Tahiti, le 4 mai 2022 – Le dernier Comité de sécurité routière s'est penché sur plusieurs solutions face aux mauvais comportements sur la route. Outre la politique en matière de sécurité routière, des "réflexions" sont annoncées sur une "fourrière automobile" ou encore un "contrôle technique des cyclomoteurs".
Alors qu'un nouveau drame de la route s'est produit en début de semaine à Punaauia, le gouvernement a communiqué mardi sur le dernier Comité de sécurité routière réuni le 12 avril à la présidence. Face à un constat "malheureusement sans appel" sur les mauvais comportements sur la route -vitesse, alcool, absence de casque- et la forte implication des deux-roues dans ces accidents mortels, le comité a notamment évoqué la piste de "l’évolution du cadre réglementaire relatif aux 'nouvelles mobilités' répondant à l’apparition de modes de déplacement sur le territoire, comme les vélos électriques qui génèrent des comportements particulièrement dangereux et accidentogènes".
Trois objectifs ont été fixés, parmi lesquels le renouvellement des campagnes de prévention routière à travers un contenu modernisé, le renforcement de la formation des usagers de la route en matière de prévention des risques, et la poursuite du renforcement des actions des forces de l’ordre et de la justice pour réprimer les comportements dangereux et irresponsables. Mais au-delà, les autorités de l'État et du Pays ont également réfléchi à "la mise en place d’une politique relative à l’aménagement des infrastructures routières", et évoqué le déploiement d'une fourrière automobile ou encore d'une "obligation de contrôles techniques des cyclomoteurs".
Alors qu'un nouveau drame de la route s'est produit en début de semaine à Punaauia, le gouvernement a communiqué mardi sur le dernier Comité de sécurité routière réuni le 12 avril à la présidence. Face à un constat "malheureusement sans appel" sur les mauvais comportements sur la route -vitesse, alcool, absence de casque- et la forte implication des deux-roues dans ces accidents mortels, le comité a notamment évoqué la piste de "l’évolution du cadre réglementaire relatif aux 'nouvelles mobilités' répondant à l’apparition de modes de déplacement sur le territoire, comme les vélos électriques qui génèrent des comportements particulièrement dangereux et accidentogènes".
Trois objectifs ont été fixés, parmi lesquels le renouvellement des campagnes de prévention routière à travers un contenu modernisé, le renforcement de la formation des usagers de la route en matière de prévention des risques, et la poursuite du renforcement des actions des forces de l’ordre et de la justice pour réprimer les comportements dangereux et irresponsables. Mais au-delà, les autorités de l'État et du Pays ont également réfléchi à "la mise en place d’une politique relative à l’aménagement des infrastructures routières", et évoqué le déploiement d'une fourrière automobile ou encore d'une "obligation de contrôles techniques des cyclomoteurs".