Tahiti le 28 septembre 2024. En marge du 53e Forum du Pacifique à Tonga, le président de la Polynésie française, Moetai Brotherson, a rencontré Manahi Pakarati, ambassadrice du Chili en Nouvelle-Zélande, originaire de Rapa Nui (île de Pâques).
Les discussions ont porté sur la gestion et la protection de l’océan, ainsi que sur la candidature de la ville chilienne de Valparaiso pour devenir le secrétariat de l'accord sur la biodiversité au-delà des juridictions nationales (BBNJ).
Le “Biodiversity Beyond National Jurisdiction” (BBNJ) est un accord international visant à protéger la biodiversité marine dans les zones situées au-delà des juridictions nationales, couvrant près des deux tiers des océans mondiaux. Cet accord se concentre sur la conservation des ressources marines, la gestion des impacts humains et la protection des écosystèmes marins vulnérables.
Les deux parties ont souligné l'importance de la coopération régionale pour préserver les écosystèmes marins uniques du Pacifique.
Le président Brotherson et l’ambassadrice Pakarati ont convenu de renforcer les initiatives conjointes pour promouvoir une gestion durable des océans dans la région. Le président a également détaillé le fonctionnement de l’aire marine gérée Te Tai Nui Atea prenant également en compte les besoins des pêcheurs, pêchant de manière durable, la pêche à la senne étant notamment interdite, ainsi que la vente de licences de pêche aux pays étrangers.
Comme la Polynésie française, le Chili exprime également une opposition à l'exploitation minière en eau profonde. Les deux délégations se sont engagées à défendre une pause à la course des extractions minières en eau profonde.
Les discussions ont porté sur la gestion et la protection de l’océan, ainsi que sur la candidature de la ville chilienne de Valparaiso pour devenir le secrétariat de l'accord sur la biodiversité au-delà des juridictions nationales (BBNJ).
Le “Biodiversity Beyond National Jurisdiction” (BBNJ) est un accord international visant à protéger la biodiversité marine dans les zones situées au-delà des juridictions nationales, couvrant près des deux tiers des océans mondiaux. Cet accord se concentre sur la conservation des ressources marines, la gestion des impacts humains et la protection des écosystèmes marins vulnérables.
Les deux parties ont souligné l'importance de la coopération régionale pour préserver les écosystèmes marins uniques du Pacifique.
Le président Brotherson et l’ambassadrice Pakarati ont convenu de renforcer les initiatives conjointes pour promouvoir une gestion durable des océans dans la région. Le président a également détaillé le fonctionnement de l’aire marine gérée Te Tai Nui Atea prenant également en compte les besoins des pêcheurs, pêchant de manière durable, la pêche à la senne étant notamment interdite, ainsi que la vente de licences de pêche aux pays étrangers.
Comme la Polynésie française, le Chili exprime également une opposition à l'exploitation minière en eau profonde. Les deux délégations se sont engagées à défendre une pause à la course des extractions minières en eau profonde.