TAHITI, le 16 août 2022 - Il revient au fenua pour la deuxième fois. Vianney sera en concert le 19 août à To’ata dans le cadre de sa tournée N’attendons pas. Il s’agit de la dernière date de cette tournée, un moment qui s’annonce “très puissant”, “très chargé en émotions…”
Les premiers concerts de Vianney à Tahiti ont eu lieu en 2017. Il en avait assuré trois dont il garde un souvenir “incroyable”. Il est arrivé de Nouvelle-Calédonie il y a trois jours au fenua pour la dernière date de la tournée de promotion de l’album N’attendons pas, débutée l’année dernière. Il sera sur la scène de To’ata le 19. En attendant, il a accepté de répondre à quelques questions sur l’événement qui s’annonce, sur ses souvenirs en Polynésie mais également sur ses projets professionnels.
Vous semblez vous réjouir de revenir à Tahiti, pour quelles raisons ? Comment trouvez-vous le public polynésien ?
“Jouer ici est un privilège, car nous sommes dans l’endroit le plus merveilleux qu’il m’ait été donné de voir. J’aime la place que prend la nature dans le quotidien tahitien, cela m’apaise énormément. Et je dois dire que l’accueil du public polynésien est assez inestimable ; les gens sont adorables avec nous, respectueux, doux et plein de gratitude… alors que c’est nous qui nous pensons chanceux dans cette histoire !”
Qu'est-ce qui vous plaît dans la scène, comment vous sentez-vous une fois devant le public ?
“J’aime l’idée de donner quelque chose que j’ai fabriqué à des gens que je ne connais pas. Leur chanter mes histoires en laissant place à l’imprévu, à l’imperfection même. Quoiqu’il arrive, j’ai une confiance aveugle en mon public ; c’est pour ça que je vis chaque spectacle sans retenue, sans gêne ni timidité. Je n’ai alors plus qu’à donner ce que j’ai, exprimer simplement ce que je suis.”
La Polynésie vous a-t-elle inspiré pour l'écriture de chansons ? Qu'est-ce qui vous inspire plus généralement ?
“Tout m’inspire à vrai dire. Je ne vous mentirai pas en vous disant que je me sens inspiré ici plus qu’ailleurs ! C’est le monde en général qui m’intéresse, les gens de tous les endroits, leurs histoires. Les larmes d’un Tahitien ne valent pas plus, ni moins, que celles d’un Parisien.”
Il s'agira de la dernière date de votre tournée, comment l'abordez-vous ? Êtes-vous nostalgique, heureux de vous lancer dans d'autres projets ? Comment se sent-on quand une tournée s'achève ?
“Je sais que le jour de cette dernière date sera pour moi très puissant, très chargé en émotions… mais je sais aussi que dès le lendemain, et jusqu’à la fin de mes jours, je ne serai qu’heureux et positif à propos de tout cela… certainement pas nostalgique ! C’est une telle chance de pouvoir tourner pendant des centaines de dates.”
Vous avez annoncé en avril 2022 travailler sur le nouvel album de Véronique Sanson, comment collaborez-vous, est-ce vous qui composez, écrivez les textes ? Allez-vous chanter avec elle, et quand sortira-t-il ?
“Nous avançons doucement, Véronique et moi. Véronique est une immense musicienne qui sait ce qu’elle aime entendre et ce qu’elle n’aime pas. Alors nous cheminons, et pour l’instant nous sommes loin d’avoir terminé notre travail ! C’est un bonheur et une fierté d’œuvrer pour et avec elle.”
Avez-vous d'autres collaborations en cours ?
“J’en ai toujours en cours ! Le problème des collaborations, c’est que je n’aime pas griller la politesse des annonces de celles-ci ! En revanche, je viens de terminer la réalisation de l’album de Charlie Winston, qui sortira fin septembre… et j’ai adoré faire ça !”
Qu'est-ce qui vous plaît dans le fait de travailler avec d'autres ? Qu'est-ce que cela vous apporte ?
“Le fait de travailler avec un autre artisan donne forcément naissance à quelque chose que je n’aurais jamais été capable de faire seul. Je suis obligé de me fondre dans le décor de son univers, tout y apportant quelque chose. C’est un exercice qui me passionne et me donne le sentiment de progresser chaque jour... ce qui reste à jamais mon objectif !”
Avez-vous, vous-même, un nouvel album en prévision ?
“J’ai évidemment des chansons dans les tiroirs, mais rien qui donnerait naissance à un album personnel à proprement parler. Je sors de deux années tourbillons... je crois ne pas avoir envie de relancer la machine si rapidement.”
Les premiers concerts de Vianney à Tahiti ont eu lieu en 2017. Il en avait assuré trois dont il garde un souvenir “incroyable”. Il est arrivé de Nouvelle-Calédonie il y a trois jours au fenua pour la dernière date de la tournée de promotion de l’album N’attendons pas, débutée l’année dernière. Il sera sur la scène de To’ata le 19. En attendant, il a accepté de répondre à quelques questions sur l’événement qui s’annonce, sur ses souvenirs en Polynésie mais également sur ses projets professionnels.
Vous semblez vous réjouir de revenir à Tahiti, pour quelles raisons ? Comment trouvez-vous le public polynésien ?
“Jouer ici est un privilège, car nous sommes dans l’endroit le plus merveilleux qu’il m’ait été donné de voir. J’aime la place que prend la nature dans le quotidien tahitien, cela m’apaise énormément. Et je dois dire que l’accueil du public polynésien est assez inestimable ; les gens sont adorables avec nous, respectueux, doux et plein de gratitude… alors que c’est nous qui nous pensons chanceux dans cette histoire !”
Qu'est-ce qui vous plaît dans la scène, comment vous sentez-vous une fois devant le public ?
“J’aime l’idée de donner quelque chose que j’ai fabriqué à des gens que je ne connais pas. Leur chanter mes histoires en laissant place à l’imprévu, à l’imperfection même. Quoiqu’il arrive, j’ai une confiance aveugle en mon public ; c’est pour ça que je vis chaque spectacle sans retenue, sans gêne ni timidité. Je n’ai alors plus qu’à donner ce que j’ai, exprimer simplement ce que je suis.”
La Polynésie vous a-t-elle inspiré pour l'écriture de chansons ? Qu'est-ce qui vous inspire plus généralement ?
“Tout m’inspire à vrai dire. Je ne vous mentirai pas en vous disant que je me sens inspiré ici plus qu’ailleurs ! C’est le monde en général qui m’intéresse, les gens de tous les endroits, leurs histoires. Les larmes d’un Tahitien ne valent pas plus, ni moins, que celles d’un Parisien.”
Il s'agira de la dernière date de votre tournée, comment l'abordez-vous ? Êtes-vous nostalgique, heureux de vous lancer dans d'autres projets ? Comment se sent-on quand une tournée s'achève ?
“Je sais que le jour de cette dernière date sera pour moi très puissant, très chargé en émotions… mais je sais aussi que dès le lendemain, et jusqu’à la fin de mes jours, je ne serai qu’heureux et positif à propos de tout cela… certainement pas nostalgique ! C’est une telle chance de pouvoir tourner pendant des centaines de dates.”
Vous avez annoncé en avril 2022 travailler sur le nouvel album de Véronique Sanson, comment collaborez-vous, est-ce vous qui composez, écrivez les textes ? Allez-vous chanter avec elle, et quand sortira-t-il ?
“Nous avançons doucement, Véronique et moi. Véronique est une immense musicienne qui sait ce qu’elle aime entendre et ce qu’elle n’aime pas. Alors nous cheminons, et pour l’instant nous sommes loin d’avoir terminé notre travail ! C’est un bonheur et une fierté d’œuvrer pour et avec elle.”
Avez-vous d'autres collaborations en cours ?
“J’en ai toujours en cours ! Le problème des collaborations, c’est que je n’aime pas griller la politesse des annonces de celles-ci ! En revanche, je viens de terminer la réalisation de l’album de Charlie Winston, qui sortira fin septembre… et j’ai adoré faire ça !”
Qu'est-ce qui vous plaît dans le fait de travailler avec d'autres ? Qu'est-ce que cela vous apporte ?
“Le fait de travailler avec un autre artisan donne forcément naissance à quelque chose que je n’aurais jamais été capable de faire seul. Je suis obligé de me fondre dans le décor de son univers, tout y apportant quelque chose. C’est un exercice qui me passionne et me donne le sentiment de progresser chaque jour... ce qui reste à jamais mon objectif !”
Avez-vous, vous-même, un nouvel album en prévision ?
“J’ai évidemment des chansons dans les tiroirs, mais rien qui donnerait naissance à un album personnel à proprement parler. Je sors de deux années tourbillons... je crois ne pas avoir envie de relancer la machine si rapidement.”
Pratique
Le 19 août à To’ata.
De 19h15 à 19h45 : première partie avec Sissa-sué O’kota’I, concert de Vianney à 19h45.
Tarif : à partir de 6 500 Fcfp.
Billets en vente chez Atomi records au quartier du commerce, Smart Store Vaima et iStore, galerie Carrefour Faa’a. Ils sont aussi disponibles en ligne.
Le 19 août à To’ata.
De 19h15 à 19h45 : première partie avec Sissa-sué O’kota’I, concert de Vianney à 19h45.
Tarif : à partir de 6 500 Fcfp.
Billets en vente chez Atomi records au quartier du commerce, Smart Store Vaima et iStore, galerie Carrefour Faa’a. Ils sont aussi disponibles en ligne.