Le concours Upa Nui est l’occasion pour les instances publiques, mais aussi le public tout court, de faire passer des messages de prévention. Comme l’explique le dossier de presse de l’UPJ, principale organisatrice de l’évènement « Le caractère préventif de cet évènement prend de plus e plus de sens tant le nombre de jeunes qui s’investissent dans cette manifestations est importante. Ce grand rassemblement de la jeunesse autour de la musique, de la danse sous différentes formes d’expressions, reste un lieu privilégié pour faire passer des messages. »
Cette année, le concours s’est orienté vers la danse moderne. En effet, les participants devront présenter deux chorégraphies, une préventive et un libre choix, sur casting vidéo uniquement. Il sera surtout question de confronter les techniques artistiques de chaque composante d’un groupe. L’idée étant de mettre en avant la qualité artistique des chorégraphies. Le dossier précise d’ailleurs « l’intérêt du concours est de participer à une confrontation artistique et non de révéler des talents individuels. Cette opportunité totalement nouvelle de mixer les styles a pour but de stimuler les créateurs, de les ouvrir à des styles voisins ou différents, de développer et apprécier la qualité artistique de chaque chorégraphie. »
Un jury de connaisseurs
Les groupes qui auront la chance de participer à la sélection officielle seront jugés par de véritables spécialistes des chorégraphies modernes et locales. Il s’agit en l’occurrence de Teiva Manoi, grand orateur « ‘ōrero » du fenua et lequel a d’ailleurs remporté plusieurs prix lors des Heiva. On compte également le pro du Hip Hop sur le territoire, Max, mais également Marie Sillinger, qui fut une ancienne candidate au concours. Cette dernière est une spécialiste dans la catégorie « danse débout ». Du côté des instances, Maire Maihuti participe également en tant qu’assistance chef de projet au sein de l’UPJ.
En revanche, pour la grande finale, quatre autres représentants viendront grossir les rangs du comité du jury.
Comment déposer sa candidature ?
Pour participer, rien de plus simple. Il suffit de faire parvenir une vidéo sur le site internet de l’UPJ (www.upj.pf) ou à la boîte postale « 3474 – 98713 Pape’ete) ou alors il est possible de déposer directement son module au complexe sportif de la Punaruu avant le 30 septembre 2013 à minuit.
Chaque secteur, c’est-à-dire chaque partie de la Polynésie sera représentée : Tahiti Nui pour le secteur 1. Le secteur suivant sera la côte Est. Le 3ème : la côte Ouest. Le 4ème : les îles sous-le-vent, suivi des Australes, des îles Tuamotu pour la section 6 et enfin des îles Marquises pour le dernier secteur.
Les dates clés à retenir sont : jusqu'au 30 septembre, les membres du jury recevront donc les vidéos. Le 4 octobre, l’annonce des 7 groupes finalistes sera faite, ce qui représentera un total de 56 jeunes. Le 14 octobre, l’UPJ rassemblera les fiches techniques des finalistes (avec CD de musique). Puis enfin, tout le mois de novembre sera consacré à la préparation de la grande finale prévue le 8 du même mois, au complexe sportif de la Punaruu. Nul doute que des futurs grands talents feront ici, leurs premiers pas qui pourraient lancer une belle carrière.
TP
Cette année, le concours s’est orienté vers la danse moderne. En effet, les participants devront présenter deux chorégraphies, une préventive et un libre choix, sur casting vidéo uniquement. Il sera surtout question de confronter les techniques artistiques de chaque composante d’un groupe. L’idée étant de mettre en avant la qualité artistique des chorégraphies. Le dossier précise d’ailleurs « l’intérêt du concours est de participer à une confrontation artistique et non de révéler des talents individuels. Cette opportunité totalement nouvelle de mixer les styles a pour but de stimuler les créateurs, de les ouvrir à des styles voisins ou différents, de développer et apprécier la qualité artistique de chaque chorégraphie. »
Un jury de connaisseurs
Les groupes qui auront la chance de participer à la sélection officielle seront jugés par de véritables spécialistes des chorégraphies modernes et locales. Il s’agit en l’occurrence de Teiva Manoi, grand orateur « ‘ōrero » du fenua et lequel a d’ailleurs remporté plusieurs prix lors des Heiva. On compte également le pro du Hip Hop sur le territoire, Max, mais également Marie Sillinger, qui fut une ancienne candidate au concours. Cette dernière est une spécialiste dans la catégorie « danse débout ». Du côté des instances, Maire Maihuti participe également en tant qu’assistance chef de projet au sein de l’UPJ.
En revanche, pour la grande finale, quatre autres représentants viendront grossir les rangs du comité du jury.
Comment déposer sa candidature ?
Pour participer, rien de plus simple. Il suffit de faire parvenir une vidéo sur le site internet de l’UPJ (www.upj.pf) ou à la boîte postale « 3474 – 98713 Pape’ete) ou alors il est possible de déposer directement son module au complexe sportif de la Punaruu avant le 30 septembre 2013 à minuit.
Chaque secteur, c’est-à-dire chaque partie de la Polynésie sera représentée : Tahiti Nui pour le secteur 1. Le secteur suivant sera la côte Est. Le 3ème : la côte Ouest. Le 4ème : les îles sous-le-vent, suivi des Australes, des îles Tuamotu pour la section 6 et enfin des îles Marquises pour le dernier secteur.
Les dates clés à retenir sont : jusqu'au 30 septembre, les membres du jury recevront donc les vidéos. Le 4 octobre, l’annonce des 7 groupes finalistes sera faite, ce qui représentera un total de 56 jeunes. Le 14 octobre, l’UPJ rassemblera les fiches techniques des finalistes (avec CD de musique). Puis enfin, tout le mois de novembre sera consacré à la préparation de la grande finale prévue le 8 du même mois, au complexe sportif de la Punaruu. Nul doute que des futurs grands talents feront ici, leurs premiers pas qui pourraient lancer une belle carrière.
TP
