(Photo : FB Rare Tahitian Air/Port Views).
Tahiti, le 3 janvier 2024 – Les agents du service armement ont jusqu’à 14 heures, mercredi, pour mettre un terme au blocage du port et ouvrir de nouvelles négociations.
Si l’activité portuaires est freinée mercredi matin par le barrage filtrant mis en place tôt dans la matinée par 11 agents grévistes du service armement, un ultimatum a été signifié par le président Brotherson aux employés en grève : le barrage de l’entrée de la rade doit être levé à 14 heures au plus tard, mercredi après-midi. Heure butoir au-delà de laquelle seraient mises en œuvre les menaces déjà évoquées avec les grévistes dans la matinée : action en référé pour libérer le port avec le secours de la force publique ; dépôt d’une plainte au pénal pour actes de piraterie et vraisemblables sanctions administratives des agents responsables du blocage du port.
Parallèlement, Moetai Brotherson a indiqué dans la matinée aux agents grévistes qu’il était disposé à provoquer une reprise des négociations, dès que possible à la présidence. Avec un préalable, toutefois : le retour des remorqueurs à quai garantissant un retour à la normale de l’activité portuaire.
>> Lire aussi : Les remorqueurs bloquent la rade de Papeete
Si l’activité portuaires est freinée mercredi matin par le barrage filtrant mis en place tôt dans la matinée par 11 agents grévistes du service armement, un ultimatum a été signifié par le président Brotherson aux employés en grève : le barrage de l’entrée de la rade doit être levé à 14 heures au plus tard, mercredi après-midi. Heure butoir au-delà de laquelle seraient mises en œuvre les menaces déjà évoquées avec les grévistes dans la matinée : action en référé pour libérer le port avec le secours de la force publique ; dépôt d’une plainte au pénal pour actes de piraterie et vraisemblables sanctions administratives des agents responsables du blocage du port.
Parallèlement, Moetai Brotherson a indiqué dans la matinée aux agents grévistes qu’il était disposé à provoquer une reprise des négociations, dès que possible à la présidence. Avec un préalable, toutefois : le retour des remorqueurs à quai garantissant un retour à la normale de l’activité portuaire.
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