PAPEETE, le 22 septembre 2017 - Derrière le terme à l’accent provocateur se cache un outil de MakeSense. Un outil sans danger et à l’efficacité prouvée à en croire Audrey Lachaud, porteuse de projet d’atelier d’aide à la transformation pour les producteurs. Hébergée par l’incubateur PRISM en Polynésie et de passage à Paris, elle a bénéficié de l’outil Makesense ce mois de septembre.
Porteuse d’un projet d’économie sociale et solidaire, Audrey Lachaud met en œuvre ses idées. Elle concrétise FoodLab, autour de la fonction conserves et travaille sur Cooklab, une expérience culinaire à partager avec des visiteurs.
Pour cet aspect en particulier elle a souhaité essayer l’outil Hold-up de MakeSense. De passage à Paris en septembre, elle a tenté l’expérience. Elle est rentrée conquise.
Pour rappel, MakeSense est un projet de Christian Vanizette. C’est une communauté internationale qui rassemble des "SenseMakers" et des "Gangsters" dans 128 villes du monde pour aider des entrepreneurs sociaux à résoudre leurs défis.
L’idée ? "En rassemblant nos compétences et nos idées, nous pouvons aider les entrepreneurs sociaux à créer leur entreprise et à grandir pour résoudre les problèmes les plus urgents de la société pour des causes comme l’éducation, la santé, l’environnement, l’alimentation…"
Des outils ont été pensés pour aider à la réalisation des projets individuels retenus par MakeSense comme par exemple l’atelier Sensefiction qui sera proposé le 28 septembre à l’incubateur Prism à la Chambre de commerce, d’industrie, des services et des métiers (CCISM) ou le Hold-up, testé (et approuvé) par Audrey Lachaud.
"L’animatrice du Hold-up avait réuni une dizaine de personnes de la communauté MakeSense", se rappelle Audrey Lachaud. Devant ce public de personnes choisies, la porteuse de projet polynésienne a présenté son "Cooklab". Le public a réagi. "Le Hold-up", explique-t-elle, "est une méthode de travail collaborative et innovante de résolution de défis." Les invités, bénévoles, compétents dans le secteur d’activité présenté, participent en apportant des solutions. Tout au moins en dessinant des pistes de solutions.
"J’ai été très étonnée par la pertinence de leurs solutions et par la facilité avec laquelle les invités réussissaient à se mettre tantôt à la place d’un client, tantôt à la place d’un partenaire… Mon projet, grâce au Hold-up a beaucoup évolué, il s’est affiné." Cette expérience encourage Audrey Lachaud à se former pour pouvoir manier sur le territoire ce genre d’outil.
Porteuse d’un projet d’économie sociale et solidaire, Audrey Lachaud met en œuvre ses idées. Elle concrétise FoodLab, autour de la fonction conserves et travaille sur Cooklab, une expérience culinaire à partager avec des visiteurs.
Pour cet aspect en particulier elle a souhaité essayer l’outil Hold-up de MakeSense. De passage à Paris en septembre, elle a tenté l’expérience. Elle est rentrée conquise.
Pour rappel, MakeSense est un projet de Christian Vanizette. C’est une communauté internationale qui rassemble des "SenseMakers" et des "Gangsters" dans 128 villes du monde pour aider des entrepreneurs sociaux à résoudre leurs défis.
L’idée ? "En rassemblant nos compétences et nos idées, nous pouvons aider les entrepreneurs sociaux à créer leur entreprise et à grandir pour résoudre les problèmes les plus urgents de la société pour des causes comme l’éducation, la santé, l’environnement, l’alimentation…"
Des outils ont été pensés pour aider à la réalisation des projets individuels retenus par MakeSense comme par exemple l’atelier Sensefiction qui sera proposé le 28 septembre à l’incubateur Prism à la Chambre de commerce, d’industrie, des services et des métiers (CCISM) ou le Hold-up, testé (et approuvé) par Audrey Lachaud.
"L’animatrice du Hold-up avait réuni une dizaine de personnes de la communauté MakeSense", se rappelle Audrey Lachaud. Devant ce public de personnes choisies, la porteuse de projet polynésienne a présenté son "Cooklab". Le public a réagi. "Le Hold-up", explique-t-elle, "est une méthode de travail collaborative et innovante de résolution de défis." Les invités, bénévoles, compétents dans le secteur d’activité présenté, participent en apportant des solutions. Tout au moins en dessinant des pistes de solutions.
"J’ai été très étonnée par la pertinence de leurs solutions et par la facilité avec laquelle les invités réussissaient à se mettre tantôt à la place d’un client, tantôt à la place d’un partenaire… Mon projet, grâce au Hold-up a beaucoup évolué, il s’est affiné." Cette expérience encourage Audrey Lachaud à se former pour pouvoir manier sur le territoire ce genre d’outil.