Pour la deuxième année consécutive, le Musée Gauguin fut le cadre d’un événement sportif d’envergure qui ne demande qu’a se développer.
En effet, entre le Motu Ovini et le jardin botanique tout est réuni pour offrir un spectacle de qualité que l’on soit acteur ou simple spectateur. Le circuit à vélo qui s’étend entre Mataia avant la mairie et l’extrémité sud de Papeari au niveau de la maison des artisans, permet de faire un parcours dans de très bonnes conditions avec en partie une piste cyclable nouvellement aménagée et une vue agréable sur le lagon au niveau du jardin Vaiphi.
Avec cette belle épreuve, que représente le triathlon du Musée Gauguin, le président de l’AST Puna Tri avait comme objectif d’accueillir, certes, les athlètes polynésiens de la discipline, mais surtout de faire venir des néophytes pour leur permettre de goûter aux joies du triathlon, dans un cadre idyllique.
En effet, entre le Motu Ovini et le jardin botanique tout est réuni pour offrir un spectacle de qualité que l’on soit acteur ou simple spectateur. Le circuit à vélo qui s’étend entre Mataia avant la mairie et l’extrémité sud de Papeari au niveau de la maison des artisans, permet de faire un parcours dans de très bonnes conditions avec en partie une piste cyclable nouvellement aménagée et une vue agréable sur le lagon au niveau du jardin Vaiphi.
Avec cette belle épreuve, que représente le triathlon du Musée Gauguin, le président de l’AST Puna Tri avait comme objectif d’accueillir, certes, les athlètes polynésiens de la discipline, mais surtout de faire venir des néophytes pour leur permettre de goûter aux joies du triathlon, dans un cadre idyllique.
Aucune obligation de résultat n’était demandée hors le fait de terminer la course.
Ouverte à tous et plébiscitée par la Fédération Tahitienne de Triathlon, cette journée a accueilli un public de tout niveau de performance, homme ou femme. Même des jeunes à partir de 12 ans se sont mêlés à cette belle fête du sport.
Comme chaque année, à côté des objectifs sportifs propres à chacun des athlètes confirmés, le projet sociétal, que défend le président au travers de sa politique sportive de club, était de faire découvrir le triathlon, tout en s’amusant, aux jeunes polynésiens : « L’ambiance « Musée Gauguin » est un facteur extrêmement motivant pour chaque participant et nous tentons à l’exploiter au maximum tant le cadre est sécuritaire. C’est pourquoi nous essayons de faire participer un grand nombre de débutants en essayant de motiver les jeunes des quartiers qui sont loin des préoccupations des athlètes »
A cette occasion nous avons vu débarquer un petit groupe de jeunes de Papeari pour se mêler sans complexe au reste des participants. En apprenant que le triathlon du Musée Gauguin était ouvert à tous, ils se sont dit : « pourquoi pas nous ? »
Inscrits au Vaiari Nui Club de Papeari, ces trois footballeurs de 17 ans et 19 ans, qui ont comme passion le Vaa et le surf en plus du foot, se sont organisés pour avoir la meilleure équipe possible…
BOUGUES Tohiri qui est un surfeur amateur c’est proposé pour nager, BENNETT Rangitea qui a pu obtenir le VTT de son oncle a choisi de pédaler pour le groupe et NAMATAK Sam qui possède des qualités physiques impressionnantes au niveau du foot a pris l’option course à pied dans le jardin botanique.
Assuré de la meilleure configuration possible pour entreprendre cette aventure, ce petit groupe de jeunes s’est offert pour 3300 frs l’inscription à une nouvelle aventure sportive.
Ils se sont préparés durant les deux semaines de vacances scolaires qui ont précédé. Chaque soir, ils se réunissaient pour organiser au mieux leur entraînement sans l’aide d’adultes, avec les connaissances sommaires acquises durant les cours d’EPS ou pendant les entraînements de foot, prenant le contre-pied de l’inactivité du quartier Titaaviri auquel ils appartiennent, et fronçant ainsi l’admiration des copains observateurs de cette étrange préparation…
Comme chaque année, à côté des objectifs sportifs propres à chacun des athlètes confirmés, le projet sociétal, que défend le président au travers de sa politique sportive de club, était de faire découvrir le triathlon, tout en s’amusant, aux jeunes polynésiens : « L’ambiance « Musée Gauguin » est un facteur extrêmement motivant pour chaque participant et nous tentons à l’exploiter au maximum tant le cadre est sécuritaire. C’est pourquoi nous essayons de faire participer un grand nombre de débutants en essayant de motiver les jeunes des quartiers qui sont loin des préoccupations des athlètes »
A cette occasion nous avons vu débarquer un petit groupe de jeunes de Papeari pour se mêler sans complexe au reste des participants. En apprenant que le triathlon du Musée Gauguin était ouvert à tous, ils se sont dit : « pourquoi pas nous ? »
Inscrits au Vaiari Nui Club de Papeari, ces trois footballeurs de 17 ans et 19 ans, qui ont comme passion le Vaa et le surf en plus du foot, se sont organisés pour avoir la meilleure équipe possible…
BOUGUES Tohiri qui est un surfeur amateur c’est proposé pour nager, BENNETT Rangitea qui a pu obtenir le VTT de son oncle a choisi de pédaler pour le groupe et NAMATAK Sam qui possède des qualités physiques impressionnantes au niveau du foot a pris l’option course à pied dans le jardin botanique.
Assuré de la meilleure configuration possible pour entreprendre cette aventure, ce petit groupe de jeunes s’est offert pour 3300 frs l’inscription à une nouvelle aventure sportive.
Ils se sont préparés durant les deux semaines de vacances scolaires qui ont précédé. Chaque soir, ils se réunissaient pour organiser au mieux leur entraînement sans l’aide d’adultes, avec les connaissances sommaires acquises durant les cours d’EPS ou pendant les entraînements de foot, prenant le contre-pied de l’inactivité du quartier Titaaviri auquel ils appartiennent, et fronçant ainsi l’admiration des copains observateurs de cette étrange préparation…
Le samedi 17 avril arrive avec son lot de sensations fortes pour notre trio.
Ils finissent 17eme au général sur 70 concurrents et 4eme équipe Homme parmi des nageurs de clubs et des cyclistes confirmés.
En effet, Tohiri sort de l’eau après 750m de natation, dans les 20 premiers, sans entraînement spécifique ce qui reste une très belle performance ! « Je suis crevé ! » s’exclame-t-il au passage du relais.
Rangitea ne démérite pas avec son VTT d’un autre temps, faisant pâle figure à côté de tous ces vélos carbons hyper légers spécialement « aiguisés » pour les courses sur route…
Il sortira de son parcours vélo en moins de 40 minutes avec un mal aux fesses carabiné dû principalement à un mauvais réglage en hauteur et une selle trop large… Quand à Sam, il part en position de 35eme et tout en reprenant un maximum de concurrents au passage, il boucle, dans un temps canon, ses deux tours de 2500 m à la périphérie du jardin botanique sous les mape, avec un plaisir non dissimulé d'être là, simplement pour s’amuser.
Il faut noter que nous avons là des récidivistes du « plaisir de la découverte sportive », car ils ont, l’année passée, participé à leurs premières courses pédestres par équipe sur des distances de 14 Km pour la Vaiari Nui Trial et de 5 Km pour les Cent Pas de Papara, juste pour voir, juste pour essayer, selon leurs dires.
Souhaitons leur de trouver toujours beaucoup de plaisir dans toutes les activités sportives qu’ils pourraient tester.
En effet, Tohiri sort de l’eau après 750m de natation, dans les 20 premiers, sans entraînement spécifique ce qui reste une très belle performance ! « Je suis crevé ! » s’exclame-t-il au passage du relais.
Rangitea ne démérite pas avec son VTT d’un autre temps, faisant pâle figure à côté de tous ces vélos carbons hyper légers spécialement « aiguisés » pour les courses sur route…
Il sortira de son parcours vélo en moins de 40 minutes avec un mal aux fesses carabiné dû principalement à un mauvais réglage en hauteur et une selle trop large… Quand à Sam, il part en position de 35eme et tout en reprenant un maximum de concurrents au passage, il boucle, dans un temps canon, ses deux tours de 2500 m à la périphérie du jardin botanique sous les mape, avec un plaisir non dissimulé d'être là, simplement pour s’amuser.
Il faut noter que nous avons là des récidivistes du « plaisir de la découverte sportive », car ils ont, l’année passée, participé à leurs premières courses pédestres par équipe sur des distances de 14 Km pour la Vaiari Nui Trial et de 5 Km pour les Cent Pas de Papara, juste pour voir, juste pour essayer, selon leurs dires.
Souhaitons leur de trouver toujours beaucoup de plaisir dans toutes les activités sportives qu’ils pourraient tester.