (...) Là, maintenant, on a fait notre bêtise, c'est bon, l'année ne peut être que bonne", prédit l'organisatrice, Marianne Gachard, dite "La Sirène".
Pour beaucoup des baigneurs, cette trempette sert "d'entraînement" au célèbre carnaval de Dunkerque, l'un des principaux de France
La température de l'eau ? "9... 9-10, un petit 9. Mais c'est bon ! Ca fait du bien !" lance Claudy, baigneur de Cappelle-la-Grande, interrogé par l'AFPTV.
"Le ressenti, il n'y en a plus. Donc on ne peut plus donner de température ressentie parce que tout est congelé. Mais du coup ça ne fait plus mal", philosophe Marion, de Dunkerque.
A midi pile, les baigneurs ont sprinté depuis la digue jusque dans les eaux glacées, pour certains jusqu'à mi-jambes, une coupe de champagne à la main, quand d'autres ont plongé entièrement et plusieurs fois.
Pour braver les vagues, la plupart ont enfilé des déguisements excentriques et décalés, ici des capes de super-héros ou des perruques, là des gilets jaunes et une écharpe "CRS: champions des relations sexuelles". Ou rien qu'un slip de bain.
"On est tous des givrés à Dunkerque, c'est énorme. Au début, pour la petite anecdote, on était une trentaine et là on est plus de 1.000, 2.000, 3.000 ! Et chaque année ça continue. Alors vive Dunkerque, vive le Nord-Pas-de-Calais !" lance Fabien alias Elvis, de Dunkerque.
"Comme dans l'année on ne sait pas trop ce qu'on va devenir, autant faire une chose la première fois, givré le premier jour de l'année comme ça on est tranquille (...) Là, maintenant, on a fait notre bêtise, c'est bon, l'année ne peut être que bonne", prédit l'organisatrice, Marianne Gachard, dite "La Sirène".
Pour beaucoup des baigneurs, cette trempette sert "d'entraînement" au célèbre carnaval de Dunkerque, l'un des principaux de France