Crédit photo CCISM
La conférence –débat organisée par l’Institut Porinetia Ananahi ( IPA) en partenariat avec la CCISM et les CCE (Conseillers du commerce extérieur) jeudi soir au Méridien a su attirer l’attention d’une grande partie des personnalités qui composent la force économique locale.
Chefs d’entreprise, directeurs de services, politiques et institutionnels ont répondu présents, curieux pour la plupart de découvrir ce qui se cachait derrière cet anglicisme : Clusters.
« Partenariat » et « synergie » sont les maîtres mots qui permettent de définir cette notion consistant à réunir autour d’un projet tous les acteurs capables d’apporter leur expertise à la réalisation du projet.
Rendre un secteur attractif aux investisseurs, mobiliser des techniciens de projets, coordonner les actions, réunir les compétences, débloquer des fonds publics...autant de missions composent le rôle d'un cluster.
Basé sur un modèle américain, ce concept a déjà fait ses preuves au plan local avec des groupes de travail comme le Tahiti Fa’a’hotu ou l’exemple du Monoï.
La conférence de jeudi concernait tout particulièrement le secteur du tourisme polynésien, dont la relance profiterait largement à l’économie locale et, par ricochet, à l’ensemble de la population.
Mais un cluster suppose de "ramer ensemble dans la même direction", les forces vives locales parviendront-elles à se mobiliser de la sorte pour relancer le secteur du tourisme dont on sait qu'il est en souffrance depuis de nombreuses années?
Chefs d’entreprise, directeurs de services, politiques et institutionnels ont répondu présents, curieux pour la plupart de découvrir ce qui se cachait derrière cet anglicisme : Clusters.
« Partenariat » et « synergie » sont les maîtres mots qui permettent de définir cette notion consistant à réunir autour d’un projet tous les acteurs capables d’apporter leur expertise à la réalisation du projet.
Rendre un secteur attractif aux investisseurs, mobiliser des techniciens de projets, coordonner les actions, réunir les compétences, débloquer des fonds publics...autant de missions composent le rôle d'un cluster.
Basé sur un modèle américain, ce concept a déjà fait ses preuves au plan local avec des groupes de travail comme le Tahiti Fa’a’hotu ou l’exemple du Monoï.
La conférence de jeudi concernait tout particulièrement le secteur du tourisme polynésien, dont la relance profiterait largement à l’économie locale et, par ricochet, à l’ensemble de la population.
Mais un cluster suppose de "ramer ensemble dans la même direction", les forces vives locales parviendront-elles à se mobiliser de la sorte pour relancer le secteur du tourisme dont on sait qu'il est en souffrance depuis de nombreuses années?
Crédit photo CCISM
