PARIS, 22 oct 2012 (AFP) - Sept Français sur dix estiment qu'on pourra guérir le cancer d'ici à 20 ans, mais pour près de 9 sur 10, les plus grandes découvertes restent à venir dans le domaine de la recherche, selon un sondage rendu public mardi.
Selon ce sondage Ipsos/Logica Business Consulting réalisé pour la Fondation Arc pour la recherche sur le cancer, les Français restent globalement optimistes : ils estiment à 86% que l'objectif de guérir deux cancers sur trois d'ici à 2025 est "réaliste". 71% pensent que guérir tous les cancers est "un objectif atteignable" d'ici 20 ans, contre 72% qui citent le sida, 68% les myopathies et 65% la maladie d'Alzheimer.
Mais un Français sur deux estime également que la recherche ne va pas assez vite et 86% que les progrès sont à venir.
Les espoirs ne se focalisent plus uniquement sur les traitements : les progrès le plus attendus dans les 10 ans à venir concernent en premier lieu le dépistage et le diagnostic (62%) devant la prévention (38%) et les traitements (37%).
Deux Français sur 3 estiment qu'il y a un "risque important" qu'ils aient un jour un cancer. Une crainte plus forte chez les moins de 25 ans (71%) et les plus de 60 ans (58% auxquels viennent s'ajouter 12% qui disent avoir déjà eu un cancer).
Dans le même temps, ils sous-estiment l'efficacité des traitements actuels: 66% pensent qu'on ne guérit qu'un cancer sur trois, alors qu'on en guérit actuellement près d'un sur deux, un pessimisme qu'on retrouve surtout chez les plus jeunes (72%) et les plus âgés (64%).
Le sondage a été réalisé par téléphone les 12 et 13 octobre derniers auprès d'un échantillon de 928 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
La Fondation ARC présente ses nouvelles ambitions - guérir deux cancers sur trois d'ici 2025, conformément aux objectifs que se sont fixés les acteurs de la recherche sur le cancer - mardi au cours d'une conférence de presse.
ez/fa/ei
Selon ce sondage Ipsos/Logica Business Consulting réalisé pour la Fondation Arc pour la recherche sur le cancer, les Français restent globalement optimistes : ils estiment à 86% que l'objectif de guérir deux cancers sur trois d'ici à 2025 est "réaliste". 71% pensent que guérir tous les cancers est "un objectif atteignable" d'ici 20 ans, contre 72% qui citent le sida, 68% les myopathies et 65% la maladie d'Alzheimer.
Mais un Français sur deux estime également que la recherche ne va pas assez vite et 86% que les progrès sont à venir.
Les espoirs ne se focalisent plus uniquement sur les traitements : les progrès le plus attendus dans les 10 ans à venir concernent en premier lieu le dépistage et le diagnostic (62%) devant la prévention (38%) et les traitements (37%).
Deux Français sur 3 estiment qu'il y a un "risque important" qu'ils aient un jour un cancer. Une crainte plus forte chez les moins de 25 ans (71%) et les plus de 60 ans (58% auxquels viennent s'ajouter 12% qui disent avoir déjà eu un cancer).
Dans le même temps, ils sous-estiment l'efficacité des traitements actuels: 66% pensent qu'on ne guérit qu'un cancer sur trois, alors qu'on en guérit actuellement près d'un sur deux, un pessimisme qu'on retrouve surtout chez les plus jeunes (72%) et les plus âgés (64%).
Le sondage a été réalisé par téléphone les 12 et 13 octobre derniers auprès d'un échantillon de 928 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
La Fondation ARC présente ses nouvelles ambitions - guérir deux cancers sur trois d'ici 2025, conformément aux objectifs que se sont fixés les acteurs de la recherche sur le cancer - mardi au cours d'une conférence de presse.
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