Tahiti, le 11 décembre 2023 - Le Pays a tenté de récupérer 22 parcelles appartenant à Bill Ravel pour un milliard de francs à Punaauia. L'opération n'a finalement pas pu se faire.
Dans le Journal officiel de ce lundi 11 décembre, on apprend que le Pays s’était récemment positionné pour préempter un ensemble foncier constitué de vingt-deux parcelles dépendant des terres domaine Cadousteau, Atehi, Puuroa, vallées Tevarivari et Tuituipara, Tihapai, Teoheohe Vaiara Ahiaroa, Amateinaa et Vahuapu, à Punaauia, appartenant à Frank Kosik. Une tentative finalement avortée.
Frank Kosik était devenu propriétaire de ces terrains après leur rachat auprès de Bill Ravel en août 2022 et avait commencer les démarches pour regrouper ces 22 parcelles en une seule de 830 234 m2. Avant cette aliénation, le Pays a, en septembre dernier, tenté une procédure de préemption sur la totalité des terrains en mettant 999,5 millions de francs sur la table. Une procédure que le nouveau propriétaire a contestée, tout en formulant une contreproposition d’acquisition.
D’échanges en échanges, les délais rendant possible la préemption des terrains sont finalement arrivés à échéance, plaçant le Pays dans l'impossibilité de se positionner. Le gouvernement voyant ainsi définitivement s'échapper une très grande parcelle de Punaauia, qui retourne dans le privé pour des projets qui n’ont pas encore été dévoilés à ce jour.
Dans le Journal officiel de ce lundi 11 décembre, on apprend que le Pays s’était récemment positionné pour préempter un ensemble foncier constitué de vingt-deux parcelles dépendant des terres domaine Cadousteau, Atehi, Puuroa, vallées Tevarivari et Tuituipara, Tihapai, Teoheohe Vaiara Ahiaroa, Amateinaa et Vahuapu, à Punaauia, appartenant à Frank Kosik. Une tentative finalement avortée.
Frank Kosik était devenu propriétaire de ces terrains après leur rachat auprès de Bill Ravel en août 2022 et avait commencer les démarches pour regrouper ces 22 parcelles en une seule de 830 234 m2. Avant cette aliénation, le Pays a, en septembre dernier, tenté une procédure de préemption sur la totalité des terrains en mettant 999,5 millions de francs sur la table. Une procédure que le nouveau propriétaire a contestée, tout en formulant une contreproposition d’acquisition.
D’échanges en échanges, les délais rendant possible la préemption des terrains sont finalement arrivés à échéance, plaçant le Pays dans l'impossibilité de se positionner. Le gouvernement voyant ainsi définitivement s'échapper une très grande parcelle de Punaauia, qui retourne dans le privé pour des projets qui n’ont pas encore été dévoilés à ce jour.