Tahiti le 4 décembre 2024. Le nombre de cas de dengue augmente en POlynésie française. L'agence de veille sanitaire est contrainte d'augmenter son niveau de surveillance de la phase épidémique.
La semaine dernière, 47 nouveaux cas de dengue ont été rapportés au bureau de veille sanitaire pour 112 prélèvements réalisés. Parmi les cas, 25 personnes ont été prélevés ou résident à Tahiti, 5 à Moorea, 1 à Nuku-Hiva, 4 à Huahine, 2 à Rangiroa, 2 à Raiatea, 1 à Fakarava, 2 à Bora Bora, 1 à Tikehau, 1 à Maupiti, 1 à Arutua. Il s’agit des premiers cas sur ces 2 dernières îles.
Une tendance à la hausse est observée aux îles-du-vent (IDV), aux iles-sous-le-vent (ISLV) et aux Tuamotu (TG). Le taux de positivité marque également une tendance à la hausse depuis 1 mois, de 42% en S47.
Ces indicateurs ont conduit la Cellule de gestion d’alerte (CGA) à déclarer la phase épidémique 3a (« phase épidémique appelant des mesures de gestion habituelles » pour les îles de Tahiti et Moorea.
Parmi un total de 268 échantillons sérotypés depuis le début de l’épidémie, le sérotype DENV-1 représente 73% des cas et DENV-2 seulement 27%.
Les cas surviennent de façon isolée ou en clusters (quartiers de Pointe Venus, Tuauru, Paofai et Taaone notamment), et majoritairement chez des enfants ou des adultes jeunes.
Par ailleurs, Santé Publique France rapporte une augmentation des cas importés de Polynésie sur le territoire hexagonal.
La semaine dernière, 47 nouveaux cas de dengue ont été rapportés au bureau de veille sanitaire pour 112 prélèvements réalisés. Parmi les cas, 25 personnes ont été prélevés ou résident à Tahiti, 5 à Moorea, 1 à Nuku-Hiva, 4 à Huahine, 2 à Rangiroa, 2 à Raiatea, 1 à Fakarava, 2 à Bora Bora, 1 à Tikehau, 1 à Maupiti, 1 à Arutua. Il s’agit des premiers cas sur ces 2 dernières îles.
Une tendance à la hausse est observée aux îles-du-vent (IDV), aux iles-sous-le-vent (ISLV) et aux Tuamotu (TG). Le taux de positivité marque également une tendance à la hausse depuis 1 mois, de 42% en S47.
Ces indicateurs ont conduit la Cellule de gestion d’alerte (CGA) à déclarer la phase épidémique 3a (« phase épidémique appelant des mesures de gestion habituelles » pour les îles de Tahiti et Moorea.
Parmi un total de 268 échantillons sérotypés depuis le début de l’épidémie, le sérotype DENV-1 représente 73% des cas et DENV-2 seulement 27%.
Les cas surviennent de façon isolée ou en clusters (quartiers de Pointe Venus, Tuauru, Paofai et Taaone notamment), et majoritairement chez des enfants ou des adultes jeunes.
Par ailleurs, Santé Publique France rapporte une augmentation des cas importés de Polynésie sur le territoire hexagonal.
La coqueluche toujours problématique
Alors qu’un nourrisson est décédé la semaine dernière, la coqueluche poursuit sa progression au Fenua. Cette semaine, 49 cas sont recensés par la cellule de veille sanitaire. Parmi eux, 47 cas ont été prélevés ou résident à Tahiti, 1 à Moorea, 1 à Rangiroa. Parmi les cas rapportés, 3 sont des nourrissons de moins de 11 mois, 3 sont des enfants entre 1 et 4 ans, 22 sont des personnes entre 5 de 19 ans et 21 ont entre 20 et 79 ans. Un nourrisson de moins de 1 mois et 1 adulte ont été hospitalisés.
Depuis le début de l’épidémie en juin, 389 cas confirmés ont été identifiés. Parmi l’ensemble des cas investigués, 16 personnes ont nécessité une hospitalisation, dont 12 nourrissons âgés de 8 mois ou moins.
Depuis le début de l’épidémie en juin, 389 cas confirmés ont été identifiés. Parmi l’ensemble des cas investigués, 16 personnes ont nécessité une hospitalisation, dont 12 nourrissons âgés de 8 mois ou moins.