Le Jeudi 17 mai s’est déroulée une manifestation sportive à but caritatif dans les jardins de Paofai dans des conditions climatiques propices. Course de pirogue V6, course de paddle, zumba, course à pieds, beach soccer, échecs, il y en avait pour tous les goûts.
Gerald HEITAA, le président du club Kiwanis Teva Tahiti accorde une interview à Tahiti Infos :
« Après la première édition ayant pour thème « cours ou marche pour un enfant » à Mataiea puis à Moorea l’année suivante, nous sommes montés en puissance cette année, en proposant plus d’activités sur le front de mer de la capitale. Mme Kiki RINGLAND chapeaute la Division 7 qui regroupe tous les Kiwanis de Polynésie. »
« Le but est de faire connaître le Kiwanis Club et de récolter des fonds pour financer le projet « Eliminate » qui vise à éradiquer le tetanos maternel et neonatal qui tue un bébé toutes les neuf minutes dans le monde, en partenariat avec l’Unicef. »
« Cette maladie apparemment n’existe pas en Polynésie mais nous participons ainsi à un geste de solidarité internationale. Il y a du monde c’est bien, 1/3 savent que c’est pour le projet Kiwanis, le reste viennent pour faire du sport. »
« Il y a aussi un stand d’information au sujet des méfaits de la drogue. L’enfance est le souci majeur du Kiwanis, changer le monde en sauvant un enfant à la fois »
Le Kiwanis International est une organisation fondée à Détroit aux Etats Unis en 1923 et comporte environ 800 000 membres dans le monde. Elle ressemble étrangement à ces organisations anglo-saxonnes religieuses pyramidales parfaitement structurées pour recueillir des fonds. Club qui jusqu’en 1987 n’accueillait pas de femmes.
Cela peut paraître paradoxal, recueillir des fonds pour sauver les enfants du monde alors que la Polynésie s’enfonce dans la précarité, avec de fortes inégalités sociales et une enfance victime de maux en tout genre.
Mais la souffrance de certains pays est une bien triste réalité et ce genre d’initiative internationale, cette main tendue de l’ « occident » vers certains pays en difficulté ne peut être que porteur d’espoir en un monde meilleur.
Beaucoup de positivité à voir notre jeunesse faire du sport, jouer au échecs ou s’informer sur les problèmes de drogue dans le cadre de cette manifestation bien organisée qui pourrait servir d’exemple.
Article, Photos SB
Gerald HEITAA, le président du club Kiwanis Teva Tahiti accorde une interview à Tahiti Infos :
« Après la première édition ayant pour thème « cours ou marche pour un enfant » à Mataiea puis à Moorea l’année suivante, nous sommes montés en puissance cette année, en proposant plus d’activités sur le front de mer de la capitale. Mme Kiki RINGLAND chapeaute la Division 7 qui regroupe tous les Kiwanis de Polynésie. »
« Le but est de faire connaître le Kiwanis Club et de récolter des fonds pour financer le projet « Eliminate » qui vise à éradiquer le tetanos maternel et neonatal qui tue un bébé toutes les neuf minutes dans le monde, en partenariat avec l’Unicef. »
« Cette maladie apparemment n’existe pas en Polynésie mais nous participons ainsi à un geste de solidarité internationale. Il y a du monde c’est bien, 1/3 savent que c’est pour le projet Kiwanis, le reste viennent pour faire du sport. »
« Il y a aussi un stand d’information au sujet des méfaits de la drogue. L’enfance est le souci majeur du Kiwanis, changer le monde en sauvant un enfant à la fois »
Le Kiwanis International est une organisation fondée à Détroit aux Etats Unis en 1923 et comporte environ 800 000 membres dans le monde. Elle ressemble étrangement à ces organisations anglo-saxonnes religieuses pyramidales parfaitement structurées pour recueillir des fonds. Club qui jusqu’en 1987 n’accueillait pas de femmes.
Cela peut paraître paradoxal, recueillir des fonds pour sauver les enfants du monde alors que la Polynésie s’enfonce dans la précarité, avec de fortes inégalités sociales et une enfance victime de maux en tout genre.
Mais la souffrance de certains pays est une bien triste réalité et ce genre d’initiative internationale, cette main tendue de l’ « occident » vers certains pays en difficulté ne peut être que porteur d’espoir en un monde meilleur.
Beaucoup de positivité à voir notre jeunesse faire du sport, jouer au échecs ou s’informer sur les problèmes de drogue dans le cadre de cette manifestation bien organisée qui pourrait servir d’exemple.
Article, Photos SB