Windsurf - Du samedi 3 au mardi 6 juillet, 14 jeunes âgés de 12 à 19 ans ont suivi un stage de windsurf à Uturoa avec Aurélien Le Metayer, un ancien champion de France Formula windsurfing, aujourd’hui cadre entraineur technique à la Fédération Tahitienne de voile.
Onze des quatorze jeunes à avoir suivi ce stage font partie du Raiatea Windsurfing quant aux trois autres, venus de Tahiti, ils connaissent bien le club local pour y avoir disputé il y a peu le championnat de Polynésie. A l’origine, précise Gwen Zampieri, patron de ce club privé de windsurf, organise tout au long de l'année bon nombre de ce type de stage, mais c'était le premier du genre sous l'égide de la fédération locale: "Ce stage devait avoir lieu au départ en avril pendant les vacances de Pâques, et beaucoup de jeunes s’étaient inscrits. Hélas la crise sanitaire a mis un frein à ce projet. Et aujourd’hui beaucoup de jeunes ont déjà quitté le territoire pour les vacances, ce qui fait que nous n’avons que 14 adolescents. Mais c’est déjà pas mal, d’autant que le prix du stage est vraiment modique, à peine 5000 Fcfp pour les 4 jours". Durant ces quatre jours, la météo a été capricieuse en raison du fort maaramu. Le samedi et le dimanche ce vent était tombé mais malgré tout suffisant pour bien travailler les différentes techniques de navigation. Le début de semaine a été plus mouvementé d'après Gwen Zampieri : "Lundi les conditions étaient plus fortes, donc idéales pour mettre en pratique la théorie vue précédemment et enfin mardi, le dernier jour, calme plat. Ce qui au final nous a permis de visionner des vidéos et de faire du cardio, des tests d’aptitudes physiques, sur place au club à la marina d’Uturoa et au stade territorial d’Uturoa ".
En guise de bilan, Aurélien Le Metayer reconnaissait qu'en 4 jours les stagiaires ont bien progressé autant en théorie qu'en pratique, tout en émettant un souhait : "Ce qui est étonnant en Polynésie, moi qui ai déjà pas mal voyagé dans le monde, c'est le peu de nombre de clubs ; trois à Tahiti et deux à Raiatea, c’est surprenant par rapport à la taille du pays. C’est une discipline qui ne demande qu’à être développée. C’est aux collectivités de se prendre en main et de demander à la fédération un soutien".
Onze des quatorze jeunes à avoir suivi ce stage font partie du Raiatea Windsurfing quant aux trois autres, venus de Tahiti, ils connaissent bien le club local pour y avoir disputé il y a peu le championnat de Polynésie. A l’origine, précise Gwen Zampieri, patron de ce club privé de windsurf, organise tout au long de l'année bon nombre de ce type de stage, mais c'était le premier du genre sous l'égide de la fédération locale: "Ce stage devait avoir lieu au départ en avril pendant les vacances de Pâques, et beaucoup de jeunes s’étaient inscrits. Hélas la crise sanitaire a mis un frein à ce projet. Et aujourd’hui beaucoup de jeunes ont déjà quitté le territoire pour les vacances, ce qui fait que nous n’avons que 14 adolescents. Mais c’est déjà pas mal, d’autant que le prix du stage est vraiment modique, à peine 5000 Fcfp pour les 4 jours". Durant ces quatre jours, la météo a été capricieuse en raison du fort maaramu. Le samedi et le dimanche ce vent était tombé mais malgré tout suffisant pour bien travailler les différentes techniques de navigation. Le début de semaine a été plus mouvementé d'après Gwen Zampieri : "Lundi les conditions étaient plus fortes, donc idéales pour mettre en pratique la théorie vue précédemment et enfin mardi, le dernier jour, calme plat. Ce qui au final nous a permis de visionner des vidéos et de faire du cardio, des tests d’aptitudes physiques, sur place au club à la marina d’Uturoa et au stade territorial d’Uturoa ".
En guise de bilan, Aurélien Le Metayer reconnaissait qu'en 4 jours les stagiaires ont bien progressé autant en théorie qu'en pratique, tout en émettant un souhait : "Ce qui est étonnant en Polynésie, moi qui ai déjà pas mal voyagé dans le monde, c'est le peu de nombre de clubs ; trois à Tahiti et deux à Raiatea, c’est surprenant par rapport à la taille du pays. C’est une discipline qui ne demande qu’à être développée. C’est aux collectivités de se prendre en main et de demander à la fédération un soutien".