Du 8 au 16 mars, l’association « Polynélivre » organisera un grand festival de slam à Tahiti pour célébrer les mots, l’écriture et les arts oratoires. De la poésie dans le quotidien de tous. Des moments de découverte, d’initiation au travers de projets ludiques et accessibles à tous et à toutes et la rencontre entre le slam et le ‘orero, pour que deux cultures se découvrent, se répondent et se retrouvent autour d’un même art : celui de déclamer.
Ce festival d’un nouveau genre vise à rassembler artistes, poètes, écrivains locaux, poète-slameur de France et de Polynésie pour proposer au public polynésien une semaine de fête des mots. Parmi les partenaires qui ont décidé de se joindre à l’évènement, on compte le Conservatoire artistique territorial de Polynésie, l’association Litteramā’ohi, le Carrefour des arts, artistes indépendants, ou encore l’Université de la Polynésie française.
Le programme sera riche et varié. Des ateliers d’écriture slam à destination des jeunes, de formateurs, du grand public, et même de prisonniers sont prévus. En plus, il y aura des performances slam dans les écoles, des concerts, des rencontres, bref, toute une semaine d’animation autour de la poésie à Papeete.
POURQUOI LE SLAM
Comment redonner le goût pour cette forme d’expression qu’est l’écriture? Comment donner l’envie aux jeunes et à tous d’écrire, de lire et de déclamer? Le slam qui se révèle comme la nouvelle forme de poésie moderne, est une discipline complète qui combine l’écriture, l’oralité et l’expression scénique. La découverte et la pratique de cet art permettront aux jeunes du Fenua d’accéder à l’écriture et à la lecture d’une autre manière. La mise en place d’ateliers d’initiation au slam offrira à ces jeunes un nouveau mode d’expression, qui leur ressemble et qu’ils vont adapter et s’approprier, surtout quand on sait que la poésie, l’écriture semblent abstraites et peu attrayantes pour ces derniers.
De nombreux commerces de la ville ont accepté de se prêter au jeu, comme les bars qui serviront chaque café accompagné d’un poème. Les restaurants feront de même. Pour ce faire, les organisateurs ont invité celui qui est considéré comme le père du slam sur l’hexagone, Gérard Mendy artiste d’origine sénégalaise, à venir promouvoir son art. Face à lui, des érudits du « ‘orero » polynésien, de la déclamation. Ensemble, un travail de « mariage » de styles est envisagé, promettant de grands moments de joutes verbales et d’émotions inoubliables.
TP
Ce festival d’un nouveau genre vise à rassembler artistes, poètes, écrivains locaux, poète-slameur de France et de Polynésie pour proposer au public polynésien une semaine de fête des mots. Parmi les partenaires qui ont décidé de se joindre à l’évènement, on compte le Conservatoire artistique territorial de Polynésie, l’association Litteramā’ohi, le Carrefour des arts, artistes indépendants, ou encore l’Université de la Polynésie française.
Le programme sera riche et varié. Des ateliers d’écriture slam à destination des jeunes, de formateurs, du grand public, et même de prisonniers sont prévus. En plus, il y aura des performances slam dans les écoles, des concerts, des rencontres, bref, toute une semaine d’animation autour de la poésie à Papeete.
POURQUOI LE SLAM
Comment redonner le goût pour cette forme d’expression qu’est l’écriture? Comment donner l’envie aux jeunes et à tous d’écrire, de lire et de déclamer? Le slam qui se révèle comme la nouvelle forme de poésie moderne, est une discipline complète qui combine l’écriture, l’oralité et l’expression scénique. La découverte et la pratique de cet art permettront aux jeunes du Fenua d’accéder à l’écriture et à la lecture d’une autre manière. La mise en place d’ateliers d’initiation au slam offrira à ces jeunes un nouveau mode d’expression, qui leur ressemble et qu’ils vont adapter et s’approprier, surtout quand on sait que la poésie, l’écriture semblent abstraites et peu attrayantes pour ces derniers.
De nombreux commerces de la ville ont accepté de se prêter au jeu, comme les bars qui serviront chaque café accompagné d’un poème. Les restaurants feront de même. Pour ce faire, les organisateurs ont invité celui qui est considéré comme le père du slam sur l’hexagone, Gérard Mendy artiste d’origine sénégalaise, à venir promouvoir son art. Face à lui, des érudits du « ‘orero » polynésien, de la déclamation. Ensemble, un travail de « mariage » de styles est envisagé, promettant de grands moments de joutes verbales et d’émotions inoubliables.
TP
AU PROGRAMME :
CONCERTS ET SPECTACLES ... DES MOTS SUR SCÈNES
-Des mots au féminin (spectacle d’ouverture le 8 mars à la maison de la culture) concert
gratuit
Intervenants : Gérard Mendy et le collectif Litterama’ohi et Moana ‘Ura, et les photographes
Eric Raffis et Cyril justC.
Descriptif : Spectacle d'ouverture au petit théâtre de la maison de la culture. Lecture de textes
et rencontres entre musique, écrit et photographie autour du thème de la femme en cette
journée du 8 mars dédiée à la femme. Spectacle gratuit, au chapeau. Une partie des fonds
récoltés sera reversée à l’association Vahine ‘Orama.
-Des mots en fête (concert de clôture le 15 mars) concert gratuit
Intervenants : Slameurs ‘orero, poètes, écrivains mā’ohi, jeunes des ateliers et musiciens…
Descriptif : En guise de clôture du Festival, tous les acteurs de cette belle aventure se
retrouveront pour une dernière soirée d’échanges. Gérard Mendy, des orero locaux, des
musiciens, des poètes et écrivains et les jeunes élèves des ateliers offriront un spectacle
unique gratuit au public polynésien. Les arts, les cultures et les époques se rencontrent,
tradition et culture moderne se répondent, s’associent, se comprennent et se complètent.
Cette semaine riche en découvertes et en rencontres, se terminera autour de cette même
passion : celle de s’exprimer.
CONCERTS ET SPECTACLES ... DES MOTS SUR SCÈNES
-Des mots au féminin (spectacle d’ouverture le 8 mars à la maison de la culture) concert
gratuit
Intervenants : Gérard Mendy et le collectif Litterama’ohi et Moana ‘Ura, et les photographes
Eric Raffis et Cyril justC.
Descriptif : Spectacle d'ouverture au petit théâtre de la maison de la culture. Lecture de textes
et rencontres entre musique, écrit et photographie autour du thème de la femme en cette
journée du 8 mars dédiée à la femme. Spectacle gratuit, au chapeau. Une partie des fonds
récoltés sera reversée à l’association Vahine ‘Orama.
-Des mots en fête (concert de clôture le 15 mars) concert gratuit
Intervenants : Slameurs ‘orero, poètes, écrivains mā’ohi, jeunes des ateliers et musiciens…
Descriptif : En guise de clôture du Festival, tous les acteurs de cette belle aventure se
retrouveront pour une dernière soirée d’échanges. Gérard Mendy, des orero locaux, des
musiciens, des poètes et écrivains et les jeunes élèves des ateliers offriront un spectacle
unique gratuit au public polynésien. Les arts, les cultures et les époques se rencontrent,
tradition et culture moderne se répondent, s’associent, se comprennent et se complètent.
Cette semaine riche en découvertes et en rencontres, se terminera autour de cette même
passion : celle de s’exprimer.
TE 'ORERO 'E TE SLAM
Mai i te 8 tae atu i te 16 no teie àvaè, e tupu te hoè òroà no te mau taò, piihia « Festival les Mots Pour Dire », e arataìhia mai e te taatiraa « Polynélivre ». E àmui mai te tahi taata aravihi no te parau « Slam », o Gerard Mendy tane. I te fenua farani, ‘ua riro òia èi taata tumu o tei haamau mai teie huru àparaura’a. Èaha tona huru ? mai te hoè pehepeheraa huru vitiviti teie faanahoraa. Àore taòtiàraa, tei ia te taata òrero noa. Ia au noa te feruriraa, e te tumu parau e faahitihia.
E àmui atoà mai te mau fare tamaaraa no Papeete. E tuu atu ratou te hoè papaì pehepehe iti i raro aè i te mau àuà taofe iti. E puhara te mau taò pehepehe na roto i te òire taatoà. Te fa o te taatiraa « Polynélivre », ia àmui mai te huiraatira i roto i taua òroà ra. E haamau hia te tahi mau vahi tuatapaparaa no te feia àpi. I reira, e nehenehe ia ratou e faaòhipa i to ratou ìte, e fa’ahiti atoà i to ratou parau. I te mau fenua ee, ‘ua riro te slam ei raveà tamaruraa i te aau hepohepo, èi raveà atoà no te faaìte i tona oraraa tumu, no hea mai òe ? Òvai òe? Te ihea to òe vairaa ?
I te pae o to tatou reo, e o atoà te tahi a mau èivana no te orero mai ia Teiva Manoi tane raua Edgar Tetahiotupa tane. E faaroo atoa hia te mau ùpa e haùtihia mai e te mau tià no te pupu Tamarii Tipaeruì. ‘Ua rau te mau faanahoraa e ìte hia i to area mahana ra. Te haapapu mai ra te taatiraa “Polynelivre” : « nahoà rahi mai ! na tatou teie òhipa. ».
TP
Mai i te 8 tae atu i te 16 no teie àvaè, e tupu te hoè òroà no te mau taò, piihia « Festival les Mots Pour Dire », e arataìhia mai e te taatiraa « Polynélivre ». E àmui mai te tahi taata aravihi no te parau « Slam », o Gerard Mendy tane. I te fenua farani, ‘ua riro òia èi taata tumu o tei haamau mai teie huru àparaura’a. Èaha tona huru ? mai te hoè pehepeheraa huru vitiviti teie faanahoraa. Àore taòtiàraa, tei ia te taata òrero noa. Ia au noa te feruriraa, e te tumu parau e faahitihia.
E àmui atoà mai te mau fare tamaaraa no Papeete. E tuu atu ratou te hoè papaì pehepehe iti i raro aè i te mau àuà taofe iti. E puhara te mau taò pehepehe na roto i te òire taatoà. Te fa o te taatiraa « Polynélivre », ia àmui mai te huiraatira i roto i taua òroà ra. E haamau hia te tahi mau vahi tuatapaparaa no te feia àpi. I reira, e nehenehe ia ratou e faaòhipa i to ratou ìte, e fa’ahiti atoà i to ratou parau. I te mau fenua ee, ‘ua riro te slam ei raveà tamaruraa i te aau hepohepo, èi raveà atoà no te faaìte i tona oraraa tumu, no hea mai òe ? Òvai òe? Te ihea to òe vairaa ?
I te pae o to tatou reo, e o atoà te tahi a mau èivana no te orero mai ia Teiva Manoi tane raua Edgar Tetahiotupa tane. E faaroo atoa hia te mau ùpa e haùtihia mai e te mau tià no te pupu Tamarii Tipaeruì. ‘Ua rau te mau faanahoraa e ìte hia i to area mahana ra. Te haapapu mai ra te taatiraa “Polynelivre” : « nahoà rahi mai ! na tatou teie òhipa. ».
TP
