Note du Ministère des Affaires Etrangères : La guérilla de la New People Army (NPA), branche armée du parti communiste philippin, est présente sur une grande partie du territoire, notamment dans le nord et le centre de l’île de Luçon, dans les îles de Samar, Leyte, Masbate, Negros et Mindoro. Les Philippines connaissent un haut niveau de violence politique, notamment en province. La piraterie maritime d’origine politique (mouvements terroristes) ou crapuleuse est endémique au large des côtes occidentales de Mindanao. (voir carte Mindanoa)
Extrait du journal de Hiria
« Tout à fait au départ, lorsque la route Indonésie/Philippines sud avait été annulée sur les recommandations du Haut Commissariat, de l‘Amiral des forces militaires françaises et par Olivier dK, il m'avait été également fortement déconseillé de nous arrêter a Palau pour une question de route, de vent etc. Le drapeau de Palau commandé à TYA a donc été laissé sans être réglé ! Alors, avec tellement de points urgents à régler, j’avais quelques peu délaissé mes obligations et mon devoir de tracer la route - tout cela me paraissait alors si loin! »
Petite Note de l’auteur : L’équipage est bien soutenu et Hiria peut être rassuré. En effet tous ces détails, tous les problèmes qu’ils rencontrent sont relayés à Tahiti. L’Association Te vaka no te tau a'ui'ui" créée au sein de L’AS Tefana porteur du projet, veille à entrer en contact avec les autorités des îles pour permettre à nos navigateurs d’accoster en toute sérénité.
A présent ils sont à quelques mails de Palau. La vie à bord suit son cours et je me permets de vous faire vivre une nouvelle journée à bord de O’Tahitinui Freedom
« Hervé nous propose des aubergines frits comme appetizer, puis nous offre un repas de légumes (ration à part pour moi) avant d’y intégrer une boite de corn-beef. Koronui à son poste, Fai à lire le journal - le même Sunday Morning Post. Parfois, une houle plus forte, plus grosse que la précédente, passe sous la pirogue, nous soulève, nous immobilisant un instant, et je me trouve ainsi de quelques centimètres à plus d’un mètre assis au dessus de l’eau, et le mouvement reprend dans un éclat d’écume. Une goutte se pose sur le cahier, et avec le soleil, elle fait loupe et déforme mon « o » du mot « force ». Finalement, un objet, une substance comme l’eau qui ne retient rien, qui se laisse traverser, est une incontestable belle leçon de sagesse.
La nuit remplace la journée. Sur l’océan, sans moteur, sans téléphone pour appeler, je me sens bien! Un fou vient de se poser sur l’avant du ama, bèque dans ses yeux, prêt semble-t-il à passer un moment de repos en notre compagnie! »
Extrait du journal de Hiria
« Tout à fait au départ, lorsque la route Indonésie/Philippines sud avait été annulée sur les recommandations du Haut Commissariat, de l‘Amiral des forces militaires françaises et par Olivier dK, il m'avait été également fortement déconseillé de nous arrêter a Palau pour une question de route, de vent etc. Le drapeau de Palau commandé à TYA a donc été laissé sans être réglé ! Alors, avec tellement de points urgents à régler, j’avais quelques peu délaissé mes obligations et mon devoir de tracer la route - tout cela me paraissait alors si loin! »
Petite Note de l’auteur : L’équipage est bien soutenu et Hiria peut être rassuré. En effet tous ces détails, tous les problèmes qu’ils rencontrent sont relayés à Tahiti. L’Association Te vaka no te tau a'ui'ui" créée au sein de L’AS Tefana porteur du projet, veille à entrer en contact avec les autorités des îles pour permettre à nos navigateurs d’accoster en toute sérénité.
A présent ils sont à quelques mails de Palau. La vie à bord suit son cours et je me permets de vous faire vivre une nouvelle journée à bord de O’Tahitinui Freedom
« Hervé nous propose des aubergines frits comme appetizer, puis nous offre un repas de légumes (ration à part pour moi) avant d’y intégrer une boite de corn-beef. Koronui à son poste, Fai à lire le journal - le même Sunday Morning Post. Parfois, une houle plus forte, plus grosse que la précédente, passe sous la pirogue, nous soulève, nous immobilisant un instant, et je me trouve ainsi de quelques centimètres à plus d’un mètre assis au dessus de l’eau, et le mouvement reprend dans un éclat d’écume. Une goutte se pose sur le cahier, et avec le soleil, elle fait loupe et déforme mon « o » du mot « force ». Finalement, un objet, une substance comme l’eau qui ne retient rien, qui se laisse traverser, est une incontestable belle leçon de sagesse.
La nuit remplace la journée. Sur l’océan, sans moteur, sans téléphone pour appeler, je me sens bien! Un fou vient de se poser sur l’avant du ama, bèque dans ses yeux, prêt semble-t-il à passer un moment de repos en notre compagnie! »
