Tahiti, le 16 décembre 2021 – La dernière réunion de l'Observatoire du tourisme s'est tenue jeudi. L'Institut de la statistique de Polynésie française dresse le bilan de ces deux dernières années durant lesquelles l’activité touristique aura été la plus basse de son histoire.
Le dernier Observatoire du tourisme de l’année a rassemblé, jeudi, près de 60 représentants de la filière pour faire un bilan des chiffres de ces deux dernières années. Selon l’Institut de la statistique de la Polynésie française (ISPF), on observe, pour l'année 2020, 70% de visiteurs en moins par rapport à 2019 (90 000 visiteurs dont 77 000 touristes). En 2021, moins de 85 000 touristes ont choisi de venir au fenua. La pandémie mondiale a réduit les marchés internationaux, puisque 90 % des visiteurs, contre les deux tiers en 2019, viennent uniquement des États-Unis et de la Métropole. Aussi, la clientèle internationale –préférant l'isolement et les services individualisés– et la clientèle locale (grâce notamment au Titeti Ai'a) ont stimulé l'activité de la petite hôtellerie, au détriment des grands complexes hôteliers, et de l'activité de croisière. Un regain d'activité est néanmoins observé. En effet, en comparaison à décembre 2020, les hébergements, les opérateurs aériens et l'activité de croisière observent une reprise des réservations. Elle représente une augmentation de 60% sur la même période. Le ministère de l’Économie, des finances et du tourisme, a rappelé aux professionnels du secteur que des aides de droit commun et des dispositifs de sauvegarde des entreprises sont à leur disposition.
Le dernier Observatoire du tourisme de l’année a rassemblé, jeudi, près de 60 représentants de la filière pour faire un bilan des chiffres de ces deux dernières années. Selon l’Institut de la statistique de la Polynésie française (ISPF), on observe, pour l'année 2020, 70% de visiteurs en moins par rapport à 2019 (90 000 visiteurs dont 77 000 touristes). En 2021, moins de 85 000 touristes ont choisi de venir au fenua. La pandémie mondiale a réduit les marchés internationaux, puisque 90 % des visiteurs, contre les deux tiers en 2019, viennent uniquement des États-Unis et de la Métropole. Aussi, la clientèle internationale –préférant l'isolement et les services individualisés– et la clientèle locale (grâce notamment au Titeti Ai'a) ont stimulé l'activité de la petite hôtellerie, au détriment des grands complexes hôteliers, et de l'activité de croisière. Un regain d'activité est néanmoins observé. En effet, en comparaison à décembre 2020, les hébergements, les opérateurs aériens et l'activité de croisière observent une reprise des réservations. Elle représente une augmentation de 60% sur la même période. Le ministère de l’Économie, des finances et du tourisme, a rappelé aux professionnels du secteur que des aides de droit commun et des dispositifs de sauvegarde des entreprises sont à leur disposition.
