Assemblée. Les élus à l’assemblée vont étudier ce jeudi huit textes en séance. Mais ce sont les questions orales qui risquent fort de retenir l’attention.
Ce jeudi matin, les élus de l’assemblée de la Polynésie française se retrouvent pour une séance à Tarahoi qui pourrait durer deux jours. Au menu, huit textes dont le congé paternité dans l’administration, les Fare Ora, le passeport mobilité ou encore la convention santé.
Mais, une fois encore, ce sont les questions orales qui risquent fort de retenir l’attention. Ainsi, Tepuaraurii Teriitahi demandera son avis au ministre de la Santé après les “propos irresponsables” de l’élue Sylvana Tiatoa sur l’inefficacité de la médecine sur les mā’ohi. À ce jour, aucune réponse claire n’est intervenue de la part du gouvernement sur ce débordement. Seul le président de l’assemblée de la Polynésie française s’est, par courrier, désolidarisé de l’élue.
Édouard Fritch, pour sa part, interrogera le ministre de l’Éducation sur le planning des changements de rythmes scolaires. Un planning que le ministre a annoncé pour mi-juin avant sa présentation devant le grand conseil de l’éducation. Le maire de Pirae déplore n’avoir d’autre choix, en tant que tāvana, que “d’acquiescer et de financer les conséquences de vos décisions non concertées avec les responsables communaux qui sont appelés à organiser les activités extrascolaires”. Aussi, il demande quels seront les moyens débloqués par le Pays pour aider les communes à financer les activités périscolaires à mettre en place en remplacement des heures de cours.
Toujours côté opposition, l’élu non inscrit Nuihau Laurey demandera de son côté quelle sera le mode de gouvernance de Moetai Brotherson pour les années à venir.
Enfin, les élus Tavini poseront aussi deux questions. La première par Teremuura Kohumoetini au sujet de la propagation de la petite fourmi de feu et sur l’action du gouvernement pour contrer cette peste animale, et la seconde par Tevaipaea Hoiore sur l’avenir du site de Temae, un site qu’il définit dans son introduction comme devenu “un lieu qui rassemble notre peuple autour de valeurs communes de solidarité, de préservation des écosystèmes et de défense de notre culture”, alors que “première plage après les quais où les gens peuvent aller se baigner et plus grande plage publique de Moorea” suffisait.
Ce jeudi matin, les élus de l’assemblée de la Polynésie française se retrouvent pour une séance à Tarahoi qui pourrait durer deux jours. Au menu, huit textes dont le congé paternité dans l’administration, les Fare Ora, le passeport mobilité ou encore la convention santé.
Mais, une fois encore, ce sont les questions orales qui risquent fort de retenir l’attention. Ainsi, Tepuaraurii Teriitahi demandera son avis au ministre de la Santé après les “propos irresponsables” de l’élue Sylvana Tiatoa sur l’inefficacité de la médecine sur les mā’ohi. À ce jour, aucune réponse claire n’est intervenue de la part du gouvernement sur ce débordement. Seul le président de l’assemblée de la Polynésie française s’est, par courrier, désolidarisé de l’élue.
Édouard Fritch, pour sa part, interrogera le ministre de l’Éducation sur le planning des changements de rythmes scolaires. Un planning que le ministre a annoncé pour mi-juin avant sa présentation devant le grand conseil de l’éducation. Le maire de Pirae déplore n’avoir d’autre choix, en tant que tāvana, que “d’acquiescer et de financer les conséquences de vos décisions non concertées avec les responsables communaux qui sont appelés à organiser les activités extrascolaires”. Aussi, il demande quels seront les moyens débloqués par le Pays pour aider les communes à financer les activités périscolaires à mettre en place en remplacement des heures de cours.
Toujours côté opposition, l’élu non inscrit Nuihau Laurey demandera de son côté quelle sera le mode de gouvernance de Moetai Brotherson pour les années à venir.
Enfin, les élus Tavini poseront aussi deux questions. La première par Teremuura Kohumoetini au sujet de la propagation de la petite fourmi de feu et sur l’action du gouvernement pour contrer cette peste animale, et la seconde par Tevaipaea Hoiore sur l’avenir du site de Temae, un site qu’il définit dans son introduction comme devenu “un lieu qui rassemble notre peuple autour de valeurs communes de solidarité, de préservation des écosystèmes et de défense de notre culture”, alors que “première plage après les quais où les gens peuvent aller se baigner et plus grande plage publique de Moorea” suffisait.