Tahiti, le 19 juillet 2022 – Condamné le 21 juin dernier à six mois de prison avec sursis pour l'homicide involontaire d'une employée de la SARL Rotative La Dépêche, l'homme d'affaires, Dominique Auroy, a décidé de faire appel de sa condamnation. Tout comme l'ancien co-gérant de l'entreprise, Pierre Marchesini, qui avait quant à lui écopé d'une amende de 200 000 Fcfp.
L'homme d'affaires et ancien propriétaire de La Dépêche de Tahiti, Dominique Auroy, a décidé de faire appel de la peine de six mois de prison avec sursis à laquelle il avait été condamné le 21 juin dernier par le tribunal correctionnel pour homicide involontaire. La victime, une mère de famille de 40 ans, était décédée le 27 janvier 2018 des suites d'un malaise cardiaque alors qu'elle se trouvait sur son lieu de travail à l'imprimerie de La Dépêche. L'enquête menée suite à sa mort avait établi que la salariée, qui souffrait de graves problèmes de santé, n'avait pas passé de visite médicale depuis trois ans.
Au terme du procès, le tribunal avait également condamné l'un des anciens co-gérants de la société, Pierre Marchesini, à payer une amende de 200 000 Fcfp. Il avait cependant relaxé les deux autres co-gérants poursuivis, Michel Yonker et Manina Kilian. Pierre Marchesini ayant, lui aussi, décidé de faire appel de cette condamnation, il comparaîtra donc devant la cour d'appel aux côtés de Dominique Auroy avant la fin de l'année.
L'homme d'affaires et ancien propriétaire de La Dépêche de Tahiti, Dominique Auroy, a décidé de faire appel de la peine de six mois de prison avec sursis à laquelle il avait été condamné le 21 juin dernier par le tribunal correctionnel pour homicide involontaire. La victime, une mère de famille de 40 ans, était décédée le 27 janvier 2018 des suites d'un malaise cardiaque alors qu'elle se trouvait sur son lieu de travail à l'imprimerie de La Dépêche. L'enquête menée suite à sa mort avait établi que la salariée, qui souffrait de graves problèmes de santé, n'avait pas passé de visite médicale depuis trois ans.
Au terme du procès, le tribunal avait également condamné l'un des anciens co-gérants de la société, Pierre Marchesini, à payer une amende de 200 000 Fcfp. Il avait cependant relaxé les deux autres co-gérants poursuivis, Michel Yonker et Manina Kilian. Pierre Marchesini ayant, lui aussi, décidé de faire appel de cette condamnation, il comparaîtra donc devant la cour d'appel aux côtés de Dominique Auroy avant la fin de l'année.