Moorea, le 18 novembre 2020 - Gilles Fraysse, un résident de l’île, a eu l’idée de se mettre à l’électroculture afin d’augmenter le rendement de ses plantes, de ses légumes et de ses fruitiers. Pour démontrer la crédibilité de cette pratique agricole, il a accepté de la présenter aux lecteurs de Tahiti Infos.
Encore très mal connue sur le territoire, l’électroculture commence à se faire une place dans les plantations, notamment les potagers, de l’ile sœur. C’est Gilles Fraysse, également l’un des pionniers de l’électroculture sur le fenua, qui a eu l’idée de lancer pour la première fois cette pratique dans son potager situé à son domicile dans la vallée de Paopao, avant d’en parler à quelques habitants de Moorea.
"L'électroculture est un mode de culture utilisant les forces naturelles de la nature disponibles autour de nous, inépuisables et non polluantes, comme l'électricité atmosphérique et tellurique, les rayonnements hautes fréquences ainsi que le champ magnétique naturel pour stimuler la croissance des plantes. C’est comme une respiration d'énergie entre le ciel et la terre, qu'on stimule et qui augmente la fertilité du lieu" explique Gilles Fraysse.
Ce dernier utilise plusieurs systèmes que l’on peut comparer à des récepteurs, à des antennes. On y trouve par exemple des antennes paratonnerres qui captent les ions positifs présents dans l’air et les relient au sol, chargé négativement, à l’aide d’un fil de cuivre. Les échanges électriques ainsi créés semblent accélérer le développement des micro-organismes et des plantes comme le persil, le basilic ou l’origan. Les tours irlandaises, faites de basalte (roche paramagnétique), emmagasinent les champs magnétiques et les ondes pour les faire rayonner dans un périmètre donné des potagers. Les pyramides en cuivre emmagasinent les ondes et les champs magnétiques. L’énergie créée est ainsi utilisée pour dynamiser les semences (meilleure germination), dynamiser l’eau et régénérer les plantes, telles que les plants de tomates ou les fraisiers, plantées sous la pyramide. La spirale en cuivre ou en aluminium, dite "Ighina", est un autre système qui capte les énergies électromagnétiques pour les diffuser aux pieds des plantes. On trouve également dans les potagers des anneaux oscillants dits "Lakhovsky". Ceux-ci captent l’énergie présente dans l’air et l’amplifient à l’intérieur de la boucle.
Grace à ces systèmes d’électroculture, Gilles Fraysse assure avoir des récoltes plus importantes et des plantes plus vigoureuses avec moins de parasites. On peut y trouver des fruits ou des légumes communs comme des tomates, des concombres, du potiron ou encore du pota local.
Encore très mal connue sur le territoire, l’électroculture commence à se faire une place dans les plantations, notamment les potagers, de l’ile sœur. C’est Gilles Fraysse, également l’un des pionniers de l’électroculture sur le fenua, qui a eu l’idée de lancer pour la première fois cette pratique dans son potager situé à son domicile dans la vallée de Paopao, avant d’en parler à quelques habitants de Moorea.
"L'électroculture est un mode de culture utilisant les forces naturelles de la nature disponibles autour de nous, inépuisables et non polluantes, comme l'électricité atmosphérique et tellurique, les rayonnements hautes fréquences ainsi que le champ magnétique naturel pour stimuler la croissance des plantes. C’est comme une respiration d'énergie entre le ciel et la terre, qu'on stimule et qui augmente la fertilité du lieu" explique Gilles Fraysse.
Ce dernier utilise plusieurs systèmes que l’on peut comparer à des récepteurs, à des antennes. On y trouve par exemple des antennes paratonnerres qui captent les ions positifs présents dans l’air et les relient au sol, chargé négativement, à l’aide d’un fil de cuivre. Les échanges électriques ainsi créés semblent accélérer le développement des micro-organismes et des plantes comme le persil, le basilic ou l’origan. Les tours irlandaises, faites de basalte (roche paramagnétique), emmagasinent les champs magnétiques et les ondes pour les faire rayonner dans un périmètre donné des potagers. Les pyramides en cuivre emmagasinent les ondes et les champs magnétiques. L’énergie créée est ainsi utilisée pour dynamiser les semences (meilleure germination), dynamiser l’eau et régénérer les plantes, telles que les plants de tomates ou les fraisiers, plantées sous la pyramide. La spirale en cuivre ou en aluminium, dite "Ighina", est un autre système qui capte les énergies électromagnétiques pour les diffuser aux pieds des plantes. On trouve également dans les potagers des anneaux oscillants dits "Lakhovsky". Ceux-ci captent l’énergie présente dans l’air et l’amplifient à l’intérieur de la boucle.
Grace à ces systèmes d’électroculture, Gilles Fraysse assure avoir des récoltes plus importantes et des plantes plus vigoureuses avec moins de parasites. On peut y trouver des fruits ou des légumes communs comme des tomates, des concombres, du potiron ou encore du pota local.
L'idée d'une ferme pilote
Mais plus surprenant encore des plantes difficiles à trouver sous nos latitudes comme du tournesol, qui culmine a 3,5m avec une couronne d’environ 35/40 cm, du basilic de 1,5 m, de la rhubarbe, du cassis ou encore des groseilles. Retrouver dans sa plantation des plantes que les métropolitains ont l’habitude d’avoir dans leur jardin était d’ailleurs l’une des grandes raisons qui ont poussé Gilles à se lancer dans l’électroculture à son domicile.
"Je suis tombé sur une vidéo de Yannick van Doorne, (ingénieur agronome) qui est la référence en électroculture en métropole. J’ai fait par la suite mes propres tests, avec des plants sous influence électroculture et des plants témoins. J’ai vu que cela marchait" raconte-il avant d’ajouter "Mon grand-père et mon père en France avaient un potager. Je voulais aussi essayer d’avoir les mêmes fruits qu’en métropole. Là-bas, tout le monde a chez lui des cassis, des groseilles, des fraises, etc.". Gilles Fraysse a pour projet de monter à l’avenir une ferme pilote dans une des terres domaniales de l’île sœur afin de faire découvrir les techniques d’électroculture au public.