Tahiti, le 20 juin 2025 - Du 26 au 31 mai derniers, la Direction des ressources marines (DRM) a représenté la Polynésie française à la Jolla (États-Unis) lors des négociations internationales de la commission thonière du Pacifique-Est.
L’objectif des représentants de la DRM, lors de ce déplacement, était de défendre les intérêts de la Polynésie face aux impacts environnementaux des Dispositifs de concentration de poissons dérivants (DCPd) utilisés par les flottes étrangères de pêche à la senne et qui dérivent jusque dans nos eaux territoriales.
Afin de faire entendre sa voix, la DRM est donc allée à ces réunions pour rappeler les conséquences de ces DCP dérivants (pollution, dommages aux récifs, dangers pour la navigation, impacts sur nos ressources marines), réaffirmer la nécessité d’en réguler l’usage au plus haut niveau international et demander l’adoption de mesures fortes comme l’abandon de l’utilisation de ces DCP, l’obligation d’en partager la position via des balises GPS en temps réel ou encore le financement de la récupération et du recyclage de ces DCP abandonnés par leur propriétaires.
Selon la DRM, ce sont environ 50.000 DCP dérivants qui sont lâchés chaque année dans l’océan Pacifique.
La prochaine étape pour la Direction des ressources marines sera en septembre prochain au Panama lors de la prochaine session plénière de la Commission interaméricaine du thon tropical où une proposition de texte imposant l’obligation du partage des positions des DCP dérivants sera soumise à l’adoption de ses membres.
L’objectif des représentants de la DRM, lors de ce déplacement, était de défendre les intérêts de la Polynésie face aux impacts environnementaux des Dispositifs de concentration de poissons dérivants (DCPd) utilisés par les flottes étrangères de pêche à la senne et qui dérivent jusque dans nos eaux territoriales.
Afin de faire entendre sa voix, la DRM est donc allée à ces réunions pour rappeler les conséquences de ces DCP dérivants (pollution, dommages aux récifs, dangers pour la navigation, impacts sur nos ressources marines), réaffirmer la nécessité d’en réguler l’usage au plus haut niveau international et demander l’adoption de mesures fortes comme l’abandon de l’utilisation de ces DCP, l’obligation d’en partager la position via des balises GPS en temps réel ou encore le financement de la récupération et du recyclage de ces DCP abandonnés par leur propriétaires.
Selon la DRM, ce sont environ 50.000 DCP dérivants qui sont lâchés chaque année dans l’océan Pacifique.
La prochaine étape pour la Direction des ressources marines sera en septembre prochain au Panama lors de la prochaine session plénière de la Commission interaméricaine du thon tropical où une proposition de texte imposant l’obligation du partage des positions des DCP dérivants sera soumise à l’adoption de ses membres.