Trois promotions du lycée professionnel St Joseph de Punaauia ont été accueillies, en ce mercredi 17 novembre, par le service de la perliculture.
De la découverte des premières perles fossilisées (230 millions d’années) à la création du service de la perliculture en Polynésie française (2001), ces lycéens ont eu un bref aperçu des grandes étapes qui ont jalonné l’histoire de la perle à travers les âges.
Des exposés sur la gestion des concessions, du biotope et de ses ressources, sur les techniques d’élevage et de production, sur la surveillance sanitaire ainsi que sur les avancées en matière de recherche et de développement ont ponctué cette matinée instructive.
Cette découverte a pris fin par une visite guidée et commentée du département « contrôle » dans les Jardins de Paofai. Nos futurs bijoutiers ont pu apprécier la nécessité d’une réglementation qui vise à protéger ce produit de luxe et les intérêts des perliculteurs.
Les liens entre ces deux structures sont amenés à se resserrer afin de permettre à nos artisans de demain de mieux connaître, valoriser et promouvoir « la perle de culture de Tahiti ».
De la découverte des premières perles fossilisées (230 millions d’années) à la création du service de la perliculture en Polynésie française (2001), ces lycéens ont eu un bref aperçu des grandes étapes qui ont jalonné l’histoire de la perle à travers les âges.
Des exposés sur la gestion des concessions, du biotope et de ses ressources, sur les techniques d’élevage et de production, sur la surveillance sanitaire ainsi que sur les avancées en matière de recherche et de développement ont ponctué cette matinée instructive.
Cette découverte a pris fin par une visite guidée et commentée du département « contrôle » dans les Jardins de Paofai. Nos futurs bijoutiers ont pu apprécier la nécessité d’une réglementation qui vise à protéger ce produit de luxe et les intérêts des perliculteurs.
Les liens entre ces deux structures sont amenés à se resserrer afin de permettre à nos artisans de demain de mieux connaître, valoriser et promouvoir « la perle de culture de Tahiti ».
